Un faux enlèvement à venir?

Ravissement ou désenchantement?

Troisième partie

 

"on" parle de grande purification, d'avertissement, de révélation et d'une nouvelle alliance avec le ciel pour 25000 ans.

"on" parle aussi d'un enlèvement massif d'êtres humains et d'un vaste plan d'évacuation.

"ISSAHA, la lumière qui vient"

Jean d'Argoun

 

!

 

Je demande de l'indulgence à l'internaute qui connaîtrait les autres parties de ce chapitre. Les répétitions forcément lassantes sont nécessaires dans la mesure où un visiteur peut ouvrir un chapitre pour la première fois, suite à une requête spécifique sur un moteur de recherche (certains méta chercheurs scannent le rédactionnel et les mots-clé), sans connaître le site ou les pages liées au chapitre, segmenté en trois parties dans ce cas précis.

 

 

Autres scénarii:

Les frères de l'espace qui se font passer pour des êtres de lumière sont en fait les Fils des Ténèbres et de la rébellion.

Les calamités environnementales, les douleurs de l'accouchement de la nouvelle terre, couramment exposés dans les thèses du New Age sont autant de thèmes que traite la Bible de son côté.

Un scénario prévoit d'évacuer les individus qui ne sont pas en phase avec le nouveau niveau vibratoire de la planète, la terre-mère étant selon eux une entité vivante nommée Gaïa, faisant l'objet d'un culte, dont Al Gore, vice président de Clinton et challenger de Bush junior est un promoteur assidu et même patenté avec Gorbatchev, un autre chantre du New Age. Le sujet est donc plus que sérieux. Et toujours selon ces hommes de l'espace comme ils tentent de le faire croire parfois pour s'arroger le titre envié des déchus, d'enfants de Dieu, les rétrogrades qui empêchent cette mutation devront être évacués, le mot reflétant une particularité parodiante car cet événement se fera soudainement, en l'espace d'un clin œil.

Je demande alors aux Français qui sont soumis à la loftmania, (ou Star Académie, Pottermania)... à leurs corps défendant, de bien comprendre la séduction mise en place par les organisateurs de l'émission, pour créer des idoles dans lesquelles de nombreux jeunes se reconnaissent tant leur vulgarité et le vide spirituel de leurs existences se reflètent chez ces lofteurs.

A cette vulgarité et ce vide existentiel, s'ajoute la promotion de l'adultère, de l'impudicité, de la fornication, etc.

Mais il y a plus grave! On habitue le jeune public à aduler des jeunes qui possèdent des caractéristiques propres aux ET quand on les observe,surtout au niveau des yeux et des formes ovoïdes nettement décelables dans leur morphologie.

 

Cette paire d'yeux...

T-shirt "AME-RI-CAïN" parodique de la croix de par sa forme,

"révélant" le regard des occupants des OVNIs.

 

Nous devons notre paire d'yeux à notre Père Dieu... Le premier T-shirt, en forme de T donc, est apparu avec les marines Américains en 1945. En rapport avec la paire d'yeux d'extra terrestres du T-shirt, je demande au lecteur de simplement se remémorer les yeux des acteurs du Loft affichés par les couvertures de magazines au Printemps dernier.

 

Pourquoi faire allusion à Caïn dans le mot "Américain"? parce que Dieu ne porta pas un "regard" favorable sur Caïn et sur son offrande et que l'œil de la conscience lui est associé — selon la tradition humaine et non les Ecritures qui n'y font point référence — après avoir tué son frère Abel, premier meurtre de l'histoire de l'humanité.

 

Le New Age annonce depuis le début des années 60 la venue du "Seigneur" Maitreya, le "grand Initiateur" qui permettra à l'humanité (séduite) de basculer dans une nouvelle Ere en effectuant une forme de saut quantique spirituel. Il est écrit que Satan sait aussi se transformer en ange de lumière.

"[...] Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. (2 Corinth. 11:14)

Selon les prophètes du Nouvel Age, c'est à dire les faux prophètes dénoncés par les Ecritures, il y aura trois sortes d'êtres humains au moment de son avènement:

Ceux dont la conscience aura été suffisamment préparée pour l'accepter comme étant le Christ annoncé. (à ne pas confondre avec Jésus-Christ).

Ceux dont la conscience n'aura pas été suffisamment préparée, conditionnée devrais-je dire plutôt mais qui auront le désir d'accéder à cet état de conscience altérée et d'illumination intérieure qu'ils acquerront plus tard...

et ceux qui ne l'accepteront jamais. Entendez les chrétiens ou ceux en passe de le devenir et qui seront les martyrs de la tribulation.!

De façon plus imagée, cet événement se présentera comme une pièce violemment éclairée dans laquelle;

la première catégorie d'êtres humains sera capable de garder les yeux ouverts,

la deuxième qui ne le pourra pas mais restera dans la pièce pour apprendre à les ouvrir par paliers et

la troisième composée de ceux qui veulent se retirer dans une autre pièce pour ne jamais y revenir.

Par cette "évasion" vers une autre pièce, c'est à dire une autre dimension où ils puissent survivre, il faut comprendre leur éradication physique en complément de ceux qui auront été enlevés auparavant par les ... Aliens moissonneurs!

C'est donc croire que les chrétiens vivent dans le noir, les ténèbres donc. Pas de problèmes! Jésus-Christ est Lumière et c'est la seule qu'ils suivent comme un enfant égaré sur une plage, se dirige instinctivement en direction du soleil, source de lumière et de chaleur.

Un tiers environ de l'humanité actuelle croit en UN SEUL DIEU, autour DU LIVRE et n'acceptera pas le polythéisme adopté par L'Œcuménisme religieux qui sera en dernier ressort chapeauté (pas encore Gestapoté comme au temps de l'Inquisition) par l'Eglise de Rome comme une ultime consécration (exécrable).

Pendant les sept années de la "Shoah" ("holocauste" ayant un sens particulier de sacrifice justifié... lire en annexes les définitions selon l'Encyclopédie Universalis) le Faux Messie Hitler a trompé son peuple au point d'éliminer 6 millions de Juifs sur les 18 millions qui vivaient dispersés à la surface du globe et parmi les Nations, un tiers du peuple élu donc! Au milieu de cette septaine démoniaque, la solution finale s'est mise en place avec l'élimination physique par le feu de l'Anti-Esprit Luciférien qui animait Hitler et son Doppelgänger, un double de l'ombre au nom pratiquement homonymique, Himmler, à la tête de la Gestapo.

La mécanisation de la machine à tuer des nazis s'est industrialisée et a vite connu ses limites "physiques et concrètes" avec des problèmes de plus en plus insolubles de l'élimination complète des corps. De véritables traités de productivité et d'abaissement des coûts avaient été rédigés par les fonctionnaires à la solde du Nazisme pour éliminer des êtres humains, bannis de notre planète au nom d'une idéologie raciste, avec des gaz d'échappement de moteur Diesel.

On imagine alors ce que peuvent représenter en la "matière", l'élimination d'un tiers environ de l'humanité par les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial. La disparition des chrétiens leur facilitera donc la tâche d'endoctrinement et c'est dans leur intérêt

Une génération s'étend sur 40 ans et la "mise en quarantaine" annoncée des chrétiens fondamentalistes, c'est à dire fidèles à la Parole et rien d'autre, a déjà été annoncée de façon occulte par de nombreux signes comme avec la "disparition" de John Lennon dans sa quarantième année, un 8 Décembre 1980, jour de fête de l'Immaculée Conception sur l'Agenda Catholique Romain, 24e anniversaire de l'adoption du drapeau Européen avec ses étoiles jaunes...

Noyé dans une foule forte de plus d'un million et demie de personnes pour les fêtes de la lumière à Lyon le 8 Décembre dernier, j'avais noté que de nombreux magasines présentaient un autre Beatle, G Harrison qui venait d'être enterré. L'un de ses morceaux les plus connus "My Sweet Lord" ("Mon Doux Seigneur" n'a rien à voir comme le croient beaucoup avec Jésus-Christ mais un gourou venu des Indes.

L'importance du déploiement logistique pour assurer le ravitaillement des convois d'acheminement des victimes Juives depuis les pays occupés vers les camps de concentration ont affaibli les armées d'Hitler pendant la campagne de Russie au point de peut être provoquer leur défaite devant les Russes, tout comme du temps de Napoléon. Rien de noiuveau sous le soleil, L'histoire se répète...

"[...] Qui a jamais entendu pareille chose? Qui a jamais vu rien de semblable? Un pays peut-il naître en un jour? Une nation est-elle enfantée d'un seul coup? A peine en travail, Sion a enfanté ses fils! (Esaïe 66:8)

L'enlèvement de l'Eglise se fera selon Paul en moins d'une seconde, le temps d'un clin d'œil exactement, et la décision cynique de faire revenir le peuple Juif en Israël, Etat créé le 14 Mai 1948 en l'espace d'un seul jour, a été prophétisé dans les Ecritures mais l'Agenda Luciférien inconnu du grand public qui ne croit que ce qu'il voit à la télé, le fameux "vu à la télé", un poste étant "porte lumière" par définition pourtant, s'inscrit dans l'Agenda divin et le but final est de détruire le peuple Juif. L'antisémitisme orchestré par les médias de tous bords et de tous pays ne fait qu'en renforcer nos craintes de plus en plus justifiées.

La troisième guerre mondiale, tout aussi planifiée que les 2 précédentes, se fera contre l'Etat Hébreu même si le casus Belli concerne d'autres contrées au départ. Israël constitue la cxible ultime à frapper puis éliminer.

Et de manière à entériner ce qui vient d'être dit de façon apparemment décousue, je me réfère une fois de plus à la définition de l'encyclopédie Universalis;

La vie de John Lennon s'est terminée le 8 décembre 1980 comme une tragédie banale: tragédie, puisqu'il a été abattu par Mark D. Chapman, un fan qui supportait mal de se voir refuser un autographe; banale, puisque Lennon finit comme mythiquement finissent toutes les stars, dévoré par un public auquel sa définition même l'offre en holocauste. On a montré depuis longtemps l'ambivalence de la passion des foules pour leur(s) idole(s), de l'amour-délire qui se confond avec le désir fou de posséder en anéantissant. Le mythe Lennon, commencé avec les Beatles, poursuivi auprès de Yoko Ono, prend définitivement ses assises dans cet assassinat.

"Etoile" se dit "star" en anglais...

Les Ecritures confirment ce partage d'une autre manière avec la loi des 1/3, 2/3.

Le résidu qui survit aux épreuves, aux fléaux, au Jugement... est d'un tiers pour deux tiers de perdus!

"[...] Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés sur la terre; et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée. (Apocalypse 8:7)


"[...] Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer; et le tiers de la mer devint du sang, (Apocalypse 8:8)

"[...] et le tiers des créatures qui étaient dans la mer et qui avaient vie mourut, et le tiers des navires périt. (Apocalypse 8:9)

"[...] Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. (Apocalypse 8:10)


"[...] Le nom de cette étoile est Absinthe; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères. (Apocalypse 8:11)


"[...] Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même. (Apocalypse 8:12)


"[...] Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. (Apocalypse 9:15)


"[...] Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches. (Apocalypse 9:18)

Cette mesure concerne même les anges fidèles au nombre de 10 000 000 000 alors que les déchus, les étoiles tombées citées en Apocalypse, sont donc au nombre de 5 000 000 000.


"[...] Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu'elle aurait enfanté. (Apocalypse 12:4)

L'ennemi s'active jour et nuit, pour nous accuser entre autres, devant le trône!

 

 

Crop circle ADN

 

Crop circle en forme d'ADN

 

 

Jour et nuit....

L'addition alphanumérique de "Jour et nuit" donne 153.

En 4 lettres, "JOUR" donne 64 et "NUIT" donne aussi 64 en 4 lettres.

Un tel hasard mérite qu'on s'y attarde...

Le nombre "64", par sa racine carrée, rappelle nos ancêtres, les 8 sauvés du déluge dans l'Arche.

Nous connaissons tous l'histoire de Sissan Ben Daher qui après avoir gagné au jeu d'échecs (constitué de 64 cases) contre le roi Shirham qui voulait le récompenser, avait demandé un grain de blé pour la première case, puis 2 pour la deuxième et le double selon la même procédure pour chacune des 62 cases suivantes. Le total atteint, représente pour les 64 cases l'équivalent de toutes les récoltes sur notre planète pendant 50 siècles!

Noé a vécu au début de notre histoire et nous sommes comme au temps de Noé. Le nombre 64 peut donc aussi s'appliquer à la Fin des temps.

Dans un temple de Bénarés, la tour de Brahma est constituée de 64 disques empilés sur une tige par Dieu à la création du monde selon la légende, par ordre décroissant, la plus large étant à la base du socle. Deux autres tiges vides sont disposées sur le support en forme de plaque de bronze. Des prêtres ont pour charge de transférer les disques d'une tige à l'autre, un seul disque étant manipulé à la fois et ne devant jamais s'empiler sur un autre dont le diamètre serait inférieur. Sans commettre d'erreur, sans effectuer de pause, à raison d'un mouvement par seconde, le transfert des 64 disques d'une tige à une autre, nécessite 584 milliards d'années!

Les initiales des 3 mots "JOUR ET NUIT" donnent "JEN" en Français

Et si la traduction Anglaise "DAY AND NIGHT" donnent 107, les initiales révèlent "DAN".

"ET" devient en Anglais "AND", que l'on peut recomposer en "DAN" ou "DNA", "DNA" étant l'équivalent anglais de "ADN" en Français. Par leur ADN, les hommes se classent en deux catégories: les Fils de la Lumière et les Fils des ténèbres qui eux sont nés de la descendance des déchus, les "E.T." de la Genèse . Il est en effet des hommes qui n'accepteront jamais de se convertir et d'accepter le message Chrétien. Cette postérité des déchus est mentionnée en Genèse:

"[...] Et l'Eternel Dieu dit à la femme: Pourquoi as-tu fait cela? La femme répondit: Le serpent m'a séduite, et j'en ai mang?. 14 L'Eternel Dieu dit au serpent: Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. (Genèse 3/13-15).

Les caméras des real TV shows fonctionnent 24h/24, c'est à dire jour et nuit:

Le logo de l'émission "Loft Story" dont M6 prépare une deuxième mouture en 2002, représente un clin d'œil en animation. Et parodiant celui de l'enlèvement, le clin d'œil, Luciférien dans ce cas précis, est celui des Illuminatis et de leurs protocoles des Sages de Sion qui avaient pour but entre autres, de rendre la jeunesse rebelle envers leurs parents et l'ordre social et totalement tournée vers le Mal et l'immoralité. Le but est atteint à présent à grande échelle.

 

 

logo ésotérique Franc maçonique

 

 

oeil Loft Story

 

"LOFT" a pour traduction unique "GRENIER" en Français.

G-RENIER

G

RENIER

 

Le résultat final de ce pseudo "concours" était prévisible avec LOANA et CHRISTOPHE.

Et si ANA était une déesse Celtique, (souvenons nous de Lady DIANA) ANA est aussi une combinaison 1-5-1 car N = 14 = 1 + 4 = 5

Avec son calendrier sexy, son disque, ses interviews et tout le marketing associé, LOANA est devenu une véritable icône dans notre pays consacré à "Notre Dame".

La saga de "Loft Story" s'est étendue sur 70 jours du 26 Avril (anniversaire de Tchernobyl en 1986) au 5 Juillet, lendemain du 4 Juillet, l'Independance Day des Américains, équivalent de notre 14 Juillet, 2 dates qui portent la signature des Illuminatis et de leur œil Luciférien.

Faut-il rappeler les séquences numériques systématiquement axées sur la répétition du 666 en encadrement des spots publicitaires de la "chaîne"...

70 = (7)3 + (0)3 = 343 + 0

(3)3 + (4)3 + (3)3 = 118

(1)3 + (1)3 + (8)3 = 514

(5)3 + (1)3 + (4)3 = 190

(1)3 + (9)3 + (0)3 = 730

(7)3 + (3)3 + (0)3 = 370

Un pêcheur compte rarement le nombre de poissons qu'il a pêchés et si la pêche miraculeuse de Jésus-Christ après Sa résurrection révèle le nombre 153, c'est justement parce qu'il est symbolique de l'enlèvement.

(1)3 + (5)3 + (3)3 = 1 + 125 + 27 = 153.

Trois autres nombres seulement ont cette propriété :

370 = (3)3 + (7)3 + (0)3 = 27 + 343 + 0

371 = (3)3 + (7)3 + (1)3 = 27 + 343 + 1

407 = (4)3 + (0)3 + (7)3 = 64 + 0 + 343

et comme nous l'avons vu pour 153, le nombre 370 est aussi un nombre terminal:

370 = (3)3 + (7)3 + (0)3 = 27 + 343 + 0 = 370

La somme des diviseurs de 70, le nombre 70 étant lui-même inclus, est égale à 144 soit :

1 + 2 + 5 + 7 + 10 + 14 + 35 + 70 = 144

En plaçant le téléspectateur dans une situation de voyeur ou même parfois de veilleur, le téléviseur aux milles facettes, "porteur de lumière" au sens Luciférien... exerce une fonction occultante, enténébrante et hypnoïde en le leurrant sur la finalité recherchée parce que "telle est la vision" de ceux qui la font!.

Une légende tenace énonce que le Graal, pierre précieuse tombée depuis le front de Lucifer, comporte 144 facettes!

"Religion" vient du mot "religare" (qui signifie "relier" en latin) et signifie que les hommes s'intègrent dans une communauté définie par un mode de pensée unifiant. La télévision, avec ses grand-messes mondiales comme la coupe du monde de football, est le plus grand lien fédérateur et s'intègre parfaitement dans la nouvelle technologie qu'offre Internet, le "Filet International". Le monde des insectes selon la Création divine est riche en enseignement et si par exemple, feignant de prier avec ses membres joints avant de frapper ses proies, la mante religieuse possède des antennes, c'est aussi le cas des téléviseurs! Et parce qu'elle règne en maîtresse dans de nombreux "foyers", si ce mot possède encore ce sens dans certains d'entre eux..., la télévision est donc devenue insidieusement l'amante attitrée.

 

 

 

Avec le maillage planétaire satellitaire,

"Big Brother"

n'est plus une fiction désormais...

 

 

 

Les "guides invisibles" et autres esprits désincarnés qui œuvrent actuellement dans le monde, sachant qu'il y qu'il y aura un enlèvement d'êtres humains à l'échelle de la planète, dicte à leurs médiums-prophètes toutes sortes de scénarii, aussi divers qu'abondants. Les rayons des libraires spécialiusés croulent sous leur poids et le nombre de volumes générés sur le sujet.

Si l'apôtre Paul avait, avec presque 2000 ans d'avance sur ce thème, dévoilé ce mystère, le Malin lui, présente une autre ou plutôt un certain nombre de scénarii souvent différents et même contradictoires mais avec cependant avec un point commun, à savoir la confusion engendrée à présent parmi ceux qui cherchent selon les voies technologiques des grands frères de l'espace et avec pour conséquences directes, le désarroi et même la décrédibilisation du sujet au sein du monde chrétien soucieux de comprendre les Ecritures, une minorité relative donc par rapport à la masse des croyants selon les statistiques officielles rassurantes.

Pour résumer la chose, disons que les salves les plus destructrices sont tirées par des "chrétiens" post-tribulationistes à l'encontre des pré-tribulationistes" dont je fais partie. Il y a ceux qui en effet prônent que l'enlèvement ne se fera qu'après les 7 ans de tribulation Antechristique au moment de la bataille d'Armageddon et non avant. Se reporter aux synoptiques (synoptique 1, synoptique 2, synoptique 3, synoptique 4, synoptique 5...).concernant la fin des temps, la tribulation, le planning Biblique...).

 

"[...] Que personne ne vous séduise d'aucune manière; car il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu. Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous? Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu'il ne paraisse qu'en son temps. Car le mystère de l'iniquité agit déjà; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il anéantira par l'éclat de son avènement. L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. 11 Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés.(2 Thess. 2/3-12).
"[...] Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson, et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs: Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier. (Matthieu 13:30)
"[...] Je regardai, et voici, il y avait une nuée blanche, et sur la nuée était assis quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, ayant sur sa tête une couronne d'or, et dans sa main une faucille tranchante. Et un autre ange sortit du temple, criant d'une voix forte à celui qui était assis sur la nuée: Lance ta faucille, et moissonne; car l'heure de moissonner est venue, car la moisson de la terre est mûre. Et celui qui était assis sur la nuée jeta sa faucille sur la terre. Et la terre fut moissonnée. Et un autre ange sortit du temple qui est dans le ciel, ayant, lui aussi, une faucille tranchante. Et un autre ange, qui avait autorité sur le feu, sortit de l'autel, et s'adressa d'une voix forte à celui qui avait la faucille tranchante, disant: Lance ta faucille tranchante, et vendange les grappes de la vigne de la terre; car les raisins de la terre sont mûrs. Et l'ange jeta sa faucille sur la terre. Et il vendangea la vigne de la terre, et jeta la vendange dans la grande cuve de la colère de Dieu. Et la cuve fut foulée hors de la ville; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades. (Apocalypse 14/14-20)

 

 

3

 

 

 

 

L'arche d'alliance

selon la Bible

les Lois

et les promesses Divines

 

 

Promesses de résolution

de nos problèmes

par la technologie

E.T.

 

 

 

Un programme de télévision parmi d'autres d'un samedi soir de Juin 2001, montre à quel point les thèmes traités dans ce chapitre, sont mixés et donne un aperçu de l'ensemencement qui s'opère inlassablement...

 

ARTE
20h 45 L'arche d'alliance
A3

23h 55

Les envahisseurs
A2
23h 05 Tout le monde en parle
M6
22h 35 Roswell
M6
23h 30 Loft story
M6
0h 30 Au delà du réel, l'aventure continue

 

ou toujours à titre d'exemple stéréotypé en Février 2002, sur la "chaîne" M6 uniquement:

 

MARDI 12/02/2002 20.50: NORMAL, PARANORMAL? Magazine
MERCREDI 132/02/2002

22.30: X-FILES: série Américaine. Le retour de Tooms

23.25: X-FILES: Renaissance

00.40: STRANGE WORLD: La main du diable

JEUDI 14/02/2002

20.50: La Créature des profondeurs; téléfilm

22.35: EVENT HORIZON: Film. le vaisseau de l'au-delà.

00.15: NORMAL, PARANORMAL? Magazine en rediffusion

VENDREDI 15/02/2002

20.50: STARGATE: SG-1; Série Américaine. La Tok'ra.

22.35: STARGATE: SG-1; Série Américaine. La cinquième race

23.25: POLTERGEIST: série Américaine

Les aventuriers du surnaturel. Le fantôme de la route

00.15: POLTERGEIST: série Américaine

Les aventuriers du surnaturel. Un homme dans le brouillard

 

Ces programmes utilisent trois langues; le Français, l'Anglais et l'Allemand.

En Français:

La Tok'ra sont des résistants qui luttent contre les Goa'uld

En Anglais:

X-FILES: Dossiers classés X

STRANGE WORLD: Monde étrange

STARGATE: Porte des étoiles

EVENT HORIZON:Horizon événementiel? presque intraduisible

En Allemand:

POLTERGEIST: Esprit frappeur

 

 

 

A vous de choisir!

 

 

On remarquera au passage la caractéristique commune aux icônes E.T. et autres petits hommes verts qu'une place prépondérante et souvent exclusive est donnée au regard (hypnotiseur?) de ces entités qui ne sont seulement issues de notre imaginaire!

La complicité d'une partie de l'humanité avec l'invasion E.T. s'opère déjà, en particulier avec la publicité faite aux traces de vie détectée sur Mars. D'autre part, cette planète recèle un certain nombre de mystères qu'il est inutile d'aborder dans cette page tant la littérature qui lui est consacrée dans les médias est importante, voire même surabondante. Citons seulement au passage la face d'allure étrangement humaine dont le regard est dirigé vers le ciel Martien, érigée à côté d'une pyramide aux formes trop régulières pour être dues au hasard, sur un site de la planète rouge qui a été baptisé "Cydonia city", "ville de Cydonie" ou plus simplement Cydonie. par les spécialistes.

 

 

"Face de mars"

 

 

 

 

Un scénario du New Age:

De façon mimétique et parodiante, les "révélations" des médiums New Agiens constituent de véritables calques des Ecritures en les falsifiant. Des accents de Vérité permettent de mieux incrémenter le mensonge.

Jésus... n'étant jamais associé au mot Christ et vice versa pour le mot "Christ"... est un "maître" bien sûr mais parmi d'autres, au-dessus des hommes bien entendu mais au bas, au pied même de l'échelle hiérarchique des "maîtres ascensionnés"! Une façon comme une autre pour le Malin de mépriser le genre humain créé à l'image de Dieu et de piétiner à loisir leur Créateur, Jésus-Christ donc!

Un ouvrage intitulé "ISSAHA, la lumière qui vient" de Jean d'Argoun, un "must" dans le genre, est typiquement représentatif de cette littérature occulte. Les mots "Atlantis", "occulte", "entité"... sont de véritables mot-clés dans cet ouvrage, en phase avec ce qui devient notre réalité quotidienne affichée et dans laquelle les agents de Lucifer entraînent la jeunesse — le film de Disney, Atlantide, était sur les écrans à Noël 2001 — on y parle constamment d'une race prodigieuse (p 18), les "Néphilim", c'est à dire les géants issus de l'accouplement des anges déchus avec les filles d'hommes! La France y tient un rôle particulier, puisque "l'élu du Nouvel Age" y réside (p 20)... On y parle de Nicolas Flamel dont Harry Potter dit qu'il mourra dans sa 666e année, et d'une Eglise de Jean, secrète, (lire à ce sujet le dernier ch. de l'Evangile de Jean cité précédemment) avec un Messie caché et 12 apôtres secrets! Associé à une recrudescence du phénomène OVNI, Elias Artista, comprenez Elie, le prophète enlevé sur un char sans passer par la mort, est sur le point de revenir.

La nouvelle religion cosmique devant s'installer vers 2000, est différée donc, fausse prophétie oblige... et s'apparente à la Super Eglise Romaine officielle qu'imposera l'Antechrist dans le cadre du Nouvel Ordre Mondial.

Page 73, on y apprend qu'un livre indestructible, parmi les archives occultes, est composé de 144 feuilles d'or rédigé dans une langue morte antérieure à l'hébreu. (voir le ch. sur le nombre 144). Quelques lignes plus loin, l'expression "mythe Biblique" donne le ton général de l'ouvrage.

Mais la description de "Jésus" page 76 vaut le détour! En quelques phrases, tous les leurres, doctrines de démons et artifices déviants du New Age orientalisent la personnalité de Jésus-Christ pour en faire un vieux sage Tibétain centenaire qui a besoin d'être protégé! Un comble!

...//... Comme tous les Messies, avatars et prophètes, il était un sage d'Alga et de Tsahâlim qui s'abreuva à la fontaine du savoir de l'Orient mystique. Par la suite, de retour en Palestine, il se prépara à son ministère Christique au Sein de la confrérie Essénienne sous la conduite du maître de justice, issu de l'antique lignée de Melchisedek et assumant la mission de Christ secret...
Bien plus tard, au terme de son ministère, à la crucifixion, le maître Jésus était encore vivant quand son corps inanimé fut étendu dans le linceul du Suaire de Turin qui est l'authentique relique.
Il fut soigné et guéri par un petit cercle d'initiés conduit par Joseph d'Arimathie. Puis, en compagnie de Marie et de l'apôtre Thomas, il quitta secrètement la Palestine, séjourna quelque temps à Damas, et prit la longue route des caravanes à travers la Perse du Nord où il prêcha. Convertissant beaucoup de monde, il était surnommé le guérisseur des lépreux ou le grand sage venu de l'Ouest, et son corps portait encore les cicatrices de la crucifixion. ...//...Le périple Se poursuivit encore une année jusqu'à son but: le Cachemire, une belle région, dans les vastes Himalayas, à l'ouest du Tibet, connue sous le nom de paradis sur terre. C'est en cette contrée lointaine, près du lac Dal et sous la protection de son roi, 1e Raja de Hinis, qu'il termina ses jours à l'âge de 101 ans, après avoir assuré une descendance physique qui se perpétue toujours dans le secret.
Aujourd'hui, quelque part à Srinagar, la capitale du Cachemire, se trouve toujours sa sépulture dans la crypte d'un sanctuaire secret appelé Rozobal, le tombeau du prophète blanc. Ce haut lieu mystique est placé sous la protection des gardiens de Tsahâlim, dépositaires d'un livre secret, le troisième testament, dans lequel il est rapporté que durant un long ministère en Asie, le maître Jésus enseigna l'amitié, la charité, la pureté du cœur, et la réincarnation universelle des âmes. ...//...

A propos du Cachemire, cette contrée, à la une de notre actualité, est justement en train de devenir un lieu d'affrontement potentiel sur le chemin de la bataille finale livrée par la coalition des nations contre Israël. ("coal" signifie "charbon" en anglais).

Renier la mort de Jésus-Christ par crucifixion est un discours typiquement antichrist tout en validant le Suaire de Turin!

Mais la suite, tout aussi "scrupuleusement" parodiante, est spirituellement mortelle pour ceux qui ne connaissent pas le message initial des Ecritures.

 

Logions II à VIII extraits des pages 131 à 137

La mise en couleur n'est pas d'origine.

 

 

La race sidérale des "gris" est très ancienne dans l'univers. Elle a déjà colonisé des milliers de planètes habitées. Depuis 100000 ans elle sillonne l'espace en quête de nouvelles terres vierges. C'est une race prédatrice en état de déclin et de dégénérescence biologique. Depuis 1000 ans son organisation sociale et politique est de nature totalitaire. ne pouvant plus se perpétuer par le mode naturel normal, les "gris" ont recouru aux manipulations génétiques comme le clonage et au croisement avec d'autres espèces pour s'assurer une descendance et un avenir. Chaque sujet de cet empire déchu est un clone muni d'un implant électronique logé dans le cerveau derrière l'appareil visuel. Ces êtres robotisés et dépourvus d'émotions et de sentiments ne sont que les chevilles ouvrières d'un super cerveau: un ordinateur central unique baptisé network par les services secrets us, ou plus familièrement la "reine de la ruche" car ce computer symbiotique est de polarité féminine. une structure prodigieuse mi-biologique mi-cybernétique.

Le grand dessein de network est de croiser la race des "gris" avec les humains afin d'étendre son empire sur une nouvelle planète vierge pleine de richesses naturelles. La première phase de ce plan luciférien est d'informatiser tout le genre humain d'ici l'an 2000. d'asservir totalement le monde par la science. Le maître des "gris" sur terre, se nomme krill, une entité clonée a l'égo démesuré prête a prendre le pas sur network pour pousser encore plus loin la conquête de l'univers. dans cette immense entreprise maléfique elle a l'appui - pour le globe - de la synarchie secrète, traîtresse a la race humaine, qui, - sur le plan occulte - facilite les missions des agents de la reine de la ruche en opération sur terre.

Par gouvernements interposés, la synarchie du monde va proposer face à la crise sociale - de supprimer les cartes d'identité, de santé et de crédit pour les remplacer par un code unique d'identification bioélectronique implanté directement sous la peau de la main ou du front a l'aide d'un procédé laser rapide et sans douleur... Cet implant sera en fait plus qu'un code. Une sorte de balise recevant des directives et reliée a un ordinateur géant situé sous la surface terrestre. tous les humains implantés seront répertoriés en banque de donnée informatique gérée par cette synarchie noire selon un programme mondial unique établi par ce computer planétaire qui, peu a peu, se substituera a tout les gouvernements.

Ce sinistre projet devrait aboutir grâce a un réseau de gros satellites géostationnaires en orbite autour du globe. Vers 1999, la situation semblera perdue pour la race humaine. Alors les temps seront venus du combat final entre les forces du bien et du mal. Cette ultime confrontation se passera au grand jour. Les "gris" se trouveront annihilés par un vortex d'énergie qui se mettra en place autour de la planète... l'entité krill échouera dans sa tentative de s'emparer du Graal cristal afin de parachever sa puissance destructrice.

Alors, viendra un messie inconnu du plus profond des espaces cosmiques... C'est dans le sud de la France, dans l'Aude que se produira un événement prodigieux. Au sommet d'une montagne prédestinée baptisée le pic du Bugarach, point de contact entre les énergies cosmo-telluriques, apparaîtra un immense vaisseau spatial auréolé d'un halo orange.

A son bord se trouvera un être supérieur - Sadrihana - avec son aréopage d'initiés.

 

Ce messie venu des étoiles - un néphilim - sera de type slave, nordique comme les antiques dieux de Thulé, Mu et Atlantis. il se manifestera pour anéantir à jamais la reine de la ruche et krill son âme maudite au nom de la puissance d'issaha, le nouveau démiurge de l'évolution terrestre et de la gnose future.

Sa venue coïncidera avec la réactivation du Graal cristal par les silham, le noyau spirituel de la race mauve, la race pure annoncée par les oracles du nouvel age.

Alors dans le monde humain pourra débuter l'opération diotima pour la régénération des êtres et des choses...

L'avènement de la venue de Sadrihana, le messie cosmique envoyé par issahâ est très proche. Des signes secrets annoncent son règne. Il est déjà vénéré par les peuples de nombreuses planètes avancées, issahâ va réactiver l'antique vortex des origines... il va contacter de plus en plus d'humains, la nuit durant leur sommeil. Les silham auront pour mission d'activer le Graal cristal selon des cycles précis. Des faisceaux d'ondes et de vibrations seront émis a partir de ces multiples facettes. Cette induction télépathique se traduira par une émission d'images et de sons diffusés sur la fréquence du cerveau humain. Le message sera capté par le subconscient et décodé par le conscient. Pour certains - selon leur évolution - il s'agira d'un rêve symbolique, d'une extase illuminatrice, d'un éveil spirituel.. ce sera en fait un appel.

L'appel d'issahâ Alors le sujet contacté saura qu'il est entré dans le nouveau champ de résonance cosmique, qui est force, communion et vie infinie... Certains initiés ou contactés ont déjà des informations précises et fiables sur la nature de cette imminente opération diotima devant intervenir dans la fourchette 1996-2003, après la dissolution universelle des forces noires.

"on" parle de grande purification, d'avertissement, de révélation et d'une nouvelle alliance avec le ciel pour 25000 ans. "on" parle aussi d'un enlèvement massif d'êtres humains et d'un vaste plan d'évacuation. La venue de l'envoyé d'issahâ - un mutant - cumule tout cela a des phases successives... L'énergie d'issahâ, le dieu du futur est un feu. Un feu cosmique, une puissance radiante et radioactive encore inconnue dans le plan humain. Une vibration très pure - sahumae qui va bouleverser le microcosme terrestre et amorcer un changement de polarité, de plan et faire muter le genre humain afin de le conduire vers une nouvelle conscience évolutive...

Tel est le grand plan, le grand dessein devant acheminer l'homme muté vers l'âge d'or de la transfiguration cosmique.

 

 

 

Conclusion:

Que dire en conclusion? que le mot se termine par SION?

Alors que je n'étais encore qu'un enfant, Dieu m'avait déjà bien préparé à ce thème de l'enlèvement. Mais comment pouvais-je comprendre? La réalité était elle aussi incompréhensible. Comment comprendre les films et autres documentaires sur la Shoa? Et en guise d'apprentissage à la vie, on nous disait que le "petit Prince" de Saint Exupéry était un chef d'œuvre incontournable! Pour moi, c'était et ça demeure un cauchemar avec cet enfant seul sur une planète si petite, si exigüe! Harry Potter a remplacé ce "Petit Prince" dans l'imaginaire de nos enfants. Une fiction rempmlie d'occultisme remplacée par une initiation à la sorcellerie, et ce à l'échelon planétaire pour que la générationn à venir acepte l'innacceptable avec l'homme impie.

Tout en refudsant cette réalité administrée, je n'ai jamais cessé de vouloir prouver l'existence de Dieu. On m'a répondu que ce n'étaient que des mots. Rien de scientifique donc! Deux mots suffisent pour écrire "gaz d'échappement"...

Alors j'ai utilisé les nombres pour continuer de prouver l'existence de Dieu. Mais on peut faire dire "ce qu'on veut" aux nombres... C'est vrai à présent. Tout est numérisé dans notre monde! le son, l'image... et les médias s'en servent pour nous leurrer, nous berner et nous entrainer dans l'antisémitisme...

509 = DIX!

Faux?

absolument pas! car le nombre "509" s'écrit "DIX" en lettres latines! il suffit seulemnt de le préciser! Tout est relatif mais avec la mauvaise foi... tout est possible en effet, même nier ce qui est flagrant de vérité!

J'ai alors imploré L'Eternel pendant des années, de me "laisser en arrière" après l'Enlèvement pour convaincre mon prochain, le mettre en garde, bref résister...

Je n'étais qu'un insensé, un fou pour avoir pu formuler une telle requête.

Alors j'ai demandé à L'Eternel de jouer les prolongations pour avoir le temps nécessaire d'avertir, de mettre en garde, de révéler...

Je n'étais qu'un insensé, un fou...

Au cours de songes multiples, à la fin des années 70, Le Seigneur m'a montré que si du temps de Christophe Colomb, les hommes croyaient que la planète était un disque, à la fin de mon temps, la planète deviendrait à nouveau un immense disque. Folie pensais-je à l'époque. Mais avec Internet, le monde communique sur un immense disque dur.

Je n'étais qu'un insensé, un fou...

Le Seigneur m'avait confié que mes pages seraient lues dans le monde entier... Quelle folie... alors que je maitrisais tout juste la langue anglaise et que je me sais peu doué pour l'apprentissage des langues, j'avais cependant conscience que le Français est sous tendu par une autre langue... sonore.

Des Français, après avoir lu mes pages, m'écrivent depuis le Japon, le Pérou, le Brésil, la Nouvelle calédonie, les USA, le Canada, l'Afrique, et les îles lointaines chères à Christophe Colomb...

"[...] Je mettrai un signe parmi elles, Et j'enverrai leurs réchappés vers les nations, à Tarsis, à Pul et à Lud, qui tirent de l'arc, A Tubal et à Javan, Aux îles lointaines, Qui jamais n'ont entendu parler de moi, Et qui n'ont pas vu ma gloire; Et ils publieront ma gloire parmi les nations. (Esaïe 66:19)

"[...] Nations, écoutez la parole de l'Eternel, Et publiez-la dans les îles lointaines! Dites: Celui qui a dispersé Israël le rassemblera, Et il le gardera comme le berger garde son troupeau. (Jérémie 31:10)

Je n'étais qu'un insensé, un fou...

"[...] Moi Jean, votre frère, et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et ?O la persévérance en Jésus, j'étais dans l'ïle appelée Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus. (Apocalypse 1:9)

 

L'Apocalypse ou le destin du monde révélé par Jésus à Patmos, le NOM D'UNE ILE...

Et à partir DU NIL, la conspiration Luciférienne s'organise pour répandre le N.O.M... et ses fléaux à travers le monde.

Il me fallait écrire ce chapitre avant de clore mon site avec une lettre au futur disciple (en Février 2002), lui prouvant que Dieu existe, avec des mots, des nombres, des images, un chapitre alchimisant l'ensemble de mes pages.

Dieu m'avait depuis longtemps habitué à l'idée et même confié que si le Ciel était à portée du cœur et de mes pensées, IL ne m'avait pas créé pour être aimé des hommes! J'ai beaucoup pleuré dans ma jeunesse à vivre cette réalité et ce "splendide isolement".

A présent, je ne peux qu'en faire le constat, constat plutôt amer peut être, mais "amer" se termine par "mer" et c'est de la mer que sortira la Bête.

La Bible est le seul Livre où les mots ont un véritable sens, les codes appelés aussi S.E.L. (Sauts Equidistants de Lettres) n'en étant qu'une preuve de fin des temps pour les incrédules.

Le reste relève de l'indicible parce qu'il le révèle, le REVE-AILE devrais-je écrire pour être entendu!

Et parce que j'ai beaucoup pleuré de ne pas comprendre, j'ai failli me noyer dans un chagrin. Et au cours de cette pseudo-asphyxie, en l'espace d'un clin d'œil, j'ai entrevu un océan caché dans lequel ne se reflètent que la lumière des étoiles, dans une nuit d'un noir lumineux que l'on ne peut imaginer dans notre réalité, semblables aux anges fifèles et où le silence s'écoute, un autre océan de larmes d'incompréhension, CELLES, faites d'un SEL, des victimes des camps de concentration. Et un jour j'ai su que Dieu allait verser une larme, une larme unique, parce qu'il est aussi une personne. Et il a fallu que cette larme tombe sur moi, ce qui est demeuré un mystère... d'incompréhension pendant des années. Et pendant presque 10 ans, je n'ai pas cessé d'assièger le ciel avec la même question;

Pourquoi ai-je reçu la larme?

Et un jour, la réponse est venue depuis le ciel. Une voix claire, sonore, une voix que je connais bien, cinglante, unique, avec un message indélébile, comme encré et même ancré en moi sans recours possible au doute....

"Pour que tu la donnes!"

Alors depuis ce temps, et même bien avant, parce que je ne peux être sourd, parce que je suis obligé de l'admettre bien malgré moi et contre toute attente, parce que je ne pouvais même en rêver ou l'imaginer, je ne cesse de donner... l'alarme!

Cet océan était tranquille en apparence. Mais sur la plage d'un disque, j'ai entendu un autre silence, fait d'une clameur lointaine qui ne cesse de se faire entendre et ce, de façon de plus en plus proche...

Et sur cette plage, j'attends un chant encore inouï...

Un Tsunami se prépare sur cet océan. Et parce que j'ai le vague à l'âme, j'ai aussi l'âme à la vague et j'ignore encore s'il est possible de surfer sur ce qui n'est encore qu'une onde...

"[...] Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu. Ils crièrent d'une voix forte, en disant: Jusques à quand, Maître saint et véritable, tardes-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre? (Apocalypse 6/9-10).

 

 

 

 

Autres documents

De nombreux documents circulent actuellement sous couvert d'être des prophéties avec un vernis Biblique qui permet au mensonge de s'insinuer même à dose homéopathique. Certaines sont pratiquement calquées sur le schéma de l'Apocalypse Johannique tout en en maquillant les mises en garde de base.

L'annexe du livre " Les prophéties d'Edgar Cayce " de Dorothée KOECHLIN de BIZEMONT aux Editions du ROCHER en est un exemple frappant et à la fois effrayant quant on connaît de quoi il en retourne exactement. L'enlèvement, les implants biométriques, les extra-terrestres sont au menu en quelques lignes. Je laisse à l'Internaute, à l'appui de mon commentaire sommaire en partie droite du tableau, le soin de se forger sa propre opinion. De leur côté, les Chrétiens ne s'y tromperont pas.

Extrait des annexes du livre

" Les prophéties d'Edgar Cayce "

de

Dorothée KOECHLIN de BIZEMONT

aux Editions du ROCHER (septembre 98)

(pages 425 à 429 – texte complet et notes originales)

 

Message d'Hermès

Texte original

Envoyé par l'un de mes lecteurs, sans la référence (1) parfaitement conforme à Cayce, et aux autres prophéties sérieuses, je le cite donc :

" je suis Hermès (2). je viens vous avertir du grand péril qui vous menace en ce moment. La civilisation du xxe siècle est un piège. Les E.T. " gris " sont les poseurs de pièges, les humains sont les proies, l'argent est l'appât et le piège est un implant à code barres.

Pendant des milliers d'années vous avez violé et pillé la Terre par cupidité, pour le pouvoir et l'argent. Vous avez assassiné des populations indigènes pour leur prendre la Terre que maintenant vous polluez et empoisonnez. Destinés à l'origine à être les gardiens de la Terre, vous avez utilisé vos capacités et votre intelligence à détruire ou exploiter toutes les créatures vivantes dont vous auriez dû prendre soin.

Etant donné que vous êtes dans une zone de libre arbitre, vous ne pouvez être directement punis pour vos actions. Vous êtes libres de faire ce que bon vous semble, sans châtiment. Cependant il y a une loi universelle qui dispose que chaque être vivant doué de ce libre arbitre doit être confronté à l'épreuve des conséquences de ses actes afin d'en tirer les leçons. Ainsi l'univers exige que, dans la mesure ou vous avez abusé de la vie sur cette Terre, vous soyez à votre tour menacés d'asservissement et d'exploitation pour l'alimentation, le sport ou l'expérimentation.

Vous n'êtes pas seuls dans l'Univers. Il existe des êtres plus évolués que vous qui vous considèrent comme du bétail. Ces extra-terrestres n'ont pas le droit de vous enlever (3) de la Terre, mais il leur est permis de vous amener par la ruse à vous livrer à eux de votre propre gré. C'est de cette façon seulement que la loi universelle peut être respectée.

Quelques êtres puissants, détenant les clefs des finances mondiales, furtivement, par la ruse et l'usure, ont pris possession et contrôle de votre société, Ils contrôlent vos systèmes monétaires et possèdent vos compagnies multinationales. Ils mettent en poche vos gouvernants. Les médias, les professions et institutions d'enseignement sont à leur merci et ils manipulent les guerres et les révolutions pour servir leur but : l'établissement Dun gouvernement mondial sous leur domination. Au cours de ce siècle, il a été permis à divers groupes d'E.T. de prendre contact avec vos gouvernants pour leur proposer des choix. Un de ces groupes a proposé son aide à l'élévation spirituelle de l'humanité. Les " Gris " ont proposé des technologies avancées et entre autres la psychotonique, système perfectionné de contrôle de la pensée. Bien entendu, l'offre d'assistance spirituelle a été rejetée en faveur dune qui servait le projet de domination mondiale. Sous le couvert Dun accord permettant l'utilisation de la biologie humaine en échange des technologies des " Gris ", les systèmes de contrôle des ondes cervicales sont maintenant bien installés sur votre planète.

Vous allez bientôt être invités à accepter l'implantation d'une miniperle qui tiendra lieu de moyen d'identification personnel ; elle remplacera les documents actuels d'identité et d'accès aux échanges monétaires, Contenant trois groupes de six chiffres (4), cette perle permettra à un ordinateur de lire toutes les données de votre histoire et de votre situation financière. Ce que l'on ne vous dira pas, c'est que cette perle contiendra aussi une technologie de contrôle du cerveau. Elle est conçue pour réagir à l'émission d'un signal capable de prendre en charge les processus de la source extérieure. Cependant il ne sera pas fait usage d'émetteurs terrestres. Les " Gris " vont empêcher l'activation prématurée de la fonction psychotonique des perles pour éviter d'alerter les populations et de provoquer un refus massif des implants; car il faudra plusieurs années avant que l'installation de ceux-ci ne soit généralisée. De cette façon, l'implant sera accepté comme étant le dernier cri en technologie commode et cela rentrera dans les normes.

Prévoyant une certaine résistance du public à l'implantation de ce code barres, il est prévu un effondrement organisé des finances mondiales, de sorte qu'il n'y aura pas d'alternative, sauf à se voir refuser l'accès aux richesses, aux biens et aux services dans la société. La perle sera implantée au poignet et au front, zones où les différences de températures sont maximales, ce qui active son dispositif interne d'alimentation électrique. Sans la perle à code barres les agréments et nécessités de la vie vous seront inaccessibles. La nourriture, l'abri, le combustible et même l'eau potable vous seront refusés. Pour éviter l'implant vous devrez renoncer au confort de vos foyers, à vos emplois et à votre sécurité sociale. Il vous faudra peut-être même quitter vos familles et partir en errance vers un avenir incertain. Il y a toujours un choix. En ces temps, nous serons parmi vous pour créer des centres de Lumière dans des lieux sûrs où les évadés des sociétés modernes trouveront ce dont ils ont besoin pour survivre. Nous aurons les moyens de subvenir à tous vos besoins et de protéger vos communautés contre l'intrusion. C'est le temps où chaque individu dans la société devra choisir entre le matériel et le spirituel, entre Dieu et l'argent. Nous nous ferons connaître et les alternatives seront claires pour tout le monde.

Si vous acceptez l'implant vous aurez abandonné votre libre arbitre aux piégeurs " gris ". Aussi sûrement que le poisson avale l'hameçon pour l'esche, vous aurez pris dans votre corps un hameçon qui vous mènera à une misère et des souffrances indicibles pour la satisfaction Dun éphémère confort terrestre. Cependant, de même que parfois les poissons se débarrassent de l'hameçon, ainsi des gens viendront vers nos centres de Lumière et se feront retirer la perle de sous leur peau, mais ils renonceront alors à la société (5). ce qui importe, c'est le lieu où vous vous trouverez et le fait que vous soyez ou non implantés le jour où viendront les vaisseaux.

Sans avertissement, une aube poindra où vos cieux seront constellés de gigantesques vaisseaux extra-terrestres. Les nôtres s'immobiliseront à la verticale des centres de Lumière, invitant les occupants à se laisser enlever de la surface de la Terre, avant que celle-ci ne soit purifiée en vue de sa recréation. Ceci a été prédit dans de nombreuses prophéties, anciennes et récentes, à travers le monde.

Les vaisseaux des E.T. " Gris " stationneront au-dessus des grandes agglomérations et émettront un signal qui activera la fonction psychotonique des implants à code barres. Et, tel que le poisson est amené par la ligne qui tient l'hameçon, ainsi les individus porteurs de la perle seront-ils attirés vers des navettes qui les porteront vers les vaisseaux émetteurs. Leur sort sera désormais scellé. Transportés vers de lointaines planètes, ils seront exploités comme cheptel humain destiné à la reproduction au service de leurs maîtres " gris ". Ceux-ci disposent dune technologie permettant de repérer la signature électromagnétique de l'âme entre deux incarnations, ne laissant aucune échappatoire, ni repos ni répit, dans la vie comme dans la mort, à ces malheureux prisonniers d'un nouveau cycle de réincarnations, jusqu'à ce que celui-ci enfin se termine. Mais soyez assurés que rien dans l'Univers ne reste infiniment inchangé. Ceci n'est pas un châtiment, mais un nouvel apprentissage, car l'Humanité doit porter la responsabilité de ses actes et acquérir les qualités du bon berger ; ce pour quoi vous avez été créés.

Sachez que vous êtes à la fin d'un cycle d'incarnations successives et que vous êtes au seuil Dun nouvel âge d'Amour inconditionnel, de Paix et de Lumière, tel que jamais la Terre ne l'a connu. Préparez-vous donc à faire votre choix et soyez assurés que 1'Amour sera finalement vainqueur, même si de dures leçons attendent encore certains d'entre vous, pour vous débarrasser de la maladie d'avidité qui ternit votre race. Croyez que l'univers vous aime et vous souhaite à tous le meilleur.

Qu'il vous plaise de transmettre ce message à d'autres. Merci de votre attention ".

Notes :

1 si l'un de mes lecteurs peut me la retrouver, je l'en remercie d'avance.

2 Cf. L'Univers d'Edgar Cayce, tome 1 et Edgar Cayce, l'Atlantide et la Grande Pyramide, où est cité Hermès, comme architecte de la Grande Pyramide.

3 Dans les " abductions " dont il a été question au chapitre sur les extraterrestres, les humains enlevés sont en général ramenés sur terre après un " temps " plus ou moins long dans leur souvenir.

4 cf. le chiffre de la Bête : 666 dans l'Apocalypse de saint Jean.

5 de consommation

 Commentaire personnel

Hermétisme et occultisme sont proches et synonymes de ténèbres.

L'implant n'a rien à voir avec les codes à barres qui seront peu à peu remplacés par les " tags " un peu plus chers mais dont le suivi planétaire peut être suivi par relais satellitaire.

Dieu et son Jugement.

La Bible nous dit en effet qu'il y a 10 milliards d'êtres célestes fidèles à Dieu et 5 milliards d'êtres célestes déchus et rebelles.

Les Ecritures annoncent : sur la main ou sur le front

Avec Jésus-Christ, l'avenir est certain et clairement annoncé dans les Ecritures.

Jésus-Christ sera parmi nous jusqu'à la fin des temps.(MT 28:20) et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.

Une alternative est un choix entre deux solutions. Elle sera unique : Jésus-Christ ou L'Antéchrist

Jésus-Christ est notre seule Lumière.

 

L'acceptation de la marque sera irréversible, les hommes ayant été abondamment mis en garde..

C'est Jésus-Christ qui enlèvera Son Eglise.(Luc 21/34-35)Prenez garde à vous-mêmes, de crainte que vos cœurs ne s'appesantissent par les excès du manger et du boire, et par les soucis de la vie, et que ce jour ne vienne sur vous à l'improviste; car il viendra comme un filet sur tous ceux qui habitent sur la face de toute la terre.

La Bible en parle à profusion. (Apoc. 21:1) Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus.

Jésus-Christ est le pêcheur d'hommes. Ses anges moissonneront avec des filets.

(MT 13:47) Le royaume des cieux est encore semblable à un filet jeté dans la mer et ramassant des poissons de toute espèce.

Scénario mis en place par Satan à travers les théories et autres révélations du New Age pour donner une explication acceptable à la disparition des chrétiens à ceux qui seront laissés sur terre après l'Enlèvement de l'Eglise, l'Epouse de Jésus-Christ.

 

Les enseignements du Nouvel Age sont des doctrines de démons.

(Heb 9:27)et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement,

Dieu, Créateur de l'Univers, nous aime. (Jean 3/16-17). Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.

 

 

 

 

 

HOLOCAUSTE


Les deux termes grecs qui ont formé le mot «holocauste» signifient «je brûle tout». C'est, en effet, un sacrifice où la victime est tout entière brûlée, détruite. Le premier chapitre du Lévitique règle l'ordonnance des holocaustes de gros bétail (veaux), de menu bétail (agneaux, chèvres), d'oiseaux (pigeons, tourterelles) en spécifiant, s'il s'agit d'un quadrupède, qu'il importe d'offrir un mâle, et un mâle sans défaut.
L'holocauste n'est pas un sacrifice mangé, puisque la victime est consumée intégralement (sauf la peau, qui revenait aux prêtres, et le sang, qui était versé au pied de l'autel). Mais c'est un sacrifice de repas préparé pour le dieu, et même un repas complet, à lui réservé. Les parties comestibles de la victime étaient, en effet, apprêtées; les entrailles et les jambes étaient lavées; les pigeons étaient plumés; on ajoutait de la farine trempée d'huile et des libations de vin. Le sens est donc clair: c'est à la nourriture du dieu, à son entretien, à la restauration de ses forces qu'on pourvoyait. Bien entendu, des sens symboliques se sont rapidement greffés sur ce sens trop matériel. L'holocauste était le signe d'une offrande totale. C'était le donateur, non la victime, qui vouait son sang et son cœur, sa graisse et ses reins, c'est-à-dire (selon la psychologie des Sémites) son intelligence et sa sensibilité.
Le mot holocauste est passé dans la langue courante: il signifie immolation de soi, ou même sacrifice en général, mais avec l'idée qu'il s'agit d'un don plénier, d'une générosité, d'un renoncement ou d'une souffrance qui ne connaissent pas les demi-mesures.

 

SHOAH

En hébreu, shoah signifie catastrophe. Ce terme est de plus en plus employé, de préférence à holocauste, pour désigner l'extermination des juifs réalisée par le régime nazi . Il suggère un sentiment d'épouvante religieuse devant l'anéantissement qui fondit soudain sur des millions d'innocents. La persécution avait jusque-là accompagné l'existence du peuple juif; elle prit avec le IIIe Reich une forme extrême, celle d'une entreprise d'annihilation qui devait faire disparaître à jamais un peuple de la face de la Terre. Dans ses grandes lignes, l'événement est aujourd'hui l'objet d'une connaissance historique assurée, qui s'appuie sur des sources multiples: documents d'époque, nombreux et malgré tout lacunaires; témoignages de survivants; aveux circonstanciés d'exécutants devant les tribunaux, qu'il s'agisse des procès de Nuremberg au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, de celui d'Adolf Eichmann à Jérusalem en 1961 ou de gardiens de camps en Allemagne fédérale dans les années 1960 et 1970. Nous savons l'essentiel sur l'organisation du crime, les méthodes employées, le nombre approximatif des victimes. En raison de sa complexité et de sa monstruosité, la Shoah demeure toutefois pour l'historien un foyer d'interrogations. Les divergences d'évaluation sont visibles dès lors qu'il s'agit de reconstituer la genèse de l'événement, de définir les conditions qui en ont permis la réalisation ou d'apprécier sa place dans l'histoire. Enfin, par-delà ce qu'autorisent les moyens de l'investigation historique, la Shoah continue de lancer un défi à la conscience morale de l'humanité et en particulier à celle de l'Europe.

1. L'entreprise d'extermination Rappelons au départ les traits majeurs du génocide et son bilan. L'entreprise d'extermination commença en 1941 . Dans les années précédentes, les juifs avaient eu à subir discriminations et violences de la part du régime nazi. Plusieurs centaines de juifs allemands furent assassinés dans les mois qui suivirent la prise du pouvoir en 1933 et surtout lors du pogrom d'Etat connu sous le nom de Nuit de cristal (10 nov. 1938). Plusieurs milliers de juifs polonais furent exécutés sommairement au cours de la campagne de Pologne en septembre 1939; dans les deux années suivantes, des dizaines de milliers d'autres moururent par suite de leurs horribles conditions de vie dans les ghettos et les camps de travail forcé. Ces violences et ces morts, qui témoignent suffisamment de la haine profonde des nazis pour les juifs, ne s'inscrivaient pas, toutefois, dans un plan d'extermination. C'est en 1941 que fut lancé le génocide à l'échelle européenne. On dispose à cet égard d'un document crucial, le procès-verbal de la fameuse conférence de Wannsee, qui se tint à Berlin le 20 janvier 1942. Selon le témoignage donné par Eichmann à Jérusalem, ce procès-verbal fut épuré; tout ne devait pas apparaître de ce qui avait été dit, mais l'essentiel devait s'y trouver. Convoquée par Reinhard Heydrich, l'un des adjoints de Heinrich Himmler et le responsable direct de la police nazie, cette conférence réunissait les secrétaires d'Etat des principaux ministères. Himmler et Heydrich, sur qui reposait l'exécution du crime, avaient besoin de la coopération de l'administration allemande. La conférence aurait dû avoir lieu le 9 décembre 1941; les invitations avaient été lancées dès la fin de novembre. Au moment où Heydrich mettait au courant le cercle extérieur des participants, la décision était manifestement tombée depuis au moins deux ou trois mois. La «solution finale de la question juive», présentée lors de cette conférence, concernait l'Europe entière. Les statistiques préparées par Eichmann incluaient même les juifs résidant dans des pays qui n'étaient pas occupés par le Reich, comme la Suisse ou le Portugal. Dans l'immédiat, ceux qui se trouvaient sous contrôle allemand devaient être déportés à l'Est. Le protocole demeure elliptique sur le sort qui les attendait; il mentionne la mise au travail de ceux qui y seraient aptes et passe sous silence le sort des autres (enfants, vieillards, malades, infirmes). Il est facile, pourtant, de le connaître en considérant ce qui était prévu pour les juifs capables de travailler: il était indiqué qu'ils seraient exterminés par le travail intensif; ceux qui survivraient devraient être tués pour empêcher toute renaissance du «danger juif». Si même les juifs aptes au travail devaient en définitive disparaître, le sort des autres ne pouvait faire de doute. Que ce soit par mort immédiate ou par mort différée, tous les juifs disparaîtraient de l'Europe. Le document ne dit rien sur la manière dont devait se faire cette «disparition», bien que l'on sache par le témoignage de Eichmann que la question fut très ouvertement discutée lors de la réunion. En pratique, deux méthodes furent utilisées: la fusillade et le gazage. La méthode de la fusillade fut appliquée avant tout en Union soviétique, subsidiairement en Pologne et en Yougoslavie. L'extermination massive de juifs commença en U.R.S.S., dans le sillage de la campagne lancée le 22 juin 1941 par Adolf Hitler. Des unités de la police et de la S.S., les Einsatzgruppen, se livrèrent sur les arrières du front à des massacres d'hommes juifs, avant de s'en prendre à partir du mois d'août aux familles tout entières. Ces massacres se firent sous des formes d'une rare barbarie. Les victimes étaient amenées hors des agglomérations auprès de grandes fosses. Contraintes de se déshabiller et de faire la queue jusqu'au lieu d'exécution, il leur fallait s'agenouiller au bord de la fosse ou se coucher au fond du trou sur la rangée de victimes précédentes pour être tuées d'une balle dans la nuque ou dans la tête. Cette boucherie fit en tout au moins 1 million de morts. La fusillade continua à être utilisée dans les années suivantes en Union soviétique, mais, dès l'automne de 1941, les nazis recoururent à la méthode du gazage, qui avait le triple avantage d'être plus efficace au vu du nombre des victimes, de pallier la tension psychique ressentie par les bourreaux et de mieux préserver le secret. Cette deuxième étape coïncida avec le lancement de l'entreprise d'extermination à l'échelle européenne vers le début de l'automne de 1941. Jusque-là, les victimes avaient été tuées sur place; désormais, elles seraient amenées aux centres d'exécution que la S.S. commença à construire à l'Est dès la fin de 1941. La machine de déportation, dirigée par le service d'Eichmann à Berlin, tourna à plein régime à partir du printemps de 1942. Le gazage avait déjà été employé par les nazis pour tuer les malades mentaux allemands dans le cadre de ce qui fut improprement appelé l'opération d'«euthanasie», une opération qui débuta à l'automne de 1939 et fit plus de 70 000 victimes. La procédure alors inventée fut reprise sans changement majeur et appliquée aux juifs. Les victimes étaient priées de se dévêtir sous prétexte de prendre une douche et amenées dans des pièces hermétiques camouflées en salles de douches, où elles étaient enfermées et gazées depuis l'extérieur. Des camions à gaz furent également utilisés; au lieu d'être amenées à une salle de douches factices, comme on le leur avait dit, les victimes dévêtues étaient poussées dans un camion muni d'un caisson hermétique et dont les gaz d'échappement étaient dirigés vers l'intérieur. Les cadavres étaient ensuite incinérés; tous les objets et accessoires, jusques aux dents en or et aux cheveux, étaient soigneusement récupérés. L'assassinat par gazage se produisit dans certains camps de concentration ; mais il fut avant tout effectué dans des camps créés pour pratiquer l'extermination sur une grande échelle. Ces camps d'extermination furent au nombre de six, tous situés sur le territoire de l'ancienne Pologne; deux d'entre eux (Chelmno et Auschwitz) étaient localisés en Pologne annexée et se trouvaient donc formellement en territoire du Reich. Parmi ces six camps, quatre furent exclusivement des camps d'extermination et servirent à tuer en priorité les juifs de Pologne, subsidiairement des juifs d'autres provenances. À Chelmno (environ 150 000 victimes), des camions à gaz furent utilisés, tandis qu'à Belzec (550 000), Sobibor (200 000) et Treblinka (750 000), soit les trois camps créés dans le cadre de l'«Action Reinhard», les victimes furent tuées dans des salles de douches factices à l'aide des gaz d'échappement produits par de gros moteurs Diesel. Les deux derniers camps furent à la fois des camps de concentration et des camps d'extermination; la sélection pour le travail, qui ne concernait qu'une petite partie des arrivants, équivalait de toute façon à une extermination différée. Le camp de Maïdanek, près de Lublin, n'eut qu'une importance limitée (50 000 victimes), à la différence de celui d'Auschwitz. Conçu au départ pour des prisonniers politiques polonais, Auschwitz fut agrandi pour recevoir des prisonniers de guerre soviétiques, avant de devenir un immense camp de production économique, dont la main-d'œuvre servile venait de l'Europe entière. Une extension du camp, située à Birkenau, fut spécialement affectée à l'extermination des juifs. Des installations y furent construites sur une grande échelle; au sommet de leur activité, pendant l'été de 1944, les crématoires brûlaient plus de 20 000 cadavres chaque jour. C'est là que furent tués la plus grande partie des juifs amenés de l'Europe occidentale et balkanique au terme d'un hallucinant voyage dans des trains de marchandises. Le gaz utilisé était un désinfectant puissant, le zyklon B ; au moins 1 million de juifs furent tués dans cet «anus du monde». Les estimations concernant le total des victimes juives s'échelonnent entre 5 et 6 millions. En suivant, comme on l'a fait jusqu'ici, l'évaluation (5 100 000) de Raul Hilberg (La Destruction des juifs d'Europe), que certains historiens jugent trop basse, les fusillades firent environ 1 300 000 victimes; les camps, avant tout les camps d'extermination, furent responsables de la mort de près de 3 millions de personnes; et plus de 800 000 autres personnes succombèrent aux privations et maladies que leur valut l'enfermement dans les ghettos. Le résultat fut la disparition de la plus grande partie des juifs d'Europe orientale, et notamment de près de 3 millions de juifs polonais. En même temps qu'eux fut anéanti tout un univers de traditions et de culture, une mosaïque de mémoires et d'aspirations aux richesses désormais évanouies.

2. La genèse de l'extermination Comment une entreprise criminelle aussi gigantesque vint-elle au jour? Sur ce point, nos connaissances sont relativement moins assurées, faute de documents qui puissent nous éclairer sur la date de la décision et sur les arrière-plans de celle-ci. Les historiens ne s'accordent pas sur la datation, les uns situant la décision fatale au printemps de 1941, les autres à l'automne, voire à la fin de cette même année 1941. S'ils n'ont pas de doute sur la responsabilité ultime de Hitler, ils hésitent sur la nature de la décision qu'il prit. Fut-elle préméditée ou improvisée? Fut-ce la traduction en actes de l'intention d'un homme ou l'aboutissement d'une radicalisation produite par les circonstances? Pendant plusieurs décennies, l'opinion dominante privilégia la première interprétation. Depuis un certain nombre d'années, la seconde trouve de plus en plus de faveur. Il est vrai qu'il est difficile de documenter l'existence d'un programme d'extermination chez Hitler. Ses écrits et ses propos exhalent, certes, la haine la plus féroce des juifs; mais il est malaisé de prouver que l'extermination fut, chez lui, un objectif politique arrêté dès les années 1920, au même titre que la conquête de l'espace vital, par exemple. Tout indique plutôt que sa préoccupation centrale était d'éloigner les juifs de la sphère d'influence allemande; c'est effectivement la politique que suivit son régime jusqu'en 1941. Jusqu'à cette date, en effet, la politique du IIIe Reich visa à faire émigrer les juifs. Les nazis usèrent d'abord de moyens indirects pour accélérer leur départ, puis en 1938-1939 passèrent à une politique d'émigration forcée, qui s'accompagna de la confiscation de la plus grande partie de leurs biens. À ce moment-là, voyant que le «problème juif» allait être résolu en Allemagne, Hitler manifesta l'intention de trouver également une solution à l'échelle continentale; son idée était de regrouper les juifs d'Europe sur un territoire qui leur servirait de «réserve». La guerre étant survenue, qui rendait l'émigration plus difficile, et les victoires du Führer agrandissant le nombre de juifs sous sa domination, il envisagea de créer une «réserve» sur un territoire périphérique: d'abord en Europe même dans la région polonaise de Lublin, puis, après la défaite de la France, outre-mer, dans la colonie de Madagascar. La concentration de la population juive d'Europe sur l'un de ces territoires aurait entraîné une décimation considérable; cette solution n'en était pas moins différente, par sa nature, de l'extermination. En se lançant dans l'extermination à partir de 1941, le régime nazi franchit incontestablement un seuil. L'éloignement des juifs allait désormais se faire sous la forme de leur suppression physique. D'une façon ou d'une autre, ce changement fut lié à la campagne contre l'U.R.S.S., vraisemblablement à la tournure inattendue qu'elle prit. Au lieu de se terminer en quelques mois, comme les dirigeants nazis l'avaient escompté, les combats se prolongeaient. En menaçant de se poursuivre par-delà l'hiver, ils portaient le risque majeur d'une guerre longue, dont le Reich ne pourrait sortir qu'affaibli, sinon défait. Il semble bien, car ce point demeure objet de discussion pour les historiens, que tel fut le contexte dans lequel Hitler se décida à exterminer les juifs; il avait toujours vu en eux ses adversaires fondamentaux, il les tenait pour les responsables ultimes de la situation dans laquelle il se trouvait. On ne peut soutenir pour autant que cette décision fut improvisée, qu'elle n'aurait été qu'une réaction impulsive à un échec qui se profilait. Hitler avait annoncé, en effet, qu'il s'en prendrait aux juifs sous certaines conditions. Le 30 janvier 1939, il avait déclaré devant le Reichstag que, si une nouvelle guerre mondiale venait à éclater, la conséquence en serait l'anéantissement de la race juive en Europe. En janvier 1941, il avait répété ce qu'il qualifiait lui-même de «prophétie». Par «guerre mondiale», il entendait manifestement une situation de guerre sur tous les fronts, un conflit dans lequel le Reich serait aux prises non seulement avec l'Angleterre, mais encore avec l'U.R.S.S. et les Etats-Unis. La résistance inattendue de l'Union soviétique et le prolongement de la campagne à l'Est ouvraient, à la fin de l'été de 1941, la perspective d'une guerre sur tous les fronts. Les juifs étaient promis à être les premières victimes de ce renversement de fortune. Même si le débat historique reste ouvert sur la datation précise de la décision et sur sa nature profonde, le génocide est, dans tous les cas, fondamentalement lié à l'antisémitisme et, de façon plus large, au racisme nazi. La vision hitlérienne du monde, en particulier, fut d'une importance capitale, fondée comme elle l'était sur l'obsession de la pureté de la race allemande, sur l'idée d'une hiérarchie des races, enfin sur le projet d'un remodelage racial de la carte européenne. Quels qu'aient été les projets intimes de Hitler, son racisme était dès le départ porteur de génocide, que cette virtualité prenne en définitive la forme d'une décimation ou d'une extermination intégrale. À côté des juifs, d'autres peuples, comme les Tsiganes et les Slaves, furent exposés aux effets meurtriers de ce racisme. Mais seule la mort des juifs fut poursuivie avec acharnement, jusqu'aux derniers soubresauts du régime. Et les juifs furent tués pour la seule raison qu'ils étaient juifs. Même si elle trouva son premier champ d'activité sur le territoire soviétique durant l'été de 1941, l'extermination ne fut pas motivée en premier lieu par l'anticommunisme, mais bien par l'antisémitisme. Peu importait que les persécutés fussent des juifs d'Europe occidentale, identifiés comme les meilleurs soutiens du capitalisme, ou des juifs de l'Europe orientale, censés être les piliers du régime communiste: ils méritaient tous la mort. Hitler joua un rôle irremplaçable en lançant et en maintenant jusqu'au bout l'élan de la machine de destruction. Dans son Testament d'avril 1945, il se félicitait de ce qu'il avait accompli et appelait les futures générations allemandes à achever le travail. Lui absent, il n'est pas sûr que le génocide aurait été entrepris, et surtout qu'il aurait été poursuivi aussi fanatiquement. Himmler lui-même faiblit dans sa résolution et commença en 1944 à négocier, à l'insu de son chef, avec les Alliés, se montrant prêt à stopper l'extermination en échange d'un accord politique. Mais, si Hitler fut irremplaçable, on ne saurait oublier que d'une certaine manière il ne fit qu'incarner, de manière extrême il est vrai, une tradition antisémite européenne, une tradition particulièrement forte en Europe centrale. Depuis des décennies, les juifs étaient dépeints comme des parasites, comme de la vermine qu'il s'agissait de faire disparaître. En leur déniant la dignité d'êtres humains, en multipliant les appels haineux à la mort, le terrain était ensemencé pour l'extermination. Que celle-ci ait été en définitive accomplie, pour une large partie, en utilisant comme moyen de gazage un désinfectant destiné à détruire la vermine illustre, même si ce ne fut pas une intention consciente, la logique meurtrière de ces désignations.

3. Les conditions de réalisation du génocide À l'évidence, l'extermination des juifs ne fut pas accomplie par le seul Hitler ni par la seule S.S. Il faut donc s'interroger sur ce qui a rendu possible une entreprise criminelle aussi massive, sur les conditions qui l'ont permise, sur les cercles concentriques des responsabilités. Parmi les conditions favorables, il faut mentionner, en premier lieu, le secret. L'extermination fut menée avec un souci extrême de dissimulation. Dans les échanges officiels, des expressions stéréotypées servirent à la camoufler: les juifs étaient «évacués», pour être «mis au travail» «à l'Est», cela dans le cadre de la «solution finale de la question juive». Le souci de dissimulation alla jusqu'à tenter de supprimer toute trace du crime. En juin 1942, Himmler confia à l'un de ses subordonnés la mission de retrouver les fosses communes laissées par les Einsatzgruppen pour en déterrer les cadavres et les brûler; la tâche ne fut qu'imparfaitement accomplie avant l'arrivée des troupes soviétiques. Les efforts de camouflage trouvaient naturellement un renfort précieux dans la dimension incomparable du crime. Parce qu'il était difficilement imaginable, les échos et les rumeurs qui circulaient à son propos à travers l'Europe rencontraient souvent scepticisme et incrédulité. Mais, en définitive, c'est le contexte de la guerre totale qui fut le facteur essentiel. Seule la situation qui prévalut à partir de la fin de 1941, avec l'entrée dans le conflit du Japon et des Etats-Unis, permit au génocide d'être perpétré sans difficulté majeure. La censure et la répression s'exerçaient avec plus de force que jamais, étouffant le flux des informations et rendant périlleux tout acte de désaccord ou d'opposition. Chacun était, de toute façon, porté à se soucier en premier lieu de son sort et de celui de sa famille. Les souffrances subies, l'angoisse du lendemain émoussaient ou refoulaient les sentiments ordinaires de compassion pour le destin d'autrui. Quant aux responsabilités, elles furent de divers ordres, avec des degrés différents. L'exécution directe du génocide fut le fait d'un cercle relativement limité d'individus. Peu de gens avaient une vue d'ensemble sur l'entreprise, en dehors des responsables de l'appareil policier. Mais ceux-ci auraient été impuissants s'ils n'avaient bénéficié de la coopération, de l'acquiescement, de la passivité et même de l'indifférence d'un grand nombre de gens en Allemagne et à travers l'Europe. On a vu que les plus hauts responsables de l'administration allemande accordèrent leur coopération en connaissance de cause lors de la conférence de Wannsee. Les échelons inférieurs, qui étaient, eux, officiellement tenus dans l'ignorance, firent leur travail avec zèle, marquant les juifs, confisquant leurs biens et les déportant, comme s'il allait de soi que l'on dût envoyer à l'autre bout de l'Europe, en pleine guerre, des personnes âgées, des malades et des infirmes, pour les y mettre au travail. Quant à l'armée allemande, sa passivité, sa tolérance et parfois sa complicité active pesèrent lourdement: une attitude plus courageuse aurait rendu difficile, voire impossible, aux troupes de Himmler d'effectuer des massacres aussi massifs de populations civiles en U.R.S.S. Enfin, certains milieux économiques n'hésitèrent pas à tirer parti de la main-d'oeuvre juive que leur offrait la S.S. comme à Auschwitz, sans que pût exister le moindre doute sur le sort ultime de ces travailleurs. Mais la machine d'extermination bénéficia également d'aides précieuses en dehors de l'Allemagne. À l'Est, où l'occupant avait supprimé les administrations indigènes, cette aide fut le fait d'individus. Les exécutants des fusillades en Union soviétique, comme les surveillants des camps d'extermination en Pologne occupée, furent généralement des collaborateurs lituaniens ou ukrainiens, opérant sous les ordres de membres de la S.S. Dans le reste de l'Europe, l'entreprise d'extermination reçut l'appui direct ou indirect des administrations existantes. Dans des pays satellites du Reich comme la Slovaquie et la Croatie, la déportation des juifs fut concédée sans difficultés. Dans les pays de l'Europe occidentale, elle fut imposée par l'occupant; les administrations locales durent apporter sous la contrainte un concours qui se révéla irremplaçable au vu de l'insuffisance des effectifs policiers allemands et de leur manque de connaissance du terrain. Il en alla un peu différemment en France, où subsistait un gouvernement formellement souverain, en dépit de l'occupation de la moitié du pays. Le régime de Vichy se comporta, pour ce qui concernait les juifs, comme le firent la Bulgarie, la Roumanie et la Hongrie, pays dans la mouvance de l'Allemagne nazie. Après avoir adopté de son propre chef une législation antisémite, il accepta de collaborer au programme de déportation. La police française arrêta les juifs étrangers, les concentra dans des camps, les chargea dans les convois et les escorta jusqu'à la frontière. Comme les gouvernements bulgare, hongrois et roumain, le gouvernement de Vichy prétendait protéger les juifs qu'il reconnaissait comme français en abandonnant à leur sort les juifs étrangers et apatrides, ainsi que ceux qu'il avait décidé de dénaturaliser. Pour tous ces régimes, l'occasion paraissait bonne de se débarrasser d'une population sur laquelle l'antisémitisme indigène avait fixé la responsabilité de tous les maux. Tous manifestèrent avec le temps, il est vrai, des réticences croissantes, à mesure que la guerre prenait une tournure favorable aux Alliés. En Hongrie, seule l'occupation du pays réalisée par les Allemands en mars 1944 ouvrit la voie à la déportation et à l'extermination massive des juifs hongrois. En face de ces concours &endash; dont il est difficile de dire jusqu'à quel point ils furent donnés en pleine connaissance de leurs conséquences, mais qui, dans tous les cas, furent d'une importance cruciale &endash;, quelles pouvaient être les forces de freinage, sinon de blocage? Malgré la censure, malgré les mesures de camouflage, les nouvelles sur les massacres filtraient, circulaient à travers le continent. Même si elles avaient été largement connues et surtout crues, il était bien peu de choses qui pouvaient être faites pour les victimes. Il n'en allait pas de même pour les mesures de déportation, ce premier acte dont tout le reste découlait. À cet égard, l'attitude des populations varia selon les pays, selon la force des traditions antisémites et les réactions que provoquait le joug de l'occupant. En Allemagne, la population assista passivement à la déportation des juifs, même si des gestes de secours furent faits ici et là. Dans les pays occupés, les réactions allèrent de l'ambiance plutôt hostile qui régnait en Pologne à la solidarité manifestée en Hollande &endash; où une grève fut déclenchée au printemps de 1941, soit avant la mise en marche de l'extermination, pour protester contre le déportation punitive d'un certain nombre de juifs hollandais &endash; et surtout au Danemark, où la fuite des juifs danois vers la Suède fut assurée grâce à d'innombrables dévouements. Après la disparition du pluralisme politique et social dans l'Europe nazie, les Eglises restaient les seules forces organisées. En Allemagne même, elles brillèrent par leur silence. Alors que par leurs protestations elles avaient amené Hitler à suspendre l'opération d'«euthanasie» au cours de l'été de 1941, elles se turent devant la déportation des juifs, n'intervenant que de façon vague et molle en 1943, lorsque se firent insistantes les rumeurs concernant les massacres à l'Est. Il est difficile de savoir quelle aurait été la réaction de Hitler face à des protestations résolues; le fait est qu'elles n'eurent pas lieu. Dans les pays occupés, les Eglises, ou plus exactement des fractions du clergé, firent preuve de davantage de courage et protestèrent contre les déportations, parfois contre les massacres eux-mêmes, quand les nouvelles leur en étaient parvenues. Que ce soit dans l'Eglise orthodoxe, dans les Eglises protestantes ou dans l'Eglise catholique, des membres du clergé firent entendre leur voix et contribuèrent aux actions de secours en faveur des juifs. En revanche, le Vatican, sous la houlette de Pie XII, garda le silence, tout comme le Comité international de la Croix-Rouge ; pour des raisons différentes, ces deux grandes institutions morales pensaient avoir davantage à perdre qu'à gagner en intervenant en faveur des juifs et en dénonçant les monstruosités effectuées par le régime nazi. Les Alliés eux-mêmes ne firent pas, il est vrai, tout le possible en faveur des juifs. S'ils publièrent une déclaration solennelle le 17 décembre 1942 pour dénoncer le génocide en cours et promettre un châtiment aux exécutants, ils eurent tendance en général à s'en remettre à l'issue militaire du conflit, sans chercher à entreprendre dans l'immédiat tout ce qui pouvait sauver des vies juives. Outre l'antisémitisme bien réel qui existait dans certains secteurs de l'administration britannique et américaine, des intérêts stratégiques et politiques (la question palestinienne pour l'Angleterre, les réticences dans les deux pays à accroître l'immigration juive) expliquent la modestie des actions de secours immédiat. Même la proposition, facilement réalisable, qui fut faite de bombarder Auschwitz, ce qui aurait pu bloquer la machine de destruction durant l'été de 1944, ne fut pas acceptée par les autorités militaires alliées. Faut-il, enfin, mettre en cause, comme l'ont fait certains auteurs (Raul Hilberg, Hannah Arendt), la responsabilité des victimes elles-mêmes, accusées d'avoir, par leur attitude, facilité la tâche des bourreaux? Les nazis surent effectivement amener leurs victimes à collaborer au massacre, notamment en utilisant les conseils juifs qui avaient été créés sur leurs ordres. Chargés d'organiser la vie des juifs dans les ghettos, ces conseils eurent au bout du compte à décider de la composition des convois de déportation et à assurer l'obéissance des personnes désignées, contribuant ainsi dans une certaine mesure au bon fonctionnement de la machine de destruction. Plus généralement, il est vrai que les juifs réagirent à leur sort par la passivité, encore qu'il ne faille pas sous-estimer les actions de résistance, dont le combat du ghetto de Varsovie demeure l'exemple le plus important. Cette passivité elle-même s'explique aisément si l'on prend en considération des facteurs tels que les traditions non militaires des juifs dans la diaspora, le souci de ne pas aggraver le sort de sa famille, l'existence d'un environnement souvent hostile, enfin l'état d'épuisement physique et mental dans lequel se trouvaient les juifs après quelques mois de vie dans les ghettos. C'est, en définitive, un sophisme intolérable que de faire des juifs les coresponsables de leur sort. Au total, si un nombre appréciable de secours leur furent accordés à titre individuel à travers l'Europe, ils se trouvèrent seuls au moment de la plus grande tragédie de leur histoire. Au niveau de ses responsables suprêmes, le génocide découla d'un antisémitisme extrême; mais sa réalisation fut facilitée par l'existence en Europe d'un antisémitisme diffus, qu'avait enraciné une culture chrétienne millénaire et ravivé le racisme de la fin du XIXe siècle. Ce ne fut pas tant une hostilité active ou une volonté de nuire qui détermina l'attitude de la grande partie des Européens, mais plutôt une sorte d'indifférence défiante fondée sur le sentiment profondément ancré que les juifs étaient des étrangers. 4. La Shoah dans l'histoire Par sa monstruosité, la Shoah constitue un défi que n'affaiblit pas le passage du temps. Quelques-uns veulent, certes, «assassiner la mémoire» (selon l'expression de Pierre Vidal-Naquet) en niant ce que le génocide des juifs eut de plus spécifique, à savoir les chambres à gaz. D'autres veulent, pour faire «passer le passé» (Ernst Nolte), dissoudre la singularité de l'événement, comme il apparut de manière exemplaire à la faveur du débat qui agita les historiens d'Allemagne fédérale pendant l'été de 1986. Nolte avait donné le coup d'envoi en soutenant que le génocide des juifs aurait été une réplique à la terreur bolchevique, une copie plus monstrueuse, mais une copie néanmoins, de l'extermination de classe réalisée par les révolutionnaires russes. D'autres historiens ont continué ce nivellement en ajoutant à la série d'autres massacres, comme ceux qui furent effectués par les Khmers rouges au Cambodge . La comparaison est un exercice historique légitime, pour autant qu'elle soit fondée et dans la mesure où elle ne perd pas de vue ce qu'a de singulier chaque phénomène historique. Il est parfaitement raisonnable de rapprocher l'extermination des juifs de celle des Tsiganes ou des Arméniens, du moins si l'on s'efforce de montrer les différences autant que les similitudes. Mais il est évident que la terreur stalinienne ou les massacres des Khmers rouges ne peuvent être rangés dans la même catégorie. Les victimes ne furent pas tuées, ici, sur la base d'une différence ethnique, réelle ou attribuée, mais sur le fondement de critères politico-sociaux qui répondaient à une ambition de transformation révolutionnaire de la société. Par-delà le problème historique que représente l'évaluation de la singularité du génocide juif, la Shoah est aussi et surtout un objet de mémoire, et d'abord pour les juifs. La catastrophe a eu pour effet d'accélérer la création de l'Etat d'Israël ; la vie de ce dernier comme l'identité des juifs de la diaspora sont demeurées fondamentalement liées à ce souvenir. Pour les Israéliens, la Shoah fournit une justification majeure à la solution sioniste ; l'histoire s'est en quelque sorte prononcée contre l'assimilation; elle a prouvé le danger mortel que recèle pour les juifs la vie en diaspora. La majorité des juifs continuent néanmoins de vivre en dehors d'Israël; chez eux, le souvenir du génocide nourrit l'attachement à Israël et renforce leur identité de juifs vivant en diaspora. Le génocide des juifs sollicite, enfin, la conscience des Européens, dans la mesure où il représenta la négation absolue de ce qui avait formé jusque-là le mouvement de la civilisation européenne, la foi dans le progrès, les valeurs de liberté et de tolérance incarnées dans les droits de l'homme. Le fait qu'un événement aussi barbare ait pu naître dans un pays comme l'Allemagne et être accompli au beau milieu de l'Europe demeure un foyer vivant d'interrogations, tout comme demeure inquiétant l'aspect technique et administratif que prit le génocide. L'incroyable mélange de pulsions archaïques et de mécanismes modernes (Saul Friedländer) qui fut au ressort de son accomplissement fait à la postérité un devoir de réflexion et de vigilance. 5. Le retentissement de la Shoah dans la réflexion contemporaine Dans la langue hébraïque, Shoah signifie «catastrophe telle qu'il ne peut en exister de plus grande». Ce terme a supplanté, surtout depuis le film de Claude Lanzmann, ceux d'«holocauste» ou de «génocide» par lesquels on désignait les persécutions raciales et l'extermination de masse exercées par les nazis principalement contre les juifs. Les raisons de ce nouvel usage linguistique sont importantes à examiner. Elles tiennent à l'inadéquation des autres vocables à désigner un phénomène dont la tragique singularité échappe à toute représentation verbale. Le mot «holocauste», longtemps prévalent, fut le premier à être récusé en raison de sa signification religieuse, celle d'un «sacrifice où le feu consume entièrement la victime». Le terme «génocide», qui désigne la destruction massive d'un groupe ethnique, reste le plus souvent admis. Il a cependant pour inconvénient de ne retenir du phénomène que le meurtre de masse et d'en réduire ainsi à la fois la période historique, ramenée à celle de la Seconde Guerre mondiale, et la complexe singularité. La Shoah débuta, en fait, dès la prise de pouvoir par les nazis en 1933 et avec les lois raciales qu'ils promulguèrent. La Nuit de cristal révéla en 1938 la véritable nature du projet hitlérien, accélérant un processus qui avait pour finalité de retirer aux victimes leur appartenance à l'espèce humaine. Ce projet, jamais imaginé par aucun tyran de l'histoire contre ses victimes, se déploiera jusqu'aux extrêmes de l'horreur, dans l'institution qui caractérise la Shoah, le camp de concentration ou Lager. L'«irreprésentable» de la Shoah Un des témoins les plus lucides du phénomène concentrationnaire, Primo Levi, souligna ce caractère d'horreur: «Il ne s'agit pas seulement de mort, mais d'une foule de détails maniaques et symboliques, visant tous à prouver que les Juifs, les Tziganes et les Slaves ne sont que bétail, boue, ordure.» Ainsi les déportés furent transportés vers les camps dans des wagons à bestiaux que l'on n'ouvrait pas pendant des journées, laissant hommes, femmes et enfants dans une dégradante promiscuité, au milieu de leurs excréments. Ceux qu'on ne gazait pas à l'arrivée du convoi étaient marqués comme des bœufs, utilisés comme des esclaves sous-alimentés. On traita les cadavres comme une matière première: on leur arrachait l'or des dents, leurs cheveux servaient à fabriquer certains tissus. Primo Levi conclut: «Le moyen même choisi pour opérer le massacre était hautement symbolique. On employa le gaz toxique déjà utilisé pour la désinfection des cales de bateaux et des locaux envahis par les punaises ou les poux. On inventa au cours des siècles des morts plus cruelles, mais aucune n'a jamais paru aussi lourde de haine et de mépris.» À ces mesures symboliques &endash; en fait, des antisymboles &endash; les nazis ajoutèrent une politique de strict secret. Aucune de ces mesures n'était désignée par son nom, même dans les documents confidentiels. La déportation devenait «transport», l'extermination «solution finale», les bourreaux «commandos spéciaux», etc. Plus tard, au moment de la débâcle militaire, priorité fut accordée à la destruction des archives, des installations de mort. Même les fosses communes où furent abattues des milliers de victimes furent rouvertes pour en incinérer les cadavres. Enfin, on se soucia particulièrement du repli vers le Reich des témoins privilégiés, à savoir les survivants devenus geheimnisträger, «porteurs du secret». cette dernière marche forcée fut une des pages les plus douloureuses du martyre de la déportation. Le meurtre gratuit, inutile, de millions d'hommes n'ayant commis d'autre faute que de naître, d'appartenir souvent par un lien lâche à une «race», une religion, déclarées malfaisantes, meurtre précédé puis perpétré dans l'avilissement dont aucune description ne parvient à rendre compte, confère à la Shoah son caractère singulier, l'«irreprésentabilité»: on ne peut ni imaginer ni énoncer ce qui s'est passé en ces lieux surnommés, dans le cas d'Auschwitz, anus mundi. Ce caractère justifie l'emploi du mot Shoah, qui, par sa signification univoque &endash; il en va de même en hébreu &endash;, permet de chiffrer cette page noire de l'histoire contemporaine. L'irreprésentabilité de ce qui s'effectua dans les camps va jusqu'à produire chez des déportés témoignant de leur vécu le doute sur la réalité de leur expérience, parfois même un oubli pathologique. Primo Levi rapporte ainsi la visite qu'il fit en Alsace à un camarade d'Auschwitz, lequel, bien que le reconnaissant, soutiendra n'avoir jamais connu les camps. Les nazis percevaient clairement et jouaient de cette démesure. Ils déclaraient cyniquement à leurs victimes que, si par improbable ils survivaient, nul ne voudrait croire en leur témoignage. Dès lors, peut-on comparer la Shoah à d'autres drames de l'histoire humaine survenus en d'autres temps et lieux? Ne retenir que la singularité de cette tragédie conduit à classer la Shoah comme page révolue de l'histoire, qu'il convient de tourner dans les meilleurs délais afin que l'oubli répare les blessures, ou à s'enfermer dans un deuil indéfini. Il y a paradoxe à insister dans un même mouvement sur l'unicité de la Shoah et sur la nécessité du souvenir d'un événement supposé ne pouvant plus se produire. L'importance de l'étude du phénomène, hors du cercle des historiens, repose sur la prémisse qu'il peut se répéter. On peut affirmer sans hésitation que la Shoah ne se compare à aucun massacre des siècles précédents. Seules sont envisageables ses similitudes avec d'autres événements contemporains, tous liés à cette maladie politique, philosophique et sociale propre à notre siècle, le totalitarisme et ses abominables camps de concentration: le goulag stalinien et ses dizaines de millions de victimes, les «camps de rééducation» des Khmers rouges où disparut en un temps record la moitié de la population cambodgienne, près de trois millions d'hommes, exterminés par ses propres dirigeants! Pour quel crime? Ici encore, folie, gratuité, bureaucratie mettent leur empreinte sur l'horreur qui défigure l'image que le XXe siècle transmettra à l'histoire. En ces deux exemples, l'élément de haine raciale absolue propre aux nazis est absent, mais la haine de leur propre peuple par des dirigeants fous suscite une inquiétude spécifique qui n'est pas moindre. Parmi les auteurs ayant développé l'idée d'une certaine similitude entre nazisme et stalinisme, citons Hannah Arendt (Le Système totalitaire) et Vassili Grossman, romancier soviétique, auteur d'un livre exceptionnel (Vie et destin). Il reste que cette similitude ne supprime pas pour autant la singularité de la Shoah, qui a englouti, avec les êtres qui la portaient, les belles cultures juives de la MittelEuropa et de l'Est européen. Le temps des procès et la littérature Les questions posées par la Shoah restèrent longtemps dans l'ombre. On a voulu, par une étrange projection, imputer ce silence aux survivants, alors que ceux-ci écrivirent leurs témoignages dès leur retour de captivité, parfois dans les camps mêmes. Primo Levi rédigea son magistral Si c'est un homme avant 1947. Ces textes ne trouvèrent pas facilement des éditeurs, puis ils n'ont rencontré à leur parution qu'une semi-indifférence. Incrédulité, détournement du regard, banalisation furent les réactions les plus courantes. Elles nourriront plus tard les thèses «révisionnistes». Mais la réaction principale fut la stupeur devant l'inouï. On tentait de se réjouir devant la fin du cauchemar et la liberté retrouvée. Pourtant, ne peut-on déceler dans les thèmes de l'absurde, du pessimisme qui marqua la littérature et la philosophie de l'immédiat après-guerre un effet de ce refoulement? La scène juridique joua un rôle pionnier dans le dégel de cette torpeur. La tâche lui revenait bien, puisque la Shoah débuta par la juridiction raciale, affront à la Loi humaine qu'il fallait d'urgence restaurer. Les grands procès des criminels de guerre nazis à Nuremberg, malgré des insuffisances, ont posé les bases de cette restauration, d'une part, en amassant de nombreux documents archivés dans leurs minutes, d'autre part, en élaborant un nouveau concept, celui de «crime contre l'humanité», ultérieurement déclaré imprescriptible . ce concept faisait pièce au «crime de naissance» mis en avant par les nazis. Mais le véritable réveil commença à la fin des années 1950 avec la parution en France du roman d'André Schwartz-Bart, Le Dernier des justes (1959), et surtout avec le retentissant procès d'Eichmann à Jérusalem, l'homme à qui l'exécution de la «solution finale» avait été confiée. L'enlèvement d'Eichmann et les polémiques qui se déployèrent au cours de son procès eurent pour principal effet de réveiller l'intérêt universel sur le martyre, oublié déjà, des juifs. Désormais, cette attention ne se dément plus; elle est relancée par de nouveaux procès, par tel ouvrage à succès (Le Choix de Sophie de William Styron) ou par tel film. Si l'époque des procès est à peu près révolue, les grands criminels nazis étant déjà jugés ou morts de vieillesse, la scène littéraire et philosophique a pris le relais des débats. On a fini par s'éveiller à cette évidence que la Shoah (et le totalitarisme, plus généralement), par la mise en cause du fait humain qu'elle signifie, pose à la pensée la question la plus essentielle de notre temps. Cette réflexion a produit une abondante littérature. La bibliothèque de la Shoah renferme déjà plusieurs milliers d'ouvrages, parfois parmi les plus admirables de la seconde moitié du XXe siècle. La littérature de témoignage, pierre d'angle et point de départ de toute analyse, a revendiqué dans l'urgence, par les titres mêmes des ouvrages, immense cri assourdi d'une souffrance sans bornes, l'appartenance au genre humain des victimes: L'Espèce humaine (Robert Antelme), Si c'est un homme (primo Levi). cette littérature a trouvé en primo Levi (1919-1987) la voix qui désormais la symbolise. D'une écriture élégante et sobre, à la parfaite mesure d'un texte hissé au rang de sacré, Levi a noté simultanément la souffrance et les leçons apprises dans ces laboratoires de la mort que furent les Lager. L'empreinte dans la subjectivité De son côté, la philosophie, surtout en Allemagne, est au premier rang des débats sur la Shoah. L'Ecole de Francfort, animée par Theodor Adorno &endash; lié d'amitié à Walter Benjamin, qui se donna la mort en 1939, et à Hannah Arendt &endash;, développa dès l'après-guerre une originale et profonde réflexion sur les conditions mêmes de toute éthique après la Shoah et le totalitarisme. Max Horkheimer et Jürgen Habermas appartiennent à cet important courant de pensée moderne qui marqua en France la «nouvelle philosophie». La louche relation du plus grand penseur allemand contemporain, Martin Heidegger, avec les nazis pèse lourdement sur les débats de la philosophie allemande contemporaine. Une place éminente dans la réflexion sur la Shoah revient à Hannah Arendt (1906-1975). Dans l'immédiat après-guerre, celle-ci réussit par un tour de force, et à partir d'une imposante documentation, à produire en 1951 une magistrale analyse des système nazis et totalitaires qui fait autorité. Les articles qu'elle rédigea plus tard en tant que correspondante de presse au procès d'Eichmann, puis l'ouvrage où ils furent rassemblés, Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal, provoquèrent de violentes polémiques qui, avec le recul, ressemblent à des malentendus. Ainsi lui attribue-t-on la thèse, que précisément elle critique, de la passivité des juifs devant leurs bourreaux. Quant au thème de la «banalité du mal», le lecteur attentif de l'ouvrage saisit rapidement qu'il n'y a, dans le témoignage de cette conscience bouleversée, aucune banalisation du mal, mais la marque de son angoisse devant la donnée moderne du masque bureaucratique que celui-ci désormais adopte. La littérature et la culture en général se trouvent souvent traversées par les échos tragiques de la Shoah. Il en est ainsi, en France par exemple, avec la voix secrète de Maurice Blanchot dont l'œuvre de réflexion sur la littérature se nourrit désormais à la blessure des camps (L'Ecriture du désastre). On ne compte plus aujourd'hui les œuvres de fiction et de théâtre où la Shoah joue un rôle, parfois masqué. Certains écrivains l'ont placée ouvertement au centre de leur œuvre (Elie Wiesel). D'autres plus secrètement ont tissé le fil noir du drame à leurs textes. Citons notamment Georges Perec (W, ou le Souvenir d'enfance) qui, enfant, perdit sa mère dans les camps et dont l'œuvre en mosaïque tente vainement de colmater la disparition (titre d'un de ses livres où il s'interdit l'usage de la lettre e). Le cinéma et la télévision ont évidemment joué un grand rôle dans la prise de conscience de la Shoah par le large public. Trois films jalonnent cet intérêt croissant: Nuit et brouillard (1956) d'Alain Resnais, sur un scénario de Jean Cayrol, lui-même ancien déporté (il s'agit d'une oeuvre de montage à partir de documents filmés à la libération du camp de Bergen Belsen); Holocauste, série télévisée américaine, dont le type de fiction est critiquable mais qui eut le mérite, par son immense diffusion, de faire connaître la Shoah au monde entier. Mais dans la production cinématographique, aussi bien que dans l'ensemble des oeuvres traitant de la question, une place privilégiée revient au film Shoah de Claude Lanzmann (1985). En refusant l'usage des films d'archives, par le recours exclusif au témoignage aussi bien des déportés survivants, des témoins polonais «indifférents» que des nazis qui actionnaient la machine de mort, ce film tente et réussit la reconstruction, au sens freudien du terme, de ce que fut la Shoah. Son ampleur temporelle &endash; le film dure plus de neuf heures &endash;, sa sobre beauté formelle font de cette oeuvre un des monuments du cinéma, en même temps qu'elle a profondément modifié notre rapport aux camps de la mort. Par un autre aspect, celui de la psychologie, la Shoah a eu un retentissement qui mérite l'attention. On peut affirmer qu'elle a imprimé de profonds remaniements dans la subjectivité de l'homme contemporain. Contrairement aux traumatismes de guerre habituels, qui peuvent être surmontés en une ou deux générations, de nombreuses études montrent que les blessures psychiques, sans doute par suite des «mesures symboliques» qui ont accompagné les massacres, se transmettent aux descendants, même nés dans l'après-guerre. Elles se manifestent aussi bien par des troubles psychiatriques graves (dépressions chroniques, maladies psychosomatiques, psychoses, suicides) que par des symptômes frustes (marginalité, instabilité, difficultés familiales). La psychiatrie de l'enfant a connu un important développement dans l'après-guerre, en partie sous l'influence de la personnalité d'un ancien déporté, Bruno Bettelheim. Ce psychanalyste développa dans l'Ecole orthogénique de Chicago une démarche thérapeutique consistant à créer les conditions d'un «anti-camp». Ses travaux et son style ont eu une profonde influence sur la psychiatrie de l'enfant sans que les praticiens saisissent toujours les principes d'une démarche prônant la liberté et opérant ainsi un renversement de l'oppression absolue des camps. L'ombre de la Shoah, «le plus grand crime de l'histoire», s'est propagée dans le temps, mais aussi dans l'espace, à l'ensemble des humains, relayés par les phénomènes concentrationnaires et totalitaires qui lui furent simultanés ou consécutifs: par sa menace contre le fait humain lui-même, par le doute radical qu'il porte sur le lien social, par le risque, fût-il minime, de sa répétition, le totalitarisme barre l'horizon de la subjectivité contemporaine d'un indéfinissable mal de vivre. L'intense activité intellectuelle autour de cette question marque sans doute l'effort collectif des hommes pour surmonter, sans oubli ni refoulement, les séquelles du drame.

 

 

 

 

 

A propos des trompettes...

(Apocalypse 1:10) "[...] Je fus ravi en esprit au jour du Seigneur, et j'entendis derrière moi une voix forte, comme le son d'une trompette,
(Apocalypse 4:1) "[...] Après cela, je regardai, et voici, une porte était ouverte dans le ciel. La première voix que j'avais entendue, comme le son d'une trompette, et qui me parlait, dit: Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite.
(Apocalypse 8:2) "[...] Et je vis les sept anges qui se tiennent devant Dieu, et sept trompettes leur furent données.
(Apocalypse 8:6) "[...] Et les sept anges qui avaient les sept trompettes se préparèrent à en sonner.
(Apocalypse 8:7) "[...] Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés sur la terre; et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée.
(Apocalypse 8:8) "[...] Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer; et le tiers de la mer devint du sang,
(Apocalypse 8:10) "[...] Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux.
(Apocalypse 8:12) "[...] Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même.
(Apocalypse 8:13) "[...] Je regardai, et j'entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d'une voix forte: Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de la trompette des trois anges qui vont sonner!
(Apocalypse 9:1) "[...] Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l'abîme lui fut donnée,
(Apocalypse 9:13) "[...] Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu,
(Apocalypse 9:14) "[...] et disant au sixième ange qui avait la trompette: Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate.
(Apocalypse 10:7) "[...] mais qu'aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s'accomplirait, comme il l'a annoncé à ses serviteurs, les prophètes.
(Apocalypse 11:15) "[...] Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient: Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ; et il régnera aux siècles des siècles.


 

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