Lumière et lumières...

Titre lumières

A la lumière des Ecritures...

 

part 1

 

Avis du webmaster: cette première partie est surtout composée d'illustrations en guise d'introduction car parfois, les images sont bien plus éloquentes que n'importe quelle explication...

 


 

menorah

HANUKKAH, fête de la Lumière est aussi appelée Fête de la Dédicace ou fête des Maccabées, la HANUKKAH (en hébreu: «inauguration» ou «dédicace») est la fête Juive qui commémore la Nouvelle Dédicace (vers l'an 165) du second Temple de Jérusalem, trois ans après sa profanation par Antiochus IV Épiphane, roi de Syrie, le prototype de l'Antéchrist à venir; cette consécration avait marqué lOéchec des tentatives de celui-ci pour éradiquer la foi juive.

La HANUKKAH commence le 25 du mois de kislev (en décembre) et dure huit jours. Le rite principal de la HANUKKAH consiste à allumer sur un candélabre (menorah) à plusieurs branches une chandelle le premier soir, deux le second, et ainsi de suite; ce rite a une signification spirituelle; il représente l'expansion constante de la foi juive:

La célébration rappelle aussi une anecdote du Talmud qui raconte comment une petite provision d'huile non profanée, tout juste suffisante pour une journée, a miraculeusement brûlé au Temple pendant huit jours, jusqu'à ce que de l'huile nouvelle pût être obtenue. Pendant cette fête, comme pour la Saint Nicolas ou Noël, il est de coutume que les enfants reçoivent des cadeaux.

Une menorah de deux mètres et demie de haut a été installée sur le site du World Trade Center.

 

 

La fête Juive de Hanuka ou "fête des lumières" coïncidant avec celle de Noël puisqu'elle commençait au soir du 25 Décembre 2005, je ne pouvais envisager de passer sous silence cette notion de lumière à notre époque de ténèbres spirituelles.

 

Cathedrale St Jean de Lyon

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Cathédrale Saint Jean (Lyon) —

 

" [...] Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. (Jean 3/16)

Lorsqu'on pénètre dans la cathédrale St Jean de Lyon, l'ancienne capitale des Gaules et actuelle capitale religieuse de la France, on ne peut ne pas voir une énorme Bible ouverte sur ce verset bien connu même des non chrétiens.

Cette Vérité Biblique s'affiche donc de manière magistrale comme un sceau d'authentification du bien fondé du culte rendu sur ces lieux.

 

 

Cathedrale St Jean de Lyon

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Cathédrale Saint Jean (Lyon) —

 

" [...] Maudit soit l'homme qui fait une image taillée ou une image en fonte, abomination de l'Eternel, œuvre des mains d'un artisan, et qui la place dans un lieu secret ! Et tout le peuple répondra, et dira : Amen ! ". (De 27/15)

Mais en parcourant quelques dizaines de mètres, on se rend vite compte que les pèlerins se dirigent d'un pas hâtif vers d'autres lumières comme des papillons de nuit sur un leurre.

J'ai pris ce cliché à l'occasion de la 153e "fête des lumières" de Lyon, une "fête" mariale correspondant à celle de l'Immaculée Conception" au 8 Décembre sur le calendrier Romain, concept totalement antiscripturaire, répétons-le!

 

fete des lumières de Lyon 2005

 

Cette "fête des lumières" se tient pendant quatre jours comme le montre la couverture du dépliant distribué à l'occasion et attire à présent plus de trois millions de visiteurs dont certains en tant que pèlerins avec la date du 8 Décembre comme "JOUR" véritablement commémoratif.

Ce 8 Décembre 2005 était exceptionnel à plus d'un titre sur l'horloge eschatologique.

Ce 8 Décembre 2005 était en effet:

le 151e anniversaire de la promulgation du Dogme impie et absolument antiscripturaire de "L'Immaculée Conception" par le Vatican.

le 153e anniversaire de la "fête des lumières" de Lyon.

le 25e "anniversaire" de l'assassinat de John Lennon, le leader "charismatique" du "Fab Four", ou des quartre évangélistes de la rébellion qu'étaient les Beatles...

Drapeau de l'Union Européenne

le 50e "anniversaire" de l'adoption définitive du drapeau Européen frappé de douze étoiles jaunes à cinq branches, des pentagrammes donc, d'inspiration à la fois Apocalyptique et Mariale par falsification et détournement des Ecritures, une bannière Mariale qu'on devrait donc plutôt nommer "drapeaucalypse"!

Et en bonus, au titre des coïncidences bien sûr, on a pu lire et entendre sur les médias...

La flamme Olympique des JO d'hiver de Turin a été bénie par le pape Benoît XVI, en ce jour de la "fête de l'Immaculée Conception"...

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

"fête des lumières" de Lyon

 

C'est aussi à cette date du 8 Décembre que le rebord des fenêtres de la cité Lyonnaise est illuminé par des lampions et autres chandelles comme cet immeuble le montre sur ce cliché.

1:1 Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
2 Elle était au commencement avec Dieu.
3 Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle.
4 En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.
5 La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue.
6 Il y eut un homme envoyé de Dieu: son nom était Jean.
7 Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous croient par lui.
8 Il n’était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière.
9 Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.
10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue.
11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue.
12 Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés,
13 non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.
14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. (Jean
1/1-14).

Jésus-Christ est lumière, source de lumière... Et si par définition , "Lucifer" veut dire "porteur de lumière", Jésus-Christ est à la fois "Porte" et "Lumière"...

" [...] En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand. Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis entendent sa voix; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent, et il les conduit dehors. Lorsqu'il a fait sortir toutes ses propres brebis, il marche devant elles; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. Elles ne suivront point un étranger; mais elles fuiront loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers. Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait. Jésus leur dit encore: En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. (Jean 10/1-11).

" [...] Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. (Jean 8/12)

" [...] Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. (Jean 9/5)

 

 

détail gauche

 

 

St Joseph charpentier de G De La Tour

 

 

détail droit

 

Au centre: Saint Joseph charpentier par Georges de La Tour

Musée du Louvre à Paris

Dimensions originales de la toile : 1,37 m x 1,02 m

 

En observant l'image du milieu, la lumière semble émaner depuis la bougie située au centre du tableau "Joseph charpentier" de G. De la Tour. Mais il y a en fait deux sources de lumière distinctes que le peintre a utilisées séparément, distinguant ainsi la lumière céleste pour l'enfant Jésus de l'autre, d'origine terrestre pour son père Joseph.

Mais de toute façon, c'est l'enfant Jésus qui tient la chandelle, dont on peut remarquer que la taille de la flamme est plutôt démesurée. Les cinq doigts de la main gauche de l'enfant Jésus servent d'écran et sont rendus translucides par l'intensité de la lumière.

 

Cathedrale St Jean de Lyon

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Cathédrale Saint Jean (Lyon) —

 

Puisqu'on parle d'écran, on peut noter qu'une autre vérité Biblique s'affiche au fond de cette cathédrale St Jean...

" [...] Car ainsi nous l’a ordonné le Seigneur: Je t’ai établi pour être la lumière des nations, Pour porter le salut jusqu’aux extrémités de la terre. (Actes 13/47)

" [...] savoir que le Christ souffrirait, et que, ressuscité le premier d’entre les morts, il annoncerait la lumière au peuple et aux nations. (Actes 26/23)

 

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Cathédrale Saint Jean et basilique de Fourvière (Lyon) —

 

Et si l'on quitte cette cathédrale St Jean sise au pied de la colline de Fourvière comme on peut le voir sur cette vue sur la gauche, on se rend compte que sur le haut de cette colline, la basilique de Fourvière domine, et ce de manière bien plus affirmée que ne le laisserait supposer ce cliché pris depuis les quais de Saöne.

A propos de ce nom "Fourvière", "Quatre" se dit "Four" en Anglais et "Vier" en Allemand, en quatre lettres dans les deux cas. Ces remarques ont été développées dans leur contexte au chapitre: Daniel et le culte marial.

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Basilique de Fourvière (Lyon) —

 

Un grossissement permet de lire "MERCI MARIE" au pied de l'esplanade de la basilique de Fourvière.

Lyon  fête des lulières 2003

— Décembre 2003 — Document personnel — pas de copyright —

— Basilique de Fourvière (Lyon) —

La statue de la "Vierge" qui surplombe la ville se trouve à gauche

151e fête des lumières du 8 Décembre 2003

 

Bref résumé de Fourvière:

C'est sur ce lieu qu'en 1638 Louis XIII a consacré la France à la Vierge. Plus tard, le Vœu des Echevins en 1643 a été formulé pour l'intercession de la Vierge en faveur du recul de l'épidémie de Peste. Pour la remercier d'avoir épargné la ville, les Echevins décident de monter à Fourvière chaque 8 Septembre et d'offrir à la Vierge un cierge de sept livres de cire blanche et un écu d'or.

En 1830, le clocher de la chapelle, menaçant ruine, avait été démoli. A. Duboys avait eu en charge sa reconstruction et l'on avait décidé de surmonter ce clocher d'une statue dorée pour laquelle Fabisch avait remporté le concours. L'inauguration devait avoir lieu le 8 septembre 1852, fête de la Nativité de la Vierge, mais les fortes précipitations avaient eu pour conséquence l'inondation de l'atelier du fondeur le report de la date au 8 décembre. La statue avait été mise en place mais le mauvais temps étant encore de la partie... les festivités prévues, tels que les feux d'artifices, ne purent avoir lieu. Les Lyonnais, par dévotion, mettent alors depuis cette date des lampions à leurs fenêtres en profitant d'une accalmie dans la soirée. Cet événement est à l'origine des illuminations du 8 Décembre. On parle donc dans le cas présent de la fête de la lumière et on étudiera la dimension divine de la lumière dans la Bible.

Les pèlerinages se développent considérablement et la chapelle ne peut bientôt plus contenir le flot des pèlerins. Depuis longtemps on projetait de construire un nouveau sanctuaire. En 1870, les Prussiens sont aux portes de la ville. A la suite de la demande de Lyonnaises, Mgr Ginoulhiac fait un vœu; une Basilique sera édifiée si Lyon échappe à l'occupation ennemie. Le vœu est exaucé. La première pierre est posée en 1872. La construction est très rapide: le nouvel édifice votif dédié à la Vierge est inauguré en 1896.

En 1970, la Commission devient une association, sous le régime de la loi du 1er Juillet 1901. Propriété privée, le Sanctuaire de Fourvière n'est pas concerné par la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat de 1905. Le 15 octobre 1998, un décret reconnaît la Fondation Fourvière comme établissement d'utilité publique (parution au journal officiel du 22 octobre). La raison du changement de statut est d'assurer la pérennité du Site Marial.

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

 

On relève sur l'encyclopédie "Universalis" les descriptions suivantes:

La colline de Fourvière, à Lyon, semble s’opposer à la Croix-Rousse, la colline du travail, celle des canuts. La basilique Notre-Dame, qui la domine, attire l’attention d’abord par ses dimensions imposantes, qui en font une sorte de citadelle de la foi, et par son architecture « triomphaliste » de la fin du XIXe siècle, où se mêlent le roman, le gothique, le byzantin et une sorte de style italien du XVIIe siècle. Baptisé « la maison dorée » à cause de l’exubérance de sa décoration de mosaïques et d’ors, cet édifice n’est pas le véritable lieu sacré de la colline : c’est l’ancienne et modeste chapelle romane de Fourvière qui constitue le centre réel du pèlerinage, avec son clocher surmonté d’une vierge dorée qui tend ses deux mains vers Lyon en signe d’appel.

 

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —


...//...

La dévotion mariale, en effet, n’a pas attendu la construction de la basilique, commencée en 1871, pour s’épanouir sur cette colline, qui fut un des premiers lieux consacrés à ce culte. En 135, arrivait à Lyon l’évêque Pothin, disciple de saint Polycarpe, lui-même ami de l’apôtre saint Jean, qui avait recueilli Marie. Pothin aurait apporté un portrait de la Vierge attribué, comme les autres œuvres du genre, à saint Luc. C’est de cette époque que date le premier sanctuaire marial de Fourvière. Pothin, en effet, fut exécuté en 177 sur le forum de Trajan, qui donna son nom à Fourvière (Forum vetus), et la théologie mariale proprement dite y fut développée par son successeur, saint Irénée, qui mourut comme Pothin dans la prison du Vieux Forum et qui fut le premier docteur à célébrer Marie dans son rôle de nouvelle Ève.

En 840, après l’écroulement du Vieux Forum, une nouvelle chapelle mariale fut édifiée. Louis XI la dota richement et, en 1630, Louis XIII et Anne d’Autriche y vinrent faire un vœu en demandant la grâce d’avoir un fils. Après la naissance du dauphin, le roi consacra la France à Marie.

Dès 1645, la dévotion propre à Fourvière fait référence à la « Vierge immaculée » et, en 1659, lors de l’érection d’une statue de la Mère de Dieu, les échevins font graver sur son socle : « à la Vierge conçue sans péché ». En 1854, le dogme de l’Immaculée Conception est promulgué, deux siècles après que se fut exprimée la piété lyonnaise au sujet de cette croyance. En 1871, à la suite d’un vœu par lequel on avait demandé que la ville fût épargnée par les Prussiens, on entreprend de construire, sur les plans de P. Bossan, la basilique actuelle, qui sera achevée par les architectes Sainte-Marie Perrin, père et fils, et qui sera consacrée en 1896.

Grand centre religieux, auquel demeurent attachés à la fois les habitants de Lyon et ceux des campagnes de la région, Fourvière attire aussi de nombreux pèlerinages étrangers. Les cérémonies traditionnelles qui commémorent le vœu de Louis XIII, le 5 août, et le vœu des Échevins, le 8 septembre, ont pendant des siècles compté parmi les grands moments d’une cité fière, par ailleurs, de voir son archevêque porter aussi le titre de primat des Gaules.

...//...

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Une des tours de la cathédrale Saint Jean et basilique de Fourvière (Lyon) —

 

C'est en mémoire d'un vœu donc pour que le scorbut disparaisse en 1638 et d'une peste qui avait sévi dans la ville de Lyon jusqu'au 8 Décembre 1643 et de l'invocation faite à la "Vierge" à ce sujet, qu'une procession se déroule le 8 Décembre de chaque année, fête mariale de l'immaculée Conception pour les croyants Catholiques et fête locale dite "des lumières" pour les païens.

En 1832, le choléra étant aux portes de Lyon, une nouvelle demande d'intercession avait été faite auprès de "Notre-Dame de Fourvière". Miracle: Lyon avait été épargnée.

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Cathédrale Saint Jean et basilique de Fourvière (Lyon) —

 

En 1870, nouvelle épreuve, les armées Prussiennes qui sont à Dijon menacent d'investir la ville. L'archevêque de Lyon, M. Genoulhiac fait alors promesse d'élever à Notre-Dame de Fourvière un sanctuaire digne d'elle si l'envahisseur épargne Lyon. C'est ainsi que cette autre "citadelle mystique" a été édifiée à Lyon ou "Lugdunum", la "ville forte de la lumière".

Les processions sont souvent liées à des demandes d'intercession pendant des épidémies. Rome ayant depuis l'aube du Christianisme pris grand soin d'enténébrer et de maintenir dans l'ignorance ses ouailles, ne rate jamais une occasion de promener ses idoles comme au bon vieux temps de Babylone.

Tout est utilisé pour donner de l'ampleur et accentuer la ferveur religieuse de telles "démons"-trations de fausse piété. Que ce soit pour gémir, se lamenter ou se réjouir, la recette fonctionne à merveille et tout le monde y retrouve son compte, surtout les commerçants. Lourdes ou Le Puy méritent le déplacement pour faire le constat d'une telle dérive. Peu de catholiques ont conscience de l'abomination qu'ils commettent en participant à de telles processions. D'un point de vue Biblique, toute manifestation est interdite dans les rues, même si le motif paraît justifié; ces mouvements sont récupérés par des profiteurs de tout ordre et leurs fins sont cachées du grand public.

Ces processions mariales se tiennent aux "quatre" coins de la planète, même aux endroits les plus insoupçonnés comme l'Inde ou le Japon, où les participants, mêlant plusieurs croyances, vénèrent la Vierge sans croire au Dieu de la Bible!

L'ambiance et la tradition suffisent pour justifier ces élans de ferveur qui ne sont qu'abominations dans les Ecritures. Leur origine remonte à Nemrod qui les avait mises en place, en souvenir de dieux qui auraient quitté la Babylonie, c'est à dire les anges déchus. (se reporter au livre d'Enoch). En Grèce, des processions étaient faites en l'honneur d'Apollon et de sa sœur Diane.

Evoquer la marche autour de la ville de Jéricho ou le transfert de l'arche d'alliance pour justifier ces processions sans en expliquer le contexte tout à fait exceptionnel et hors sujet, est une pure manipulation dont Rome s'est fait Le maître oeuvre.

 

fete des lumières de Lyon 2005

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

— Basilique de Fourvière (Lyon) —

Image avec effet de survol

 

Afin de ne pas être accusé de partialité haineuse et d'offenser ceux qui se livrent au culte marial, je transcris un texte extrait de l'encyclopédie "Universalis" déjà citée:

...//...

Marie, la mère de Jésus de Nazareth, n’est mentionnée que de façon très discrète et épisodique dans l’ensemble de la littérature néo-testamentaire. En revanche, en tant que personne faisant l’objet de culte et de vénération, elle occupe progressivement une place singulière et éminente dans la foi et la spiritualité chrétiennes, tant orientale qu’occidentale. On a pu dire que « la place de Marie est certainement un cas typique, un cas limite même, du développement du dogme et de la piété dans la tradition catholique » (P. Zobel). Cette double constatation soulève une foule de questions qui relèvent à la fois de l’exégèse biblique et de la théologie, de l’histoire comparée des religions et de l’histoire des dogmes, voire de la psychologie et de la sociologie religieuses. Il est donc difficile, sinon impossible, de faire le départ entre les éléments qui permettent de situer Marie en tant que personnage historique (au sens rigoureux du terme) et ceux qui proviennent de la légende (accréditée par la prolifération des évangiles apocryphes), ou encore ceux qui sont le fruit de la spéculation religieuse de la période postapostolique. Les textes évangéliques eux-mêmes témoignent de l’existence, dès la fin du Ier siècle, d’une tradition mariale assez fermement établie dans les premières communautés chrétiennes. On sait, d’autre part, que le développement de la piété mariale populaire a de loin précédé celui de la doctrine ecclésiastique. Celle-ci s’est lentement élaborée, non sans tensions ni sans controverses, d’abord à travers les grands débats relatifs aux dogmes trinitaire et christologique, puis, plus tardivement et jusqu’aux temps modernes, de façon plus ou moins autonome. Cette élaboration fait d’ailleurs apparaître entre l’Orient et l’Occident des divergences non négligeables. Tandis que les Églises orthodoxes, restant fixées aux grands énoncés dogmatiques antérieurs au schisme, développent surtout une sorte d’« omniprésence » de la Vierge mère de Dieu (Theotokos) dans la liturgie, l’hymnologie et l’iconographie, supports de la spiritualité, l’Église latine poursuivra de son côté un développement doctrinal faisant apparaître la « mariologie » comme une branche spécialisée de la théologie catholique romaine et aboutissant aux grandes définitions dogmatiques des XIXe et XXe siècles (Immaculée Conception et Assomption). Si, au départ, la Réforme du XVIe siècle n’a contesté que les excès de la dévotion mariale portant atteinte à l’unique médiation du Christ, l’opposition grandissante au dogme romain et à la mariologie a rapidement abouti à ce qu’on peut appeler le « vide marial » de la spiritualité et de la théologie protestantes.
La personne de Marie, le rôle à lui attribuer dans l’œuvre du salut et dans la vie de l’Église soulèvent donc entre les diverses confessions chrétiennes de nombreux problèmes. Ils se posent du point de vue de la foi, au niveau des présupposés théologiques qui commandent l’exégèse et l’interprétation des textes bibliques, mais également dans le domaine de la théologie systématique et de l’ecclésiologie. De ce fait, ils constituent un « lieu » non négligeable du débat théologique auquel le dialogue œcuménique actuel ne peut manquer d’apporter un éclairage et peut-être aussi des perspectives nouvelles.

...//...

Reste à définir ce qu'évoque, sur le plan sonore, le mot "basilique", non différentiable du mot "basilic" dans notre langue...

En effet en Français, "basilic" "sonne" comme "basilique". Et si le mot "basilique", comme on pouvait s'y attendre n'existe pas dans les Ecritures, le mot "basilic" lui, y est cité 5 fois.

Il a été d'actualité avec le deuxième film "Harry Potter et la chambre des secrets" de Chris Columbus, un "opus" long de 160 minutes, sorti à Noël 2002.

Il est diffusé pour la première fois sur la "chaîne" de télévision France 2, le Dimanche 1er Janvier 2006.

Tout un programme donc!

 

Vierge et dragon

Satan, le serpent ancien, sachant qu'il serait écrasé par le talon de la postérité de la femme, à savoir Jésus-Christ et non Marie, a eu ironiquement recours au subterfuge du culte Marial avec en prime, un lieu ou plutôt des lieux de prédilection qu'on nomme "basiliques".

"Notre Dame de Fourvière" à Lyon, "Notre Dame de la Garde" à Marseille, ou le "Sacré-Cœur" à Paris sont les plus représentatives de cette immense fraude spirituelle.

" [...] Je ne vis point de temple dans la ville; car le Seigneur Dieu tout-puissant est son temple, ainsi que l'agneau. (Apoc. 21/22)

" [...] Il finit par mordre comme un serpent, Et par piquer comme un basilic. (Pr 23/32)

" [...] Le nourrisson s'ébattra sur l'antre de la vipère, Et l'enfant sevré mettra sa main dans la caverne du basilic. (Esaïe 11/8)

" [...] Ne te réjouis pas, pays des Philistins, De ce que la verge qui te frappait est brisée! Car de la racine du serpent sortira un basilic, Et son fruit sera un dragon volant. (Esaïe 14/29)

" [...] Ils couvent des oeufs de basilic, Et ils tissent des toiles d'araignée. Celui qui mange de leurs oeufs meurt; Et, si l'on en brise un, il sort une vipère. Esaïe 59/5)

" [...] Car j'envoie parmi vous des serpents, des basilics, Contre lesquels il n'y a point d'enchantement; Ils vous mordront, dit l'Eternel. (Jer 8/17)

 

 

 

Vierge céleste

 

Image dite "pieuse"

Marie, "porteuse de lumière"

 

Sources: http://www.tresdias.org/Meetings/02-07Asmb_N_NJ/Cruise/Statue

Statue de la Liberté dans le port de New York

 

Cette représentation classique d'une "Vierge" ou "Reine des cieux" porteuse de lumière a une origine Babylonienne identique à celle de la femme qui éclaire le port de New York.

 

Ishtar

Ishtar tenant un flambeau

" [...] Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre. (Apocalypse 17/4-5)

Il s'agit d'Ishtar, la mère des prostituées décrite par l'apôtre Jean (Apoc. 17 et 18), la "reine des cieux citée par Jérémie, la déesse de la Liberté des Franc-maçons, la déesse de la guerre, de la justice... la vierge noire et même la Vierge perpétuelle...

Elle est naturellement associée aux anges déchus, les "Fils de Dieu" et à leur progéniture engendrée par manipulation génétique, la race des géants, les fameux Annakims et Nephilims mentionnés dans les Ecritures.

Se reporter au site Bible et découvertes, au chapitre abondamment illustré et scindé en plusieurs parties:

http://bibleetdecouvertes.free.fr/textes/geants1.htm

 

 

Messe de minuit 2005 au Vatican

 

 

Messe de minuit 2005 au Vatican

 

Messe de minuit retransmise depuis le Vatican (25/12/2005)

Capture d'écran TF1 et France2

 

Un gigantisme que l'on retrouve à plusieurs niveaux dans la basilique Saint Pierre de Rome et ses cultes inspirés des religions à mystères. Cette capture d'écran de la messe de minuit retransmise depuis le Vatican le 25/12/2005 en donne une représentation exacte avec les statues qui au sens Biblique sont des abominations!

Le culte de cette déesse Babylonienne s'est transmis au travers des religions à mystères et elle est en train de refaire surface sous le couvert d'un nouveau mouvement, le "Christian nudity", au nom duquel des communautés naturistes "chrétiennes" se forment en établissant des lieux de culte ou même de vie à l'année. On peut parler de "colonies", issues de plusieurs dénominations, ou ces "chrétiens" se prétendent fondamentalistes, évangéliques, croyant en l'innerrance de la Parole et adeptes de l'amour libre.

Se reporter aux sites US:

- http://www.naturalchristian.com/

- http://www.themarriagebed.com/pages/bible/app/naturism.shtml

- http://www.oursunhome.com/christian_nudist.html).

Un nouveau concept de "sainteté" se met en place, accélérant une nouvelle fois, la mise en place de l'Apostasie qui permettra l'avènement de l'Antéchrist, avènement précédé d'un "événement" encore inconnu d'une majorité de chrétiens, à savoir l'Enlèvement de l'Eglise.

Cette page étant chargée au lendemain de Noël, au temps des dindes donc, il est d'actualité de situer de quel côté du plat se trouvent réellement la ou plutôt les dindes...

Fermée à partir des attentats du 11 Septembre 2001, puis rouverte au public le Mardi 3 Août 2004, (jour +215/-151), cette immense idole symbolique de "l'illuminisme" à l'entrée du port de New York, une abomination construite par un Français, Frédéric Gustave BARTHOLDI, est connue dans le monde entier.

Et c'est au nom de la sacro-sainte "Défense de la Liberté" qu'un président [—("chrétien")—] G. W. Bush et ses sbires nous font avaler les pires mensonges et autres contre-vérités, comme autant de leurres mais avec la canne et le moulinet compris!

Le 15 Août 2003, situé 153 jours après le 15/3, est le 227e jour de l’année.

"cent cinquante trois" = 227

Pendant toute la journée du 15 Août 2003, la ville de new York privée d'électricité avait connu un black-out complet obligeant un grand nombre de personnes privées de transport à passer la nuit dans la rue. Et au matin du 16 Août, le courant était revenu, avec comme signe de retour de la lumière, la torche brandie par "Liberty".

Ground zero

Projecteurs dirigés vers le ciel à New York

Statue de la Liberté dans le port de New York

et

Commémoration des Événements du WTC pendant 33 jours en Mars/Avril 2002

Sources: http://www.uaoc.org/bulletingraphics/towerbeams.jpg

 

En Mars 2002, deux projecteurs dirigés depuis le ground zéro vers les cieux formaient un "ONZE" de lumière commémoratif de la disparition des deux tours du World Trade Center.

 

 

Interview de G W Bush

 

 

Interview de G W Bush

 

 

"G. Bush sous l'emprise de Dieu"

Documentaire de Raney Aronson (2004)

Emission diffusée sur Arte à 20h45 le 19 Octobre 2004

 

 

Le président [—("chrétien")—] G. W. Bush n'en est plus à un mensonge prés et ses gesticulations ne sauraient nous leurrer même si ce serviteur de Satan invoque sans cesse le nom de Dieu pour donner le change!

 

Billet de 1 dollar

Billet de 1 dollar US

 

Centré" au milieu du billet de banque US, le mot "ONE" focalise l'attention sur le signifié et non l'ombre portée, ou plutôt la double projection ombrée en arrière plan.

Ce mot "ONE" est répété six fois, au milieu, au bas et aux quatre coins du billet vert, avec le chiffre 1 en arrière plan dans ce dernier cas.

Au-delà des symboles occultes traités sur plusieurs centaines de pages de ce site, le billet vert est encodé, et c'est seulement dans le cadre de ce chapitre que le point suivant peut être finalement évoqué.

 

détail central du dollar

 

"En Dieu nous avons confiance"

"UN"

12 lettres + un mot représentant un chiffre, une façon de rappeler que Jésus était accompagné de 12 apôtres.

On aurait pu tout aussi logiquement avoir "En UN Dieu nous avons confiance"

Le "9/11" ou "neuf/onze" 2001 selon le standard de datation US constitue la première borne eschatologique du 21e siècle. Ce site étant plus particulièrement dédié à l'étude des nombres en rapport avec les Ecritures, l'occasion m'est donnée d'attirer l'attention du lecteur sur un aspect caché du billet vert.

9 mois et 11 jours après le tsunami du 26 Décembre 2004, au lendemain de NOEL, le Guatemala et quelques heures plus tard le Pakistan avaient été frappés par un tremblement de terre. Les 200 morts du Guatemala ont pratiquement été éclipsés en raison des quelques 70 à 80 000 victimes recensées au pied de l'Himalaya. Dans ce dernier cas, avec la rudesse de l'hiver, la destruction d'une partie du réseau routier et le manque de moyens au sens général du terme, ce bilan ne peut que s'alourdir et se muer en nouvelle catastrophe humanitaire pourtant prévisible...

" [...] Je suis l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. (Apocalypse 1/8)

" [...] Et il me dit: C’est fait! Je suis l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai de la source de l’eau de la vie, gratuitement. (Apocalypse 21/6)

" [...] Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. (Apocalypse 22/13)

 

En examinant la frise qui entoure le portrait de G. Washington, on distingue très nettement la silhouette de la lettre oméga, la dernière lettre de l'alphabet Grec.

 

 

Cette lettre, la dernière de notre alphabet, est bien connue puisqu'elle est associée au personnage de Zorro, le "justicier" masqué qui ressemble plus à une ombre qu'à un être de lumière. Il serait trop fastidieux dans le cadre de ce chapitre d'aborder l'aspect occulte de cette "légende", particulièrement mise en lumière dans les dernières versions filmées avec la constitution de la bannière étoilée en particulier mais le cheval cabré du "caballero" Californien nous rappelle que, comme nous l'avons déjà vu, le mot "cabale" est directement lié au mot "cheval".

Lettres N et Z

Une simple rotation à 90° transforme la lettre "N" en un "Z".

La focalisation sur la consonne en milieu du mot "ONE" m'a incité un jour à lui adjoindre en miroir, la lettre "Z".

 

Les lettres constituant ce mot "ONE", anagramme de "NOE", peuvent révéler en Français les mots "ONZE" ou "NEUF".

Et puisqu'il est question de "lumière et d'ombre" ou de "lumières et d'ombres", étudions attentivement ce mot "ONE".

A première vue, des traits noirs surlignent le profil des lettres selon les schémas suivants:

2 traits noirs ombrant la lettre "O", 3 pour la lettre "N" et enfin 4 pour la lettre "E", ce qui nous donne un total de 9 selon la séquence 2+3+4

Un deuxième examen permet de compter la deuxième couche d'ombrages grisés selon les séquences suivantes:

2 surfaces grisées ombrant la lettre "O", 5 surfaces grisées pour la lettre "N" et enfin 4 surfaces grisées pour la lettre "E", ce qui nous donne un total de 11 selon la séquence 2+5+4...

Il faut compter les surfaces exécutées d'un seul tenant. N'ayant pas de dollar de qualité d'aspect de surface suffisante à disposition pour faire un agrandissement digne de ce nom, le lecteur peut cependant remarquer que le "E" final par exemple comporte une surface grisée unique dans la partie inférieure du trait médian.

Les Evénements du 9/11 ont eu lieu le 11/9/2001 pour nous et 9/11/2001 en système de datation US, c'est à dire le 254e jour de cette année dans les deux cas de transcription!

Nous avons donc une double couche d'ombrage en 9/11 sous le "ONE".

Cette remarque pourrait provoquer l'hilarité chez une certaine catégorie de lecteurs... la lecture de leurs mails me le rappelant presque quotidiennement.

Pour recentrer le débat et le justifier dans son contexte, si l'on effectue une recherche du mot "*LYON*" entouré de deux jokers "*", on relève une occurrence unique, sur l'ensemble des Ecritures, en Apocalypse, Apocalypse... 9/11 plus précisément.

" [...] Elles avaient sur elles comme roi l’ange de l’abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. (Apocalypse 9/11)

 

fete des lumières de Lyon 2003

Place Bellecour et basilique de Fourvière

Document personnel - pas de copyright - 8 Décembre 2003

 

A l'occasion du 151e anniversaire de la "fête des lumières" de Lyon, depuis la place Bellecour, 18 projecteurs projetaient des combinaisons géométriques programmées par des internautes dans le ciel Lyonnais.

fete des lumières de Lyon 2005

Place Bellecour et basilique de Fourvière

— Décembre 2005 — Document personnel — pas de copyright —

 

Deux ans plus tard, sous l'effet de projecteurs dirigés vers le sol, la place Bellecour se transformait en "place rouge".

 

carte postale officielle des années 70

Carte postale officielle de la fin des années 70

Aucune accusation n'est faite contre le concepteur de ces illuminations bien entendu mais comment ne pas songer quelques minutes à la place rouge Moskovite, avec son mausolée (copie du trône de Satan) où le corps de Lénine est toujours exposé et l'église saint Basile, dont le nom est proche de basilique!

 

Saint Basile

cliquer sur l'image

pour obtenir un agrandissement

Document personnel - pas de copyright - Juin 2006

 

Et à propos d'ombre...

Vitrai 144000 666

 

Ce vitrail de la cathédrale de Nevers, avec le nombre 666 silhouetté en ombre derrière le nombre 144 000, illustre ce chapitre de manière radicale.

 

144000 666

Détail du vitrail

 

La "fête" de Noël représente la "fête de la lumière" par excellence puisqu'elle s'articule autour de la renaissance de la lumière avec la remontée de la course du soleil.

Le Père du mensonge a opéré le subterfuge du faux père céleste avec son culte de Santa/Satan, alias Lucifer, transfuge du "père Noël".

L'actualité ne manque pas de souligner de façon ironique la vérité de mes remarques.

Le terme "Bordel" est un signe de prostitution, une racine que l'on retrouve dans le mot Bordelais ou Bordelaise, sur le plan étymologique exclusivement bien naturellement. Je n'attaque pas les habitants de Bordeaux mais j'évoque des "signes"...

En fin de deuxième partie du chapitre consacré au Père Noël II, en annexe, j'avais écrit quelques lignes à propos de la ville de Libourne comme suit:

...//...

Boite aux lettres

La lettre adressée par voie postale au Père Noël a vu le jour en 1962, presque un demi-siècle après l'initiative des Télégraphes américains. Elle a été en partie initiée par la psychanalyste Françoise Dolto, sœur du Ministre des PTT de l'époque et mère du chanteur de variétés Carlos. Le centre est à Libourne, dans la région Bordelaise, et environ 800 000 lettres lui sont adressées par an! un personnel est appointé pour y répondre.

...//...

Et au moment où je corrige ces lignes, on peut entendre sur les médias l'information qui suit:

Noël dans le noir pour 2000 foyers girondins: 26 décembre 2005

Tout est visiblement rentré dans l'ordre ce matin... toujours est il que 2000 foyers girondins du Bassin d'Arcachon, au Médoc, en passant par Langon et Libourne, ont passé un Noël à la Bougie, les couvertures sur le dos, privés d'électricité et de chauffage depuis samedi en raison d'une surcharge de plusieurs transformateurs... la faute au froid qui a abouti à une consommation trop importante des appareils de chauffage...
Bref certains qui avaient l'intention de réveillonner ont dû parer au plus pressé... exemple avec le couple Boucard de Ste Radegonde, localité sise près de St Emilion... ils avaient prévu d'inviter une vingtaine de personnes...

 

sources: (le lien est unique mais segmenté sur deux lignes):

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?nr=3d5da359be141df5578db629552e470b&19811cb4960e5af6cdf1cb829a4e63e8_info_mode=item&19811cb4960e5af6cdf1cb829a4e63e8_info_index=0

 

Clan Bush et Clinton

G. W. Bush, Laura Bush, G. Bush et Bill Clinton à genoux

Hom... mage de [—("chrétiens")—] jouant aux rois mages...

 

On avait eu droit à la mort du "Saint" père (Noël?) en Avril 2005...

En Décembre, son successeur reprend le flambeau...

 

Le pape adopte la tenue du Père Noël


ROME (Reuters) - Il était certes à bord d'une papamobile et non d'un traîneau, mais quand le pape Benoît XVI est arrivé place Saint-Pierre pour son audience hebdomadaire, nombreux sont ceux qui ont cru voir le Père Noël.

Afin de se protéger du froid, le souverain pontife portait en effet le camauro, un bonnet en velours rouge bordé de fourrure blanche réservé aux papes, et une longue cape écarlate, soit l'uniforme officiel du Père Noël, la barbe blanche en moins.

Fréquemment porté par les papes de la période médiévale, ce dont témoignent de nombreux tableaux de l'époque, le camauro est rarement apparu sur la tête des souverains pontifes contemporains, même si Jean XXIII l'a brièvement remis à la mode au siècle dernier.

Benoît XVI a déjà fait la preuve de son goût pour certains attributs vestimentaires pontificaux abandonnés par ses prédécesseurs, comme les mules rouges, auxquelles Jean Paul II préférait les chaussures de marche.

Le pape s'est ensuite adressé à la foule dans une tenue blanche plus habituelle et a dit aux fidèles que la fête de Noël était l'occasion de se souvenir des véritables racines de la foi.

Sources: http://www.liberation.fr/page.php?Article=346644

 

 

Il est vital de se souvenir qu'à l'occasion de son hom-élie, au cours de sa première messe pontificale le Dimanche 24 Avril 2005, ce Bavarois a cité le nombre 153 à deux reprises mais selon une approche qui cache bien maladroitement un encodage pervers, un "clin d'œil" Illuministe pour les "initiés", ceux qui préparent l'Avènement de l'homme de perdition.

Marché de Noël sur le parvis de la cathédrale à Cologne

Document personnel - pas de copyright - Décembre 2005

 

Jean Paul II avait programmé les Journées mondiales de la jeunesse en 2005 à Cologne, en Allemagne, la patrie d'origine de Benoît XVI. Un hasard bien sûr!

Le discours du Pontife à l'occasion de la messe de minuit de Noël 2005 dans la basilique saint Pierre pérennise les mensonges et la tradition absolument irrecevables à la lumière des Ecritures.

9 Des hommes d’entre les peuples, les tribus, les langues, et les nations, verront leurs cadavres pendant trois jours et demi, et ils ne permettront pas que leurs cadavres soient mis dans un sépulcre.
10 Et à cause d’eux, les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l’allégresse, et ils s’enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre.
11 Après les trois jours et demi, un esprit de vie, venant de Dieu, entra en eux, et ils se tinrent sur leurs pieds; et une grande crainte s’empara de ceux qui les voyaient. (Apocalypse 11/9-11).

Cette séquence 9-11 extraite du chapitre ONZE de l'Apocalypse Johannique ou plutôt de la " Révélation de Jésus-Christ" suffit à souligner ce qu'augure réellement cette fièvre acheteuse de fin des temps, ceux d'une année bien sûr...

" [...] Et cela n’est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. (2 Corinth. 11/14)

Le phénomène des crop-circles peut être abordé avec un éclairage approprié comme l'extrait de la deuxième partie de chapitre qui leur est consacré peut le montrer:

 

crop circles

Sources: http://www.circlemakers.org/Img/02selection4.jpg

 

Le crop circle de gauche rappelle le triangle pyramidal avec l'œil d'Horus, visible sur le dollar Américain. Se reporter au chapitre sur l'aspect occulte du dollar Américain pour comprendre la signification profonde de ce message sans équivoques.

A droite on note qu'il y a sept cercles en relation sur une ligne médiane.

Sphere Illuminati

Sept cercles égaux peuvent être harmonieusement associés d'un point de vue purement géométrique.

 

Sphere Illuminati

Image avec effet de survol a la souris

 

Une application directe peut donc en être tirée.

Marché de Noël sur eau à Cologne

Marché de Noël sur un Köln-Düsseldorfer

- Cologne - Document personnel - pas de copyright - Décembre 2005

 

Ce détail présentant une partie d'un des ponts d'un Köln-Düsseldorfer transformé en marché de Noël flottant ancré sur le Rhin à Cologne, au pied de la cathédrale, illustre l'importance de la lumière à cette époque de l'année dans l'hémisphère Nord.

Mais dans son contexte, ce marché flottant présente d'autres caractéristiques significatives que le lecteur ne pourrait soupçonner.

Reliquaire des rois mages à Cologne

Reliquaire de la cathédrale de Cologne

Document personnel - pas de copyright - Décembre 2004

 

En effet le trésor principal de la cathédrale de Cologne est constitué par ce que les pèlerins et les "exploitants" locaux considèrent comme étant les reliques des "trois" rois mages selon la tradition puisque la Bible ne mentionne ni leur nombre, ni leur statut de "rois".

La quête des mages est associée à une étoile, un symbole particulièrement omniprésent dans le décorum ambiant de fin d'année, comme le montre la vue du marché de Noël flottant ci-dessus.

La référence strong 3097 indique:

mages, magicien:


1) un mage

1a) le nom donné par les Babyloniens (Chaldéens), Mèdes, Perses, et autres, aux hommes sages, enseignants, prêtres, médecins, astrologues, voyants, interprêteurs de rêves, augures, devins, sorciers etc.

1b) les hommes sages orientaux (astrologues) qui, ayant découvert

lc lever d'une étoile remarquable, ont su que le Messie venait de naître, et sont venus à Jérusalem pour l'adorer

1d) un faux prophète et sorcier

Et la Bible annotée rapporte de son côté:

**Hérode, surnommé le Grand, fils d'Antipater. Ce fut lui qui fonda la dynastie de sa famille, iduméenne (édomite), en faisant périr les derniers rejetons de la race asmonéenne des Macchabées. Dès l'âge de quinze ans, il obtint de son père le gouvernement de la Galilée. (Josèphe, Antiq., XIV, 9, 2.) Plus tard, Antoine étant venu en Syrie, l'éleva à la dignité de tétrarque et lui fit obtenir du sénat le titre de roi des Juifs. (Josèphe, Antiq., XIV, 14, 5.) Mais ce ne fut que trois ans plus tard qu'il put prendre possession de son royaume. Il dut le reconquérir sur Antigone, fils d'Aristobule. Pour s'affermir sur son trône, il fit mettre à mort non seulement sa femme, Mariamne, mais ses deux fils, Alexandre et Aristobule, tout ce qui restait de la famille des Macchabées, et une foule de Juifs de distinction qui faisaient opposition à son gouvernement. Ces crimes, aussi bien que son penchant pour des usages et des divertissements publics empruntés au paganisme, le rendirent odieux à la nation Juive. Il mourut la trente-septième année de son règne, la soixante-dixième de son âge (Josèphe, Antiq, XVII, 8, 11), l'an 750 de Rome, par conséquent quatre ans avant le commencement de notre ère, ce qui recule d'autant l'époque de la naissance de Jésus-Christ.

***Les mages étaient chez les Perses et les Mèdes une caste sacerdotale très considérée; ils formaient le conseil secret des rois, administraient les affaires religieuses et se vouaient à l'étude de la nature, spécialement de l'astronomie.

Il y avait, a la cour de Babylone, un ordre de mages, appelés aussi sages, sur lequel fut établi Daniel. Daniel 2/48

Plus tard ce nom fut donné en Orient à tous ceux qui s'occupaient d'astrologie, de l'interprétation des songes et généralement des sciences occultes. Au temps de Jésus, il y avait chez les Grecs et chez les Romains de ces hommes qui exploitaient la crédulité populaire, dans des vues de vaine gloire ou de cupidité, comme on le voit par les exemples de Simon et d'Elymas. Actes 8/9 et suiv.; Actes 13/6-8

Evidemment les mages de notre récit appartenaient à la classe antique et honorable de ces savants. -Ils venaient d'Orient, expression vague qui a laissé libre cours aux conjectures sur leur patrie. Vu la nature des dons qu'ils offrent à l'enfant nouveau-né (v. 11), les uns ont pensé à l'Arabie, d'autres à la Perse, d'autres encore à l'Egypte. Les suppositions ne sont pas moins diverses sur leur nombre, fixé à trois par la tradition, à cause des trois offrandes. Même incertitude sur leur rang: l'imagination populaire en a fait des rois, soit pour voir en eux l'accomplissement de passages prophétiques de l'Ancien Testament Ps 72:10; Isa 49:7 Isa 60:3, 6,10 soit à cause de la sensation que fit, jusque dans le palais d'Hérode, leur arrivée à Jérusalem. Ce dernier fait preuve au moins que c'étaient des hommes d'une position considérable. La tradition, qui veut tout savoir, nous a même transmis leurs noms et les appelle: Gaspar, Melchior et Balthasar!

Enfin, de leur question: "Où est le roi des JUIFS?" on a conclu avec raison qu'ils étaient païens, et l'Eglise ancienne, les considérant comme les prémices du paganisme amenées aux pieds de Jésus, célébra leur mémoire à la fête de l'Epiphanie, dont elle fit la fête de l'apparition du Sauveur aux gentils, tandis qu'à l'origine elle avait été instituée en commémoration du baptême de Jésus-Christ.

 

L'information qui suit souligne le choix d'un lieu de culte marial pour les JMJ de Cologne:

Inauguration de Marienfeld [14 Juin 2005] -


Environ trois mois avant les XX. Journées Mondiales de la Jeunesse 2005 le bilan se présente ainsi: à Marienfeld, le terrassement de dix mètres de haut sur lequel le pape Benoît XVI célébrera le veillée et la célébration eucharistique finale en août 2005 est achevé. 800.000 jeunes gens du monde entier sont attendus cet été sur ce terrain d'environ 300 hectares. Le 24 mai la colline sera bénie par le cardinal Joachim Meisner.

Marienfeld, ancien terrain d´exploitation à ciel ouvert de Frechen, à l´ouest de Cologne
L´ancien terrain d´exploitation à ciel ouvert de Frechen, reçoit le nouveau nom de "Marienfeld" (Littéralement "La prairie de Marie"). Il sera le lieu de célébration de la Vigile et de la Célébration Eucharistique finale des XXe JMJ 2005 à Cologne. Le terrain dépend des villes de Kerpen et de Frechen dans le Rhein-Erft-Kreis. Pendant plus de 40 années, soit de 1945 à 1986, cette exploitation minière a déterminé le développement de la Région. Le nouveau terrain est suffisamment grand pour rendre possible la rencontre de 800 000 jeunes avec le Pape. 500 ans auparavant se trouvait ici le monastère "Bottenbroich", un lieu de pèlerinage Marial renommé.

http://www.rwe.com/generator.aspx/infotainment/journees-mondiales-de-la-jeunesse/le-nom/language=de/id=203620/page.html

Cette information datant de Juin 2005 se présente alors sous une autre lumière...

20e JMJ à Cologne en 2005

Sources: http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/messages/youth/documents/hf_jp-ii_mes_20040301_xix-world-youth-day_fr.html

 

Je n'avais pas osé, jusqu'à cette mise à jour, traiter des ombrages de lettres sur le mot "ONE" répété du billet vert... je laisse donc le soin au lecteur de reconsidérer le logo des XXe JMJ de Cologne! La présence de l'étoile jaune et de son sillage de comète se fait plus discrète!

La "fête de Noël" se termine en fin de 359e ou 360e jour, selon que l'année est bissextile ou non.

La lettre "O" évoque un cercle et ses 360°, comme un cadran d'horloge...

Fete des lumières de lyon 2006

— 154e fête des lumières de Lyon —

Image avec effet de survol à la souris

— Cathédrale St Jean Le Baptiste (Primatiale des Gaules) —

— Document personnel — Décembre 2006 — pas de copyright —

"Deux tours d'horloge" se terminent à Minuit et le passage sur le 9:11 se répète deux fois, à la seule différence qu'au deuxième tour, il faut prononcer "21:11" et non "9:11"!

9 Lorsqu’ils furent descendus à terre, ils virent là des charbons allumés, du poisson dessus, et du pain.
10 Jésus leur dit: Apportez des poissons que vous venez de prendre.
11 Simon Pierre monta dans la barque, et tira à terre le filet plein de cent cinquante-trois grands poissons; et quoiqu’il y en eût tant, le filet ne se rompit point. (Jean
21/9-11)

Ce verset 21:11 dans son contexte 21/9-11 est tout à fait intéressant... n'est-il pas?

21 heures totalisent 1260 minutes et 42 mois 1260 jours, c'est à dire le temps d'une demi-période de tribulation, comme le drapeau Européen l'affiche, en écho au chapitre 12 de l'Apocalypse.

9 When therefore they went out on the land, they see a fire of coals there, and fish laid on it, and bread.
10 Jesus says to them, Bring of the fishes which ye have now taken.
11 Simon Peter went up and drew the net to the land full of great fishes, a hundred and fifty-three; and though there were so many, the net was not rent.

Cette page est chargée sur Internet, c'est à dire le filet international en traduction Française.

 

En conclusion de cette première partie, en reprenant la date 1776 inscrite en lettres latines sur le dollar US, je reprends une remarque extraite d'un chapitre antérieur:

...//...

15 Août 2003, situé 153 jours après le 15/3, est le 227e jour de l’année.

Si le 15 Août d'une année normale "tombe" 153 jours après le 15/3, il se situe aussi 1776h après le démarrage du 153e jour. La "libération" ou plutôt l'expulsion des colons Juifs de la bande de Gaza par la force armée à partir du 15 Août 2005 dés Minuit se comprend mieux dans ces conditions surtout si l'on prend en compte le fait que cette même armée devait libérer la zone le 11 Septembre... 2005 à Minuit, heure à partir de laquelle les Palestiniens ont investi la bande de Gaza et procédé au saccage et à la destruction systématique et immédiate des synagogues!

Ce même 15 Août 2005, les JMJ commençaient à Cologne. 1776h séparent le 20 Avril 2005, jour "anniversaire" de la naissance d'Hitler et de l'entrée en fonction du pape Benoît XVI et l'explosion monitorée par la NASA de la sonde US Impactor sur la comète Tempel One, le 4 Juillet, jour de le fête Nationale des USA de leur Déclaration d'Independance ("Independance Day" depuis l'année 1776 donc), à 1:52...

...//...

JERU.S.A.LEM

" [...] Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, ((Matthieu 2/1)

Bethléhem se situe à une vingtaine de kilomètres de Jérusalem...

 

En conclusion de cette première partie...

" [...] Jésus, étant entré dans Jéricho, traversait la ville. Et voici, un homme riche, appelé Zachée, chef des publicains, cherchait à voir qui était Jésus; mais il ne pouvait y parvenir, à cause de la foule, car il était de petite taille. Il courut en avant, et monta sur un sycomore pour le voir, parce qu’il devait passer par là. Lorsque Jésus fut arrivé à cet endroit, il leva les yeux et lui dit: Zachée, hâte-toi de descendre; car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. Zachée se hâta de descendre, et le reçut avec joie. (Luc 19/1-6)

Jésus étant la lumière et la vitesse de celle-ci étant d'environ 300 000 km/s, il apparaît donc vraisemblable que dans la mesure où Zachée courut en avant de Jésus, il ait battu un record de vitesse non encore homologué semble-t-il!

Vers seconde partie (à venir)

 

guirlande de fête

 

 

MINUIT: PLEINE LUMIERE


Pendant un camp de catéchumènes qui réunissait soixante-dix adolescents, l'un des garçons m'a dit:
"Je voudrais tellement arriver à croire ! Pouvez-vous prier pour moi, pour que je trouve la foi?" J'ai répondu; "Oui, bien sûr. Je pense que ce n'est pas urgent à la minute. Mais ce soir, je serai libre à partir de neuf heures. Je prierai pour toi jusqu'à minuit. Ensuite, il faut que je dorme pour être en forme, demain, pour m'occuper des soixante-neuf autres."

Le lendemain matin, je cherchais des yeux ce garçon, tout spécialement, au milieu des soixante-dix. C'est lui qui s'est avancé pour dire ces mots qui peuvent paraître d'abord bizarres, quand on ne connaît pas la disposition des lieux:

"J'ai vu la lumière sur le mur. L'ombre de la fenêtre formait une croix.
J'ai regardé ma montre, la lumière a vraiment brillé jusqu'à minuit. Je n'en revenais pas que quelqu'un prenne tant de peine pour moi, et tienne une telle promesse. Alors, j'ai compris que les promesses de Dieu sont vraies aussi. Quand la lumière s'est éteinte, je n'en avais plus besoin, elle était en moi.
"


Ce garçon savait très bien ce qu'était la lumière sur le mur. Ma chambre donnait sur un bout de jardin et un mur bien blanchi. La tente où dormait ce garçon se trouvait dans le prolongement de la maison, et face au même mur. J'avais scrupuleusement suivi le précepte "
entre dans ta chambre et ferme ta porte", mais j'avais laissé la lumière allumée, pour ne pas risquer de m'endormir après une rude journée de camp. Et voilà que sans que je m'en doute ma prière se voyait, de façon éclatante! Il y avait même quelqu'un dans l'ombre, qui en mesurait la durée, qui consultait sa montre à la lueur d'une lampe de poche, qui se demandait, avec crainte et espoir, si ce rectangle de lumière marqué d'une croix allait vraiment "tenir jusqu'à minuit".

Je ne m'en doutais pas. J'aurais pu "grignoter" cinq minutes: qu'est-ce que cinq minutes, aux yeux de Dieu qui vit dans l'éternité? Je me croyais seule et bien enfermée, mais il y avait aussi des yeux humains qui regardaient. Ce garçon se posait une question, et il déchiffrait sur le mur une lumineuse réponse. La foi naissante est merveilleuse et fragile. Dieu se sert de petites choses, et c'est bien pour cela qu'il nous est demandé d'être fidèles dans les petites choses. Je ne suis pas partisan d'une prière minutée, et encore moins de celle qui se signale par un projecteur, mais il se trouve que dans ces circonstances précises, le temps et la lumière ont été parlants.


Le psalmiste parle souvent des "
veilles de la nuit". Si le jour était divisé en douze heures, la nuit était divisée en quatre "veilles" de trois heures, correspondant au tour de garde des veilleurs, dont chaque équipe assurait trois heures de ronde, La première veille allait de six heures du soir à neuf heures, la seconde de neuf heures à minuit, la troisième de minuit à trois heures du matin, et la dernière de trois heures à six heures. La fin de chaque veille portait un nom:

" [...] Veillez donc, vous aussi, car vous ne savez pas quand le maître de la maison viendra, si ce sera le soir, ou à minuit ou au chant du coq, ou le matin, Craignez qu'arrivant à l'improviste, il ne vous trouve endormi" (Marc 13/36-37).

La nuit est le temps des dangers, et celui où l'on est renvoyé à soi-même, hors de l'activité du milieu du travail ou des tâches de la maison, C'est pourquoi il est représenté comme le temps des inquiétudes, celui où tout peut arriver, et où l'on en prend conscience.

L'arithmétique de la grâce

pages 73 à 75

Joëlle POIDLOUE

112-113 Les carnets de croire et servir

 

 

 

logo point final vox dei infos voxdei

Israël: Noël et la fête juive de Hanuka tombent en même temps cette année
(Le Vif)
date: 2005-12-23


BRUXELLES. Exceptionnellement, Noël et la fête juive de Hanuka tombent en même temps cette année. Noël est toujours fêté à date fixe tandis que la fête de Hanouka est fêtée à dates variables. Durant huit jours, les Juifs pratiquants allument chaque jour une bougie sur la menora (candélabre à huit branches) en souvenir d'un miracle qui s'est produit en 168 avant JC selon la tradition juive. A cette époque, le roi Antioche IV Epiphane décide de supprimer la culture juive et interdit l'étude de la Torah, la pratique de la circoncision et le respect du Shabbat. L'objectif du roi est d'helléniser de force la population de Judée/Palestine. Beaucoup de gens choisissent la voie du roi et s'héllenisent. Un grand prêtre de Judée va lancer la révolte avec des troupes qui seront appelées les "Maccabées". Après plusieurs combats, ils arrivent à Jerusalem et s'emparent du temple. Ils y fabriqueront un nouveau candélabre. Faute d'huile, il ne peut s'allumer qu'un jour. Mais, le miracle se fit car la ménora brûla pendant huit jours.


(Le Vif - Disclaimer) ajoutée le 2005-12-23

 

Suite en 2e partie

ou

Retour au sommaire

Retour au sommaire