Rennes-le-Château
Vue aérienne avec effet de survol à la souris
Sources; http://www.societe-perillos.com/villedamnes.html
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
L'entrée de l'église est à gauche sur cette vue prise depuis l'autel. On remarque le diable supportant le bénitier surmonté de quatre anges indiquant les quatre directions du signe de croix. Trois tableaux représentant trois des 14 stations du chemin de croix sont visibles sur le mur, entourant le confessionnal au-dessus duquel se trouve une fresque exécutée en creux, saillie et rondes-bosses.
Non visible sur ce cliché, à droite se trouve un ensemble de statues représentant Jean le Baptiste baptisant Jésus.
" [...] Comment cet homme parle-t-il ainsi ? Il blasphème. Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul ? ". (Marc 2/7)
" [...] Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité ". (1 Jean 1/9)
" [...] Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace ". (Jac 5/6)
Pour mémoire, et à propos de ce confessionnal, la confession auriculaire à un prêtre est totalement anti-scripturaire
A la suite de la représentation par image taillée du baptême de Jésus par Jean le Baptiste, on trouve dans le sens des aiguilles d'une montre, un statue de "Sainte Germaine de Pibrac", de "Saint Antoine Ermite", de "Saint Joseph" à gauche de l'autel, de "Sainte Marie" à droite du même autel, puis de "Saint Antoine de Padoue", de "Sainte Marie-Madeleine" et enfin Saint Roch.
Sainte Germaine...
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Sainte Madeleine...
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Saint Antoine...
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Saint Roch...
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
" [...] Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis liniquité des pères sur les enfants jusquà la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent ". (Exo. 20/4)
A ce sujet, je rappelle l'interdit Biblique des images taillées, des statues... entraînant à titre unique une malédiction jusquà la troisième et la quatrième génération de ceux qui ne respectent pas ce commandement divin.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Semblant sortir du dessous de la table, Marie Madeleine, sur ce vitrail placé au-dessus de l'autel, répand du parfum sur les pieds de Jésus.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Sur ce bas-relief placé sous l'autel, on peut la voir agenouillée, en pleurs, à l'intérieur d'une grotte, devant une croix formée par deux branches.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Sur cette vue rapprochée, on note la présence d'un crâne et le curieux entrelacement des doigts de Marie Madeleine.
jardin de l'église Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Une grotte, remplaçant l'ancienne, avait été construite dans le jardin en triangle de l'église jouxtant le cimetière par B. Saunière et sa servante.
jardin de l'église Sainte Madeleine Rennes-le-Château
Détail du fond de la grotte
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Ce détail montre bien que le culte marial se tient sur ces lieux "terribles" comme le fronton de l'église l'indique dans la pierre gravée.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Pour rappel donc, la vénération des saints, des anges, des reliques est d'inspiration Babylonienne et totalement anti-Scripturaire...
deuxième commandement:
" [...] Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul ". (occulté et remplacé par " Le jour du Seigneur, tu honoreras " par Rome)
" [...] Jésus lui dit: Retire-toi, Satan! Car il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. (Matthieu 4/10) et (Luc 4/8)
" [...] Je tombai à ses pieds pour l'adorer; mais il me dit: Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie ". (Apoc 19/10)
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
A noter la présence d'un crâne et d'un livre ouvert au pied de la statue.
Chemin de croix station N° VIII |
Chemin de croix station N° XIV |
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
L'utilisation du flash étant interdite dans l'enceinte de l'église, j'ai pris ces clichés en lumière naturelle du jour (à gauche) ou lumière artificielle (à droite) selon l'emplacement des haut et bas-reliefs.
En haut à gauche du cliché de droite on peut apercevoir une pleine lune sur un mont bien identifiable dans la région, à savoir le pic du Bugarach déjà évoqué en cours de chapitre.
Le culte d'ISIS, récupéré par le Catholicisme a été remplacé par le culte de Marie, la Vierge à l'enfant.
Le morcellement en 14 morceaux du corps d'Osiris, son époux, a servi de support pour inventer la "fable" des 14 stations de la croix que l'on trouve dans les églises et édifices religieux Catholiques.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Cette fresque représente Jésus sur le mont des Béatitudes.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Au premier plan un sac de pénitence troué, avec un ensemble de roses parsemées au-dessus.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Cette pièce secrète (au centre), avec son il de buf, est accolée à la sacristie (à gauche). Elle est accessible par un placard à fond truqué depuis la sacristie... l'abbé Saunière avait un comportement franchement peu... disons ... Orthodoxe!
Eglise Sainte Madeleine et cimetière
Rennes-le-Château
Document personnel pas de copyright Juin 2006
"Le crâne et les os" = 153
Au-dessus de la porte d'entrée du cimetière, on peut voir ce blason constitué d'un "crâne et de deux tibias", maintes fois évoqué dans mes pages avec son pendant "Skull and Bones", la société occulte à laquelle appartient le "président Bush".
"Skull and Bones" ou "crâne et d'un os"
sources: http://www.gumball-machine.com/bulk-candy-64.html
Il est curieux de trouver ce nom pour une marque de candy destinée aux enfants...
Le crâne donne l'impression de sourire avec ses deux mâchoires et ses 22 dents, 22 étant le nombre de lettres basiques de l'alphabet Hébraïque, de la Kabbale ou le nombre d'arcanes (lames maîtresses) dans le jeu de tarot (parodique du mot Torah).
"PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS"
Au-dessus du bénitier porté par Asmodée figure cette inscription composée de 22 lettres:
Exposition Léonard De Vinci dans le Gum - Place rouge - Moscou
Document personnel pas de copyright Août 2006
" [...] Arrivés au lieu nommé Golgotha, ce qui signifie lieu du crâne, (Matthieu 27/33)
" [...] et ils conduisirent Jésus au lieu nommé Golgotha, ce qui signifie lieu du crâne. (Marc 15/22
" [...] Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha. (Jean 19/17)
Ce blason "Skull and Bones" est au moins à double titre parodique de la croix et du sacrifice de Jésus-Christ sur le Golgotha puisque le terme "Golgotha" signifie "lieu du crâne".
Les tibias croisés en arrière du crâne, un emblème SS cher aux nazis, forment la lettre Grecque "Khi" ou "Chi", le chrisme doublé du "P" que l'on retrouve dans la symbolique rattachée à la personne du Christ puisque le nom même écrit en Grec "Christ" commence par ce chrisme "X".
Les utilisateurs du système d'"exploitation" Windows XP comprendront mieux de quoi il en retourne au niveau de la parodie et de la finalité de ce "système d'exploitation" humaine. "Système Opératoire" se traduit par "OS" en général (pour l'anglais "Operating System").
Bénitier. Couvent St Gildard. Nevers (Mars 2006)
Document personnel pas de copyright Mars 2006
Pour exemple ce bénitier rehaussé du Chrisme dans la chapelle du couvent St-Gildard à Nevers où repose parfaitement conservé le corps de la voyante B. Soubirous qui avait été témoin des apparitions d'une entité se faisant passer pour "la Vierge Marie" à Lourdes.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
On retrouve le "XP" en décoration sur la chaire.
Eglise Sainte Madeleine Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Villa Bethania - Rennes-le-Château
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Construite en début de 20e siècle, la villa Bethania de style renaissance, se trouve sur le chemin reliant l'église Sainte Madeleine à la tour Magdala. Cette villa permettait à B. Saunière de recevoir des personnalités, des artistes, des ecclésiastiques, des politiciens...
Vue rapprochée de la serre
Villa Bethania - Rennes-le-Château
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
" [...] Et, les ayant laissés, il sortit de la ville pour aller à Béthanie, où il passa la nuit. (Matthieu 21/17)
" [...] Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, (Matthieu 26/6)
" [...] Lorsqu'ils approchèrent de Jérusalem, et qu'ils furent près de Bethphagé et de Béthanie, vers la montagne des Oliviers, Jésus envoya deux de ses disciples, (Marc 11/1)
" [...] Jésus entra à Jérusalem, dans le temple. Quand il eut tout considéré, comme il était déjà tard, il s'en alla à Béthanie avec les douze. Le lendemain, après qu'ils furent sortis de Béthanie, Jésus eut faim. (Marc 11/12)
" [...] Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, une femme entra, pendant qu'il se trouvait à table. Elle tenait un vase d'albâtre, qui renfermait un parfum de nard pur de grand prix; et, ayant rompu le vase, elle répandit le parfum sur la tête de Jésus. (Marc 14/3)
" [...] Lorsqu'il approcha de Bethphagé et de Béthanie, vers la montagne appelée montagne des Oliviers, Jésus envoya deux de ses disciples, (Luc 19/29)
" [...] Il les conduisit jusque vers Béthanie, et, ayant levé les mains, il les bénit. (Luc 24/50)
" [...] Ces choses se passèrent à Béthanie, au-delà du Jourdain, où Jean baptisait. (Jean 1/28)
" [...] Il y avait un homme malade, Lazare, de Béthanie, village de Marie et de Marthe, sa soeur. (Jean 11/1)
" [...] Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ, (Jean 11/18)
" [...] Six jours avant la Pâque, Jésus arriva à Béthanie, où était Lazare, qu'il avait ressuscité des morts. (Jean 12/1)
" [...] Une grande multitude de Juifs apprirent que Jésus était à Béthanie; et ils y vinrent, non seulement à cause de lui, mais aussi pour voir Lazare, qu'il avait ressuscité des morts. (Jean 12/9)
Lazarre demeurait à Béthania.
" Marie " est un prénom qui apparaît plusieurs fois dans le Nouveau Testament :
1) Marie la mère de Jésus
2) Marie Madeleine, femme venant de Magdala
3) Marie de Béthanie, sur de Lazare et Marthe
4) Marie femme de Clopas, mère de Jacques le Mineur et de Joses
5) Marie la mère de Jean Marc, une sur de Barnabas? (Col 4/10)
6) Marie, une chrétienne Romaine, saluée par Paul dans (Rom 16/6)
Au pied du flanc de côteau où se dresse la tour Magdala se trouve le lieu dit "Les Soubirous".
La "voyante" liée aux apparitions dites "mariales" de Lourdes a pour nom "Bernadette Soubirous".
"Dreamcatcher" à la sauce néo-satanique
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Et c'est donc au pied de ce versant Sud de la colline de Rennes le Château, que sont érigés des sortes d'autels païens à la mode hippie des années 70. Cette vue montre une imitation de "dreamcatcher" tendu entre deux arbres. On aperçoit au loin le village et la tour Magdala.
"cercle de pierres dressées"
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Ailleurs, on trouve un cercle de pierres dressées, dans le style d'un Stonehenge Lilliputien.
A quand les crop circles?
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Dans ce cas de figure, on trouve l'effigie d'une vierge noire et son enfant, alias Isis et Horus, juchée sur un ballon couvert de figures qui se voudraient être kabbalistiques et qui trouverait fort bien sa place au chapitre consacré au coup de boule Zidanien!
La "Vierge", enfin je veux dire la statue de la "Vierge" de Fatima avait fait l'objet de nombreuses prières principalement Portugaises et Brésiliennes lors de la dernière coupe du demon, pardon du monde de Foot-Baal pour s'attirer les Grâces de "la Reine des cieux" vers "l'arène des dieux" Germanique!
Les baisers, les caresses, les petis papiers, les cierges, les genuflexions, les ex-votos, les vux... rien n'y a fait!
Et puis on trouve les icônes traditionnelles plaquées sur des totems...
On peut aussi y trouver toutes sortes d'objets hétéroclites, épars ou arrangés selon une approche pseudo satanique ou sorcière, avec une inspiration "Gothique" au sens moderne de ce terme que lui donne une frange de la jeunesse, plutôt ignorante des symboles véhiculés.
Eglise Sainte Madeleine
Rennes-le-Château
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Document personnel copyright monuments historiques Juin 2006
Mais il est vrai qu'en un lieu proche dont certains disent qu'il est saint et d'autres "terribilis", un bénitier de ce genre est une invitation claire et nette pour s'engager sur des voies de perdition!
Le Da Vinci code (figure 2 ci-dessous) s'intègre tout naturellement dans ce décor lugubre et je laisse le lecteur cliquer sur les vues pour examiner l'agrandissement et partager à loisir le malaise que l'on peut ressentir sur les lieux!
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
Pour cette fin de paragraphe, histoire de vomir une bonne et dernière fois, je laisse l'internaute découvrir l'environnement de cet objet frappé d'un Chrisme reliant les lettres "P" et "S" qui, pour les "initiés" tendance Saint Sulpicienne mais à la sauce Débilo-Dan Brownienne, signifieraient "Prieuré de Sion", et non "Saint Pierre" et "Saint Sulpice" comme tout citoyen Français doté d'un peu de bon sens l'admettrait.
Mais de l'autre côté de l'Atlantique, une foule de frappadingues est prête à avaler n'importe quelle sornette, surtout s'il s'agit de rabaisser la Personne de Notre Seigneur!
Mais après le "coup" du WTC, que peut-on vraiment espérer de ces gens là!
L'Apostasie a été prophétisée et elle aura lieu!
Eglise et moulin de Cucugnan
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Document personnel pas de copyright Juin 2006
L'histoire du curé de Cucugnan décrite dans "Les lettres de mon Moulin" par Alphonse Daudet fait partie du folklore et des traditions liées à l'époque de l'Avent en fin d'année. On croit généralement que Cucugnan est un village fictif situé quelque part dans le Lubéron en Provence. En fait, il existe bien comme ce cliché le montre mais il se trouve à une quarantaine de kilomètres de Rennes-le-Château et le curé en question est une allusion directe faite à l'abbé Saunière...
En son temps, Rennes-le-Château ou plutôt son curé avaient posé problème à l'Evêché et même le Vatican.
On le constate donc, l'imprégnation occulte des lieux est doublement Mariale, avec d'un côté Marie, mère de Jésus-Christ et de l'autre, Marie de Magdala, témoin des derniers temps vécus par Notre Seigneur dans notre dimension.
Ne nous y trompons point, il s'agit bien d'ésotérisme, d'exotérisme et d'occultisme lorsque ces deux Marie sont évoquées sur ces lieux. La différence entre ces termes dépend à la fois de l'ensemble des uvres présentes sur le site et du degré de connaissance du visiteur pour en interpréter le sens caché ou symbolique.
Et ce serait faire disons acte de mauvaise foi... que de nier le fait que sur ce site particulier de Rennes-le-Château, une primauté est accordée par B. Saunière à Marie de Magdala, éclipsant presque Marie, mère de Jésus-Christ, dans un pays dit "Catholique" totalement dominé par le culte marial, et assujetti à cette "Principauté" démoniaque agissant sous le couvert de Marie, mère de Jésus-Christ.
Le curé avait été assisté par une femme dans le village, Marie Dénarnaud, une confidente et complice que les villageois avaient surnommée "La Madonne".
La France dans ces conditions est une véritable terre d'élection du culte de la Reine des cieux, ou celui en équivalence de la déesse Isis finalement travestie en Marie, "mère de Dieu"!!!
Messie
Carte du jeu "INWO" de S. Jackson
Ce scénario de la Reine des cieux prépare l'arrivée d'un Faux Christ que les idolâtres accueilleront comme étant Jésus-Christ, Celui des chrétiens et le Messie tant attendu des Juifs, les Juifs Messianiques étant ceux qui ont déjà reconnu Jésus-Christ comme le véritable Messie.
L'évocation d'un futur Roi de France, descendant de Jésus-Christ, voire même d'un roi d'Europe est à prendre au sérieux puisque le drapeau Européen est lui-même d'inspiration Apocalyptique et mariale!
Le culte Marial est idolâtre et constitue une abomination renforcée par la présence de statues, de prières et de vaines redites, de rites de sorcellerie déguisée (chapelet) et de dogmes blasphématoires, n'en déplaise aux religieux "mariolâtres ou marioles" qui m'opposent leurs traditions humaines et autres écrits papaux et prétendent dans leurs mails pouvoir me "protéger" de leurs prières adressées à Marie, de peur de me voir finir en enfer.
En conclusion de ce périple dans le Saunièreland, on peut résumer un certain nombre d'interdits Bibliques ignorés ou falsifiés par le Catholicisme Romain:
Pas d'église, pas de basilique ou de cathédrale, pas de bénitier, pas d'eau bénite, pas de signe de croix, pas de confessionnal, pas de statues, pas de croix, pas de crucifix, pas de chemin de croix, pas d'ex-votos dédiés à Marie ou à des saint "patrons", pas d'autel, pas de lumière rouge indiquant une "présence de Dieu", pas d'eucharistie, pas de ciboire, pas de tabernacle, pas d'ossements et/ou de reliques cachés dans les fondations, pas de reliques/répliques, pas d'habits sacerdotaux druidiques, pas de rites, pas de processions, pas de fête calendaire dédiée à un "saint", pas de chapelets, pas d'objets de culte à caractère "magique", pas de vaines redites, pas de prières détournées, et de toute façon pas de signes ésotériques, exotériques, occultes ou de messages cryptés pour les "initiés"...
A propos du soi-disant "tombeau de Jésus"
J M Thobois, pasteur - « pentecôte n° 3 » - mars 2008
Sources: http://www.blogdei.com/index.php/2008/03/15/3359-a-propos-du-soi-disant-tombeau-de-jesus
Dès le XIXe siècle, des découvertes archéologiques sont venues confirmer de nombreux textes bibliques Déclaration des Huguenots persécutés concernant l’indestructibilité des Ecritures : « Tant à me frapper on s’amuse, tant plus de marteaux on y use ».
Voici quelques réflexions au sujet de la découverte du soi-disant "tombeau de Jésus". Tout d'abord cette "découverte" s'inscrit dans un contexte très particulier. Depuis des dizaines d'années, les adversaires de l'Evangile tentent par tous les moyens de discréditer la Parole divine. Dès le XIXe siècle, des découvertes archéologiques sont venues confirmer de nombreux textes bibliques. Aussi les adversaires de la Bible attendaient-ils avec impatience le moment où des découvertes archéologiques viendraient contredire le texte sacré.
Les manuscrits de la mer Morte et les Esséniens Ils ont cru ce moment venu en 1947-1948, quand furent découverts les manuscrits de la mer Morte et la secte des Esséniens. Bien que ces écrits apportassent d'extraordinaires confirmations quant à la fidélité de la transmission du texte biblique, la découverte d'une secte inconnue fut pour les athées, une aubaine. Il y avait en effet de nombreuses similitudes entre "les écrits esséniens" et les Evangiles. De là à prétendre que ceux-ci n'étaient qu'un plagiat des textes de Qumran, il n'y avait qu'un pas que certains n'hésitèrent pas à franchir, tels John Allegro et André Dupont-Sommer. Pour eux, Jésus n'était qu'une pâle imitation du fondateur de la secte qu'ils appelaient le "maître de justice". Cette théorie qui fit sensation en son temps, n'est plus guère retenue par aucun chercheur sérieux. Pourtant, l'affaire des Esséniens revint sur le devant de la scène dans les années 1980, quand un journaliste américain en mal de copie prétendit que le Vatican avait fait pression sur l'Etat d'Israël pour que certains documents de Qumran ne soient pas publiés, parce qu'ils contenaient la preuve que les Evangiles étaient une fiction et notamment démontraient que la résurrection était un mythe. La réponse de la communauté scientifique ne se fit pas attendre : on décida d'accélérer les travaux de déchiffrement des manuscrits non encore publiés, qu'on édita au fur et à mesure (c'est d'ailleurs encore en cours). J'ai moi-même rencontré un de ces chercheurs, le professeur Pfit qui m'affirma que rien de révolutionnaire n'était contenu dansées manuscrits mais, qu'au contraire, on y avait découvert que l'idée d'un Messie souffrant, "Fils de Dieu" et "transpercé", y était présente. Là aussi, l'affaire, après avoir fait beaucoup de bruit, fit long feu !
Nouvelles offensives contre la Bible En 2003, un archéologue israélien, du nom de Finkelstein, publia avec un journaliste nommé Silvermann un livre dans lequel il se livrait à une démolition systématique de la Bible à partir de l'archéologie. Ce livre abscons, difficile à lire et extrêmement technique, fut pourtant le best-seller de l'année 2003. Finkelstein et Silvermann encouragés par ce succès récidivèrent peu après. Ce livre, dont on disait que dès lors "plus rien ne serait comme avant", est aujourd'hui quasi tombé dans l'oubli, ses théories ayant été contestées par d'autres savants israéliens. Dans ce même temps, à une année d'intervalle, deux journalistes de la chaîne "Arle" produisirent, à la période de Pâques, une série de six émissions : la première remettait en cause complètement les récits évangéliques de la passion et de la résurrection, la deuxième démolissait le livre des Actes.
Le "Da Vinci Code" II existe en France une religion répandue : "l'athéisme". Le grand public y est acquis et accueille donc avec chaleur tout ce qui pourrait le renforcer dans ses convictions. Le plus beau succès en la matière est sans contredit celui du romancier américain, Dan Brown, avec un premier ouvrage vendu à plus de quarante millions d'exemplaires, le "Da Vinci Code", dont on fit ensuite un film puis, "Anges et Démons". Ces deux romans se veulent une fiction, mais, dit l'auteur, basés sur des "faits réels", c'est-à-dire sur les évangiles apocryphes qui seraient plus fiables que les Evangiles canoniques qui ont été toujours, selon Dan Brown, retenus par l'Eglise, parce qu'ils allaient dans le sens de la théologie officielle de l'empereur Constantin. Brown semble ignorer le fait que Constantin n'est pour rien dans la canonisation des Evangiles, mais ça, le grand public l'ignore ! Il y aurait donc des apocryphes affirmant que Jésus a épousé Marie-Madeleine et en a eu une fille. C'est tout le thème du "Da Vinci Code". En réalité, aucun évangile apocryphe ne prétend cela. Un seul affirme que Jésus embrassait souvent Marie-Madeleine. Il s'agit d'un évangile gnostique, c'est-à-dire émanant d'une secte hérétique qui prenait délibérément le contre-pied de l'orthodoxie. Aucun chercheur n'a jamais admis que cet évangile était fiable historiquement d'autant qu'il est infiniment plus récent que nos Evangiles. C'est une règle chez les chercheurs de penser que plus on est loin de l'événement, moins le témoignage est fiable. Dans ce sens, les Evangiles synoptiques qui sont les plus anciens sont donc historiquement les plus sûrs.
"L'évangile" de Judas Le pas suivant fut la "découverte" de l'évangile de Judas. Il ne s'agissait pas vraiment d'une découverte - cet "évangile" étant déjà connu depuis fort longtemps - mais de celle d'un nouveau manuscrit de cet apocryphe. Judas le méchant était en fait le héros de l'évangile, l'ami privilégié de Jésus. Là aussi, nous avons affaire à un évangile gnostique, donc proche du "nouvel âge" si populaire de notre temps, qui compte aussi Dan Brown parmi ses adeptes. Pour les gnostiques, les "méchants de la Bible" devenaient chez eux systématiquement les "bons". Une fois encore, aucun chercheur sérieux n'accorde de crédit à ces propos fantaisistes, tout Juste bons à séduire un public ignorant. Dan Brown, malgré cet évangile de Judas qui apportait comme par hasard de l'eau à son moulin, fut rapidement mis en difficulté par les spécialistes qui relevèrent ses nombreuses erreurs historiques.
Un cinéaste cherchant un "coup" n'a que faire de l'archéologie, science complexe et exigeante Le "tombeau de Jésus"
Et soudain, ce fut le "miracle" : la découverte du "tombeau de Jésus" avec ses ossements, ceux de sa femme Marie-Madeleine et ceux de ses deux enfants, Judas et Matthieu ! Enfin, la thèse de Dan Brown et des adeptes du nouvel âge était confirmée par l'archéologie ! Cette découverte arrivait à point nommé, à un trop bon moment d'ailleurs, pour que cela soit anodin ! Remarquons que cette tombe était déjà connue depuis quelques années. L'archéologue qui l'avait découverte n'en avait fait aucun cas ! C'est enfin un cinéaste américain proche de Dan Brown qui se saisit de cette affaire pour en faire un film à grand renfort publicitaire ! Voilà donc un cinéaste qui se bombarde archéologue ! Quand on sait tout ce que cette discipline a de complexe, de travail patient, on ne peut que sourire devant de telles prétentions ! Pourquoi fallut-il attendre la sagacité de ce cinéaste ? Pourquoi les archéologues qui avaient découvert cette tombe des années auparavant n'en avaient-ils pas tiré les mêmes conclusions? Parce que le nom de Jésus (Yeshoua ouYeho-shoua, autrement dit Josué) était à l'époque du Nouveau Testament un nom extrêmement répandu. Déjà dans les années 1930, le professeur Sukenik avait découvert sur le mont des Oliviers une tombe portant cette inscription : "Jésus, fils de Joseph". A l'époque, la découverte fit sensation, jusqu'à ce qu'on se rende compte que les noms de Jésus et de Joseph étaient à peu près ce que sont chez nous, les Durant et Dupont. Là aussi, l'affaire fut, si j'ose dire, vite "enterrée". On peut faire la même remarque pour la tombe qui nous intéresse. Marie, (en hébreu Miriam) est aussi un des prénoms féminins les plus répandus à l'époque du Nouveau Testament, de même Juda et Matthieu. Pourquoi un certain Jésus n'aurait-il pas épousé une Miriam, sans qu'il s'agisse en rien du Jésus évangélique ? On prétend que cette Marie est de "Magdala". Premièrement, l'inscription est brisée à cet endroit et la reconstitution du texte est hypothétique et contestée ; mais même s'il s'agissait d'une "Marie be Madgala", il est probable que dans cette grande ville de Galilée, il y avait plus d'une Marie ! Quant à Judas et Matthieu, on peut faire les mêmes remarques en notant que pour l'Evangile il s'agit là de disciples ! Maintenant, d'autres problèmes surgissent : un tombeau de cette importance coûtait à l'époque une fortune ! Le propriétaire était donc un homme fortuné, ce qui n'était pas le cas du Jésus des Evangiles, ni de sa famille ! Quant à Joseph d'Arïmathée, qui avait mis son tombeau à la disposition de Jésus, la mention de ses os aurait dû aussi être signalée dans la tombe de Talpiol, car ce tombeau n'appartenait pas à la famille de Jésus, mais à celle de Joseph d'Arimathée.
« Matthieu 27/ 59 Joseph prit le corps, l’enveloppa d’un linceul blanc, et le déposa dans un sépulcre neuf, qu’il s’était fait tailler dans le roc. »
« Esaïe 53/ 9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche ».
Enfin, la famille de Jésus était de Nazareth et non de Jérusalem. Passe encore que quelqu'un qui décédait à Jérusalem soit enterré sur place, mais comment expliquer que la soi-disant famille de Jésus qui était de Nazareth ait aussi été enterrée à Jérusalem ? Surtout là aussi pour une famille pauvre. Quant au soi-disant squelette de Jésus, il ne porte aucune marque de crucifixion, alors qu'on sait à quoi ressemblait le squelette d'un crucifié, depuis la découverte en 1970 d'un supplicié non loin de Jérusalem, Aussi les chercheurs sérieux rejettent-ils d'un revers de main ce type de calembredaines. Même le professeur Emile Puech, de l'école biblique des dominicains, a déclaré publiquement qu'il vaut mieux en rire ! Un journaliste qui assistait à la "première" de la diffusion du film, le jugea "peu convaincant".
La conclusion des spécialistes en Israël et ailleurs est celle-ci : la tombe deTalpiot est celle d'une riche famille résidant à Jérusalem, qui y vécut des jours paisibles. Le fait que chacun des membres de cette famille porte des noms semblables à ceux qu'on trouve pour les principaux héros des Evangiles est pure coïncidence. C'est d'ailleurs le seul point qu'ils ont en commun avec eux. Le "Jésus" deTalpiot est décédé de mort naturelle comme le reste de sa famille ; il s'agit donc d'autres personnages que ceux du NouveauTestament. L'agitation faite autour de cette affaire passera comme ce fut le cas de celles mentionnées plus haut, ce ne sera d'ailleurs sans doute pas la dernière ! En revanche, chacune de ces affaires imprime un peu plus dans l'esprit du grand public l'idée que le christianisme est une "fable", un "complot" destiné à tromper le bon peuple pour le soumettre à une classe religieuse assoiffée de pouvoir et de rêve de domination mondiale. Le but est donc de susciter un rejet et une haine du christianisme. Ne s'agirait-il pas là de ce que Paul écrit dans 2 Thessaloniciens 2, quand il annonce que dans les derniers temps, les hommes détourneront l'oreilJe de la vérité pour se tourner vers des fables ? Alors ce serait l'esprit de l'Antichrist, l'esprit d'apostasie qui prépare l'avènement de ce personnage maléfique. Que les croyants véritables en tout cas, ne se laissent pas abuser dans leur bon sens ! •
Jean-Marc Thobois, rédacteur de la revue "Keren Israël"
J M Thobois, pasteur - « pentecôte n° 3 » - mars 2008