INTRODUCTION

sur le nombre 666

 

La confusion gagne chaque jour du terrain. Quelle cohérence peuvent conserver des adolescents qui assistent en Décembre 1999 à la projection du film "La fin des temps" où l'acteur Gabriel Byrne joue le rôle de Satan puis celui d'un prêtre à la mi-janvier 2000 qui vient en aide à une jeune fille athée et... stigmatisée ?

" [...] Et les scribes, qui étaient descendus de Jérusalem, dirent: Il est possédé de Béelzébul; c'est par le prince des démons qu'il chasse les démons. (Marc 3/22)

" [...] Et Mais quelques-uns dirent: c'est par Béelzébul, le prince des démons, qu'il chasse les démons ...//... Si donc Satan est divisé contre lui-même, comment son royaume subsistera-t-il, puisque vous dites que je chasse les démons par Béelzébul Et si moi, je chasse les démons par Béelzébul, vos fils, par qui les chassent-ils? C'est pourquoi ils seront eux-mêmes vos juges.? (Luc 11/15 et 18) et aussi (Mat 10/25) (Mat 12/24) (Mat 12/27)

La référence Strong rapporte:
Béelzébul (Angl. Beelzebub) = "seigneur de la maison"

1) un nom de Satan, le prince des mauvais esprits

Gabriel Byrne reconnaît en souriant qu'il avait pactisé avec Béelzébull pendant son enfance, en lui demandant de maintenir le temps au beau, un jour que sa grand-mère lui avait promis de l'emmener au cinéma à la condition qu'il ne pleuve pas.

Il n'avait pas plu, son pacte avait fonctionné et il est à présent... acteur de cinéma.

 

 

L'affiche du film à succès "Le sixième sens" présente dans notre environnement pendant plus de deux mois a laissé l'empreinte du chiffre 6, une aura sulfureuse qui pourrait en cacher deux autres pour l'instant. L'engouement pour le film a dynamisé la vente d'articles aux rayons ésotériques des commerces spécialisés.

 

 

En Avril 96, un livre traitant distinctement du problème de l'Antéchrist et de son nombre 666 parut, devançant de quelques semaines la vague de profanations d'inspiration satanique perpétrée dans les cimetières et sur des monuments religieux, à Toulon en particulier, dans la continuité de celles de Carpentras dont les responsables allaient être finalement identifiés après les aveux de l'un des profanateurs, au cours de l'été. Il s'agissait d'un ouvrage de Marc DEM, décédé depuis, un auteur dont je ne peux nier qu'il est apparemment fortement controversé mais à propos de qui je m'abstiendrai de porter toute forme de jugement en dehors de ses options religieuses.

Ayant accumulé un grand nombre de preuves photographiques, d'articles de presse depuis 1980 et ayant rédigé un manuscrit traitant succinctement de l'approche du problème et du mode de calcul du nombre fatidique, tous mes efforts avaient été réduits à néant suite à l'incendie incompréhensible de ma caravane (où je résidais à l'année) dans le sud de la France au moment même où je pénétrais dans la librairie "La Maison de la Bible" à Genève pour y chercher des adresses d'éditeurs étrangers à l'Union Européenne en général et à la France en particulier...

L'ouvrage de Marc DEM relatant une grande partie des faits que j'avais mentionnés sur mon manuscrit qui était devenu entre temps un compuscrit, je pensais pouvoir me dispenser de continuer à m'acharner sur un travail qui m'absorbait à plein temps tout en provoquant une suite ininterrompue de déboires et de pépins auxquels je ne pouvais plus faire face, le chômage total représentant le point le plus crucial avec tout ce que cela signifie : exclusion, manque de moyens financiers, déménagements successifs,... . Cependant, je ne pouvais me cacher qu'une lacune importante subsistait dans ce livre dans la mesure où les Ecritures Saintes n'étaient pas citées en référence et ce, selon un éclairage Evangélique qui n'a plus grand chose en commun avec l'enseignement Catholique Romain qui relève de la tradition humaine et d'une longue pratique séculaire de la distorsion et de la falsification des enseignements Bibliques pourtant clairement énoncés, pour la plupart.

Ce livre donc avait le mérite d'exister et d'apporter un rafraîchissement et une réactualisation de ce nombre "diabolique" dont beaucoup parlent et de manière souvent ironique, sans en connaître pourtant la véritable signification tragique pour l'humanité. En effet celle-ci sera un jour plus que prochain, confrontée à l'unique alternative :

- soit de l'accepter comme une marque et un laissez-passer universel tout en se damnant pour l'éternité et ce de façon irrémédiable

ou bien:

- de le refuser et ainsi se condamner à court terme en ce qui concerne la vie terrestre et subir la persécution alliée aux fléaux célestes envoyés par DIEU, comme jamais l'homme n'en a connus et n'en connaîtra dans son histoire transtemporelle avec pour point final le martyre. C'est la Bible qui le révèle:

" [...] Et il y eut des éclairs, des voix, des tonnerres, et un grand tremblement de terre, tel qu'il n'y avait jamais eu depuis que l'homme est sur la terre, un aussi grand tremblement. (Apocalypse 16/18)
L'ouvrage de Marc DEM débutait ainsi:
À l'automne de 1991, une certaine effervescence s'est manifestée à Nevers, où la cathédrale venait d'être dotée de vitraux modernes. Cinq artistes en avaient été chargés par le ministère de la Culture, avec la seule consigne de respecter la luminosité du lieu. Chacun donna libre cours à son inspiration, qui s'exerça surtout dans le domaine du symbolisme. Pas de figurations religieuses comme celles qui faisaient des cathédrales et églises d'autrefois de véritables livres d'images, des catéchismes et des histoires saintes visuelles et colorées. Mais l'émotion n'était pas tellement due aux haricots censés figurer, dans le chœur gothique, la Jérusalem céleste, ni aux rubans bleus évoquant sur les verrières de la nef " le peuple de Dieu en marche ". Ce qui provoqua l'étonnement d'un certain nombre de fidèles et de clercs, c'est le nombre 666 apparaissant sur un des vitraux du transept roman. Dans la multitude de signes, de figures, d'emblèmes d'interprétation hypothétique, ce nombre était à peu près le seul dont la signification parût claire : 666, c'est le nombre de la Bête, " un nombre d'homme " dit saint Jean dans l'Apocalypse, pas le nombre de Dieu, le nombre de la Bête qui, aux damiers temps, sortira de la terre et fera la guerre aux saints. On expliqua aux questionneurs que le thème choisi pour le transept étant précisément l'Apocalypse, le 666 y avait ainsi sa place. Un responsable du projet assura, quant à lui, que l'artiste n'avait pas dessiné des 6 mais des zéros : " C'est vrai que, vu d'en bas, beaucoup lisent 666. En fait, je peux vous garantir que ce sont trois zéros les uns à côté des autres.
D'ailleurs, de l'autre côté du motif central, on peut lire 144, soit douze fois douze, autre chiffre de l'Apocalypse. Le nombre des élus qui seront marqués du sceau du Seigneur et que celui-ci sauvera, est, dans Saint Jean, 144 000. Voilà d'où viennent les zéros. " Cela ne satisfaisait pas tous les curieux, un vitrail étant fait pour être vu d'en bas et non de la plate-forme d'un élévateur hydraulique, et l'attention ayant été attirée sur le nombre maudit par plusieurs faits récents ". 

Avant de continuer, une remarque importante;

"144 000" est en fait le nombre exact de juifs élus pour évangéliser aux quatre coins de la terre et qui sont intouchables. En effet ils sont marqués du sceau de DIEU, sont des descendants des tribus citées dans l'Ancien Testament, lesquelles sont clairement identifiées dans l'Apocalypse de Jean. L'Antichrist ne peut absolument rien contre eux et contre leur ministère, un ministère qui sera très certainement magistral et exceptionnel par son ampleur.

" [...] Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, (7:2) et il dit: (7:3) Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. Et j'entendis le nombre de ceux qui avaient été marqués du sceau, cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d'Israël: de la tribu de Juda, douze mille marqués du sceau; de la tribu de Ruben, douze mille; de la tribu de Gad, douze mille; de la tribu d'Aser, douze mille; de la tribu de Nephthali, douze mille; de la tribu de Manassé, douze mille; de la tribu de Siméon, douze mille; de la tribu de Lévi, douze mille; de la tribu d'Issacar, douze mille; de la tribu de Zabulon, douze mille; de la tribu de Joseph, douze mille; de la tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau. (Apocalypse 7/2-7)

Le verset suivant extrait du même chapitre est tout aussi clair quant au nombre indéfini d'élus qui ont vécu les périodes de persécution pendant la tribulation de l'Antéchrist.

" [...] Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l'agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains. (Apocalypse 7/9)

…//…

" [...] Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation; ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l'agneau. (Apocalypse 7/14)

De passage à Nevers la veille du dimanche de Pâques 97, persuadé qu'il s'agissait seulement d'une interprétation plutôt "tirée par les cheveux", je fis une visite à la cathédrale, à proximité de laquelle j'avais passé les 14 premières années de ma vie. Mon désarroi fût à la mesure de ma consternation devant ce pied de nez du Malin car à première vue, le nombre 666 est presque plus perceptible que la suite des trois "000" et leur ombre peinte sur le vitrail formant en fait un "666". ce nombre s'impose à la vue du passant même si le regard tente de n'y voir que la seconde moitié du nombre 144 000, le vitrail étant de surcroît coupé par un montant central scindant ce nombre en deux parties parfaitement distinctes. 

 

 

Vitrail 144000/666

...

vue générale

...

 

 

Comme nous le verrons dans un chapitre consacré au nombre 144, le nombre 666 gravite aussi à proximité du nombre 144 000 comme le prouvent les opérations suivantes :

 

144 000 - 144 = [6 x 6 x 6] x 666

144 000 : [6 x 6 x 6] = 666 + 144

 

Je laisse le lecteur juger en son âme et conscience, des intentions volontaires ou non, de l'auteur de ce vitrail. De mon côté, je ne peux que déplorer l'existence de cette "œuvre d'art"...

L'Apocalypse peut être traitée en respectant les Ecritures en utilisant la technique du vitrail comme le prouve celui de la cathédrale de Clermont-Ferrand, exécuté par Alain Makaraviez et Edwige Walmé. Une page " vitrail.htm ", lui est entièrement consacrée sur ce site comme une manière de contre balancer le mauvais goût de l'édifice Neversois.

Sur un plan anecdotique, Pierre Bérégovoy, ancien premier ministre et maire de Nevers, s'est donné la mort, tout comme Roger Quilliot, ancien ministre du logement et maire de Clermont-Ferrand...

 

 

Vitrail 144000/666

...

vues plus détaillées

...

Cliquer sur la vue pour charger une image élargie

 

144000 666

 

 

 

 

La semaine suivante, un ouvrage apparaissait sur les rayons des libraires et un paragraphe concernant le nombre 666 me rendait tout aussi déconcerté:

Sacrés nombres (Page 88)
" Les 800 000 mots de la Bible auront fait couler beaucoup d'encre... et de sang. Parmi tous ces mots, on trouve aussi beaucoup de nombres dont la plupart n'ont qu'une signification symbolique. Attachons-nous ici au plus célèbre d'entre eux : 666, le nombre de la bête ou du diable mentionné dans le Livre de l'Apocalypse.
Au cours des siècles, ce nombre a été exploité et surexploité : certains le cherchaient, grâce à une méthode cabalistique, parmi les noms de leurs ennemis. D'autres le voyaient caché derrière le nombre d'élus sauvés (144 000) au moment du jugement dernier. La numérologie sacrée était manifestement un "sport" largement pratiqué. Saint Augustin ne disait-il pas : Nous ne devons pas dédaigner la science des nombres, qui constitue une aide précieuse pour interpréter de nombreux passages de la Sainte Ecriture ? " Au fil des siècles, cet engouement s'est malgré tout émoussé. Aujourd'hui, 666 garde cependant un pouvoir de subjection presque intact. En témoigne le sort réservé à l'entreprise multinationale américaine Procter & Gamble, leader dans le secteur des lessives, qui dans les années quatre-vingt a été l'objet de suspicions et de désaffections de la part du public. Certains croyaient déceler dans le symbole de l'entreprise - un visage humain contemplant une myriade d'étoiles - de nombreux signes sataniques et notamment le chiffre du diable, 666. Pour conjurer cette malédiction, Procter & Gamble, tout géant qu'il était, s'est résigné finalement à supprimer son logotype de l'ensemble de ses produits, on peut en être sûr, avec le changement de millénaire, le chiffre de la bête n'a pas dit son dernier mot.

Deux pages plus loin, Page 90, comme une contradiction flagrante, le nombre 666 refaisait surface... dans un paragraphe intitulé "Damned !"

Thein, dans le Testament physique et moral, publie en 1877 sa démonstration selon laquelle l'Enfer ne serait pas sur terre, ni au centre de la terre, comme certains le pensaient.
" En supposant un seul couple de chaque race à l'origine, on a 5 couples ou 10 personnes, et en appliquant à ces données la règle des intérêts composés, on trouve jusqu'au déluge 9 289 000 naissances pendant 1 658 ans ; depuis le déluge jusqu'à notre ère, il s'est passé 2 326 ans ; pendant ce temps, s'il n'a survécu que 5 couples, ceux-ci auront engendré 2 213 867 610 000 enfants ; en poussant les calculs jusqu'en l'an 2000, on obtiendra le nombre 34 326 414 259 675 172 000 qui, avec les 9 289 000, font 34 326 414 259 684 461 000 rejetons. En admettant charitablement que tous les papistes soient sauvés, sachant qu'ils représentent aujourd'hui un septième de la population de la terre [..] au total le nombre de damnés serait de 29 422 641 251 519 917000. Il poursuit sa démonstration en expliquant qu'il ne voit pas " comment réunir pour les juger ces 34 326 414 260 milliards de ressuscités (..) et comment faire passer cette masse de damnés à travers les roches de toutes sortes à une profondeur de 5 666 660 m ? ".

Peut-on parler des "enfers" sur le ton de la plaisanterie, de l'anecdote ou comme n'étant plus qu'une superstition populaire archaïque et dépassée? Il a fallu presque 19 siècles pour que la prophétie Biblique concernant le retour des Juifs en Israël voit sa réalisation avec la création de l'Etat d'Israël le 14 Mai 1948 alors que ceux-ci au nombre de 18 millions (3 fois 6 donc) 10 ans plus tôt, dispersés à la surface de notre planète, étaient amputés d'un tiers de leurs semblables suite au délire paranoïaque et sanguinaire d'Hitler, un précurseur de l'Antichrist, celui de la "Fin des Temps", la marque de la Bête étant l'étoile jaune portée par les membres d'un peuple persécuté, qu'ils soient "riches ou pauvres, maîtres ou serviteurs..."

Après la déferlante de "Star wars", la sortie le 15 décembre 1999 sur Europe du film "La fin des temps" avec le nombre 666 en surimpression sur le nombre 1999 n'est qu'un élément de plus à rajouter à l'arsenal déployé par "le Prince de ce monde" pour se mettre en scène et préparer son avènement.

Bien d'autres exemples pourraient être cités... A une époque où tout ce qui touche à la Bible est considéré comme une référence à des traditions superstitieuses datant du "Moyen Age" dont on admire pourtant encore les cathédrales et leurs vitraux, notre siècle se distinguant plutôt par l'ampleur de ses deux premières guerres mondiales et ses génocides, il est urgent de reconsidérer la question afin de ne pas ressembler aux contemporains de Noé qui se moquaient de lui pendant les 120 ans qui lui avaient été nécessaires pour construire son arche... La décennie, peut-être déjà largement entamée, dans laquelle nous nous engageons est concrètement apocalyptique car tous les ingrédients prophétisés par les Ecritures sont à présent réunis bien au-delà de ce qui aurait pu être prévu il y a seulement une autre décennie... Les comptes à rebours s'affichent joyeusement alors que l'actualité nous prépare peu à peu au pire, de manière aussi visible que la comète Hale Bopp encore inconnue trois ans avant son passage.

L'imprévoyance humaine est risible quand à titre d'exemple on considère le "bug" du siècle avec le problème que posait la reprogrammation des dates dans le domaine informatique, (composée de 6 chiffres ../../.. et non 8 ../../….) par défaut d'anticipation, à partir du 31 décembre 1999 à minuit, l'An 2000 ne pouvant être codé par un double "00" ! Absolument tous les domaines étaient touchés, à l'échelon planétaire : qu'ils soient militaires, ou celui des transports, de la communication, industriel, médical... et surtout tout ce qui touche aux flux financiers ! L'échéance approchant, inexorablement et aux nouvelles propositions de solutions, s'ajoutaient de nouvelles difficultés inextricables. Une "Apocalypse virtuelle" s'annonçait selon les plus pessimistes, les optimistes eux, ne pouvant méconnaître les coûts astronomiques engendrés pour mettre en place les actions correctives... . L'Evènement du "non-bug" constaté dés les premiers jours de janvier 2000 a lobotomisé les cerveaux des moins vigilents, futures victimes des séductions qui sont sur le point d'être mises en scène, de façon subliminale pour la plupart comme l'annoncent les Ecritures en général et de nouvelles armes comme HAARP plus particulièrement.

" [...] L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés. (2 Thess. 2/9-12).

A cela s'ajoutent par exemple les vents solaires de plus en plus fréquents générant des ondes électromagnétiques dangereuses pour les composants électroniques, l'annonce de la comète LEE (à rapprocher de la comète ELE dans le film "Deep impact") etc.

Enfin, comme nous le verrons au chapitre spécifiquement dédié au nombre 666, le verset suivant est riche d'enseignements:
" […] Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. ((Apocalypse 13/18).

ce verset se suffit à lui-même et justifie le chapitre dédié à la langue Française, comme langue de révélation, pour la compréhension des temps eschatologiques qui s'annoncent:

En effet, si A = 1, B = 2, C = 3, D = 4 … l'ensemble des lettres "[Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six)]" donne un total de 666.

 

c

a

r

c

e

s

t

u

n

n

 

3

1

18

3

5

19

20

21

14

14

o

m

b

r

e

d

h

o

m

m

15

13

2

18

5

4

8

15

13

13

e

e

t

s

o

n

n

o

m

b

5

5

20

19

15

14

14

15

13

2

r

e

e

s

t

s

i

x

c

e

18

5

5

19

20

19

9

24

3

5

n

t

s

o

i

x

a

n

t

e

14

20

19

15

9

24

1

14

20

5

s

i

x

 

19

9

24

 

74 +

53 +

88 +

74 +

54 +

80 +

52 +

89 +

63 +

39 +

= 666

 

 

 

 

retour au sommaire